La salle El Kawakib retapée à neuf et disposant de moyens techniques conséquents pour une cinémathèque sert actuellement à la tenue des meetings politiques et joutes oratoires pour les candidats aux municipales et aux assemblées de wilaya. Avec un léger retard le meeting a eu lieu. Après une intervention du coordinateur de wilaya l'ex-maire et député El Hadj Amraoui Kouider qui a intervenu en faisant le lien des listes avec la nécessaire modernisation de la vie politique en lien avec le vœux de nos chouhadas, il citera une liste succincte des grands officiers et en particulier avec le chef historique Ziane Achour. Pour laisser place à Ali Benflis qui a tenu un discours politique d'environ presque une heure devant un parterre constitué par ses militants et des sympathisants aux listes électorales du parti TALAE el HOURIETE. Les représentants des médias accrédités étaient nombreux à venir couvrir l'événement. Des candidats dans des listes autres que celles du parti de Benflis ont fait le déplacement pour assister et suivre son discours. Ils l'ont applaudit à chacun des passages importants. Il a développé un discours modéré par rapport à ses précédentes sorties. Il a même formulé le vœux d'une union nationale autour d'un programme qui sauverait et immuniserait l'Algérie de toutes attaque ou agression externe. Il déclare à La Nouvelle République «la solution à toutes ces crises ne peut venir qu'après un retour véritable à une légitimité politique qui ne peut se faire qu'à travers une modernisation du système politique algérien un renouveau économique, et une véritable prise en charge des problèmes sociaux, voilà le message que j'ai délivré à travers les meetings des wilayates que j'ai visité jusqu'à ce jour. Je continuerait à délivrer ce message pour que tous ensemble, pouvoir et opposition, irons vers un véritable dialogue rassembleur dont l'ordre du jour doit être convenu entre toutes les parties et qui seul pourrait apporter une solution à la grande crise multi dimensionnelle que vit notre pays». au moment où Ali Benflis quittait la salle une foule nombreuse constituée par des anciens militants de la vraie UNJA et ceux de la société civile pour lui exposer des point de vue ou demander des explications et surtout pour prendre des photos selfies.