Boumerdès : 200 familles relogées à Zemmouri Dans le cadre de la résorption de l'habitat précaire et l'éradication des chalets, la commune de Zemmouri, en collaboration avec les autorités de la daïra de Bordj Menaïel ainsi que de la wilaya de Boumerdès, a procédé au relogement de 200 familles dont 131 résidaient dans l'ancienne cité coloniale de Zemmouri. Ces dernières ont été relogées à la nouvelle cité 200-Logements, dans des appartements flambant neuf et répondant aux meilleures conditions de vie moderne. L'opération, qui s'est déroulée dans une atmosphère de fête, n'a pas été, faut-il le dire, sans susciter la colère et la frustration au sein des familles non bénéficiaires qui attendaient depuis des années un logement décent. Pour rassurer les familles frustrées concernées par le relogement, le chef de daïra de Bordj Menaïel, dont relève la commune de Zemmouri, a déclaré à la presse locale qu'une autre opération de relogement sera lancer avant la fin de l'année en cours avec la distribution prochaine de 1000 logements lesquels seront destinés aux postulants des logements sociaux, aux occupants des chalets et aux familles résidant dans des habitations précaires. Nasser Zerrouki Elle se faisait passer pour une fonctionnaire des impôts : Une femme escroc arrêtée à Ouled Moussa Les services de sécurité de la sûreté urbaine d'Ouled Moussa, une localité située à 20 km à l'ouest de Boumerdès, ont arrêté, dernièrement, une femme qui escroquait des commerçants de la ville. C'est à la suite d'un coup de téléphone, reçu, d'un citoyen, lequel a informé la police, de la présence dans la ville, d'une femme suspecte en train d'escroquer les commerçants en se faisant passer pour une employée des impôts. Les recherches approfondies à travers les quartiers d'Ouled Moussa ont abouti à l'arrestation de la femme escroc qui se déplaçait à bord d'un taxi service qu'elle a loué. Il s'agit de la dénommée B. M., 25 ans, originaire de Rouiba. La femme escroc se présentait aux commerçants en tant qu'employée des impôts pour leur demander une copie du registre du commerce, le cachet pour arriver à ses fins malsaines. Conduite au commissariat où elle a été entendue sur un PV officiel, la femme escroc a été présentée devant le parquet de Boudouaou, lequel a ordonné sa mise sous mandat de dépôt à la prison de Tidjelabine pour les chefs d'inculpation d'escroquerie et usurpation de fonction. Nasser Zerrouki
