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Une situation déchirante pour un ancien cadre des Douanes
Publié dans La Nouvelle République le 16 - 01 - 2017

Nos responsables qui ont le délire facile ne manquent pas de toupet pour calmer les foules qui vivent des conditions très difficiles dans la wilaya de Mascara, où des engagements jamais tenus sont régulièrement distribués comme des bons points pour édulcorer les esprits cohabitant dans la précarité la plus abominable, ou la mort guette ces derniers au jour le jour.
Au 11 rue Montera Mahiedine, une ancienne habitation menaçante ruine qui juxtapose la mosquée «El- Moubayaa», communément appelé «Sidi Hacene», le père de famille Chalabi Rachid, un ancien cadre des douanes et ses trois garçons qui crèchent dans une incontestable mansarde où subsistent serpents, rats et autres animaux asociaux, le tout ceinturé dans une odeur écœurante qui flotte dans l'air effroyablement suffocante à vous couper le souffle. L'escalier, à l'exemple de l'ossature menaçant ruine digne des spectacles de l'épouvante où les marches conduisant au palace demeurent délabrées, tremblotantes en plusieurs endroits font peur à la famille Chalabi, pour escalader la dangereuse rampe, et ce, pour arriver au minuscule taudis de misère sis au premier étage où ils sommeillent tels que de misérables apatrides. La famille Chalabi Rachid qui attend depuis 2001, une solution à ce problème insoluble de logements dans la wilaya qui perdure, où ce dernier a déposé un dossier sous le numéro 3800 en date du 30/06/2001 au niveau de l'Assemblée populaire communale service de logements, a vu un silence radio, où chaque année les services concernés se déhanchent pour marquer les sinistrés comme une sorte de bétails, beaucoup de bruits pour rien. A la rue «Montera Mahiedine», des familles en danger, menacées par l'écroulement de l'immeuble qu'ils occupent, un danger omniprésent qui guettent ces familles de la troisième souche de la société algérienne l'angoisse, la crainte et la peur se dessinent sur les visages où une dame d'un certain âge rencontré sur le lieu maudit, espère toujours. Les séquelles des divers maladies, sont visibles, notamment chroniques qui ont littéralement foudroyés la plupart des occupants des lieux , notamment les enfants de Chalabi Rachid, et de son épouse qui présente à l'œil nu des effets vérifiables des conséquences de l'injustice des hommes qui ont distribué généreusement des logements et autres appartements à des personnes qui ont pratiquement tout aliéné à des montants faramineux ces prévisions de l'Etat providence tombés du ciel. On espère malgré ces abjects méprises commises des autorités qui ont foulé le sol de la wilaya à l'encontre des plus démunis et qui sont réellement dans le besoin pour un logement décent ont été injustement roulés des différentes listes placardés ou le hit des préférences autres tribalismes, où les corporatismes sont légion dans une wilaya livrée aux quatre vents. Les services concernés par cette question sont au courant. Pratiquement tous les responsables qui ont foulé le territoire de la wilaya, qui honnêtement n'ont rien réalisé pour éviter la catastrophe des citoyens squattant ou plutôt habitant les immeubles menaçant ruines. Voyant sa situation familiale culbutée vers le vide, ses enfants complètement assommés par cette inégalité saumâtre, cet ancien cadre des douanes qui a plusieurs reprises frôlé la mort dans cette maussade habitation, malgré plusieurs lettres de recommandations en sa faveur pour lui venir en aide à l'exemple de la correspondance numéro 346/2003 wilaya de Mascara cabinet du wali évoquant aux divers responsables concernés de se soumettre au décret exécutif N°42/98 du 01/02/1998, pour reconsidérer le cas de Mr Chalabi Rachid. Une combine pour se dérober des attentes des citoyens qui sont ballotés dans ces histoires de précarités et qui se pratiquent à l'heure où nous mettons sous presse ce présent article. De la poudre aux yeux ! L'information encore une fois à l'épreuve. Au sujet des logements vétustes, il faut dire que nous n'avons pas bénéficié de toutes les facilités par les directions concernées pour mener à bien notre mission d'informer où toutes les portes demeurent «fermées». A plusieurs reprises, nous avons tenté de joindre le chef de daira, le directeur de l'urbanisme et le CTC pour nous apporter des éléments d'informations. Mais en vain. Parmi ces responsables cités, on a constaté que pour se faire voir ou plutôt pour se montrer en premier plan devant une certaine camera de télévision à prendre avec des pincettes, ils demeurent les premiers à s'exposer pour raconter des bévues incompréhensibles pour médire la troisième couche de la société algérienne, en se lavent les mains de toutes les responsabilités pouvant survenir au coin de la rue et autres maisons menaçant ruines. Ce n'est pas sérieux de la part de certains garants chichement payés par l'Etat et qui persistent dans les promesses non tenues au cours des différentes prises de contact et autres surprises-parties du genre «réception des citoyens», aménagé une fois par semaine, parait-il, dans les dédales de certaines institutions qui n'ont clairement aucune prise de décisions sur des questions fondamentaux qui touchent directement ou indirectement les préoccupations des administrés. Le casting de la bureaucratie est presque parfait. La solution ! Elle revient comme un leit-motiv. Mais elle ne surgit de nulle part. Les instances concernées, c'est-à-dire le wali de la wilaya en premier par cette affaire n'ont pu être touchées. Certaines zones d'ombre n'ont pu être éclaircies en conséquence, alors que certaines informations au niveau de la wilaya font état d'attributions de logements à des personnes hors wilayas, à l'exemple de la distribution du 27 décembre 2016. Si l'information s'avérera exacte, et qu'on n'a pas pu verifier, vu le black-out imposé, les conséquences seront fatales au vu des populations originaires de la région et qui ont été évincées injustement des différentes listes. Le cercle vicieux est pour le moment l'unique expression pour qualifier les agissements de certains responsables directement concernés par ces affaires contraire à la défense des droits de l'Homme qui demeurent piétinées et bafouées par des cols blans. Le péril est juste là au 11 rue Montera Mahieddinne.

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