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La rue de l'hôpital suffoque
EL-AFFROUN
Publié dans Liberté le 21 - 06 - 2011

L'importante rue Bridja-Salah, appelée communément rue de l'hôpital ou encore rue d'Attatba, une belle rue lisse, ombragée, bordée de part et d'autre de larges trottoirs et de jardins, jusqu'à la fin des années 1970, est, aujourd'hui, méconnaissable, hideuse et appréhendée par les automobilistes comme par les piétons, la circulation y étant devenue quasiment impossible. Ses habitants se plaignent d'un calvaire permanent : l'état désastreux de la rue, la pollution sonore, le risque d'effondrement de certaines habitations vétustes (140 ans d'âge) à chaque passage de poids lourds, avec la hantise de voir l'un de leurs enfants renversé par un véhicule. Cette voie d'accès au marché de gros d'Attatba, aux villes côtières et empruntée aussi pour se rendre à Alger, qui part de l'intersection de l'avenue du 1er Novembre, au niveau de la place publique, à la voie ferrée, compte, outre des habitations et des commerces dont une pharmacie, d'importantes structures : la CRMA, l'hôpital, la polyclinique et le stade communal. Elle donne, par ailleurs, sur le parc communal et une huilerie centenaire.
Ravagée par de nombreux nids de poule, immenses plaies béantes, véritables cratères par endroits, aux conséquences non négligeables sur les pneus, jantes et autre système de suspension, la voie d'accès est bouchée en permanence du fait d'un trafic intense (semi-remorques en provenance de l'ONAB, camionnettes chargées de fruits et légumes venant des fermes, d'EAC et du marché de gros, véhicules légers…), mais aussi d'un stationnement permanent de taxis clandestins des deux côtés de la chaussée.
Les riverains, eux, faute de pouvoir garer leur véhicule devant leur habitation (l'espace étant squatté par ces taxis), sont contraints de le faire devant l'hôpital. Certains d'entre eux, ayant dressé des balises devant leur domicile, ont été sommés par la force publique de les retirer. Le problème majeur qui mérite d'être signalé est la difficulté des ambulances à quitter la rue devenue étroite pour rejoindre l'avenue du 1er Novembre - ou route nationale - lors des évacuations des malades vers Blida. Sirènes hurlantes et klaxons assourdissants se font entendre en permanence dans cette rue de tous les dépassements. Les habitants de ce quartier suggèrent des déviations, du moins pour les poids lourds, et demandent une solution au stationnement anarchique illicite des taxis clandestins.
Quant aux réparations et à l'entretien régulier de la chaussée, le problème se pose avec autant d'acuité pour de nombreuses autres rues crevassées de la ville.
Un problème dont les citoyens sont souvent en cause : à peine une rue est-elle bitumée que des tranchées sont creusées pour les besoins de réparations de conduites souterraines.


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