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La ville de Bouira croule sous les bouchons
L'urgence d'un plan de circulation se fait ressentir
Publié dans Liberté le 04 - 12 - 2014

En l'absence de panneaux de signalisation routière, tels un "stop" ou un "cédez le passage", la priorité revient souvent aux plus... débrouillards ! Un état de fait qui n'est pas sans augmenter l'anarchie en cet endroit.
La circulation aux entrées est et ouest de la ville de Bouira est devenue infernale ces derniers mois, avec un bouchon permanent à Oued D'hous. Ces obstacles se multiplient et sont devenus au quotidien un calvaire pour les milliers d'automobilistes empruntant ce tronçon, notamment aux heures de pointe. Déjà, avant d'atteindre l'intersection de la RN 5 et du CW 127, les usagers de la RN 5 sont soumis à un panneau de stop devant la bretelle de sortie de l'autoroute Est-Ouest. Un panneau qui n'est pas toujours respecté, au demeurant, et devant lequel il est très fréquent de voir des débris de phares et de verres de pare-brise, car certains refusent de céder la priorité. Après ce panneau de stop se trouve la fameuse intersection. Là encore, en l'absence de panneaux de signalisation routière, tels un "stop" ou un "cédez le passage", la priorité revient souvent aux plus... débrouillards ! Un état de fait qui n'est pas sans augmenter l'anarchie en cet endroit, alors qu'à moins de 100 m de là se dresse un barrage fixe de la gendarmerie. Ensuite, après avoir slalomé entre les herses de ce point de contrôle, le plus dur reste à faire pour franchir le quartier Zerrouki, à quelque 200 m de là. Le premier rond-point est joignable au bout d'un quart d'heure, cela lorsque la circulation est fluide, sinon les minutes s'égréneront plus vite que les mètres parcourus.
Comme si cela n'était pas suffisant, des dos-d'âne anarchiques, ressemblant plus à des marches d'escaliers, ont été installés sur ce petit trajet, pour ralentir une circulation qui avance pourtant à pas de tortue. Pour emprunter régulièrement ce tronçon infernal, force est de constater que les autorités de la force publique peuvent, lorsqu'elles se déploient aux endroits stratégiques, réguler parfaitement ce flux important en maîtrisant la situation. Il n'est pas rare, et il est même très fréquent que pour pouvoir sortir de la ville de Bouira, en empruntant le pont Sayeh, en allant vers la cité Zerrouki pour rejoindre l'intersection entre le CW 127 et la RN 5, l'automobiliste mette plus d'une heure pour ce trajet n'excédant pas 5 km. D'ailleurs, il n'est pas rare de voir dans ces encombrements quotidiens des voyageurs descendre d'un bus pour terminer le trajet à pied, en sachant qu'il leur faudra moins d'une heure pour se déplacer dans la ville avec un moyen de transport beaucoup plus écologique et en se dégourdissant les jambes.
L'urgence d'un plan de circulation qui se fait attendre n'est plus à démontrer.
H B


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