«Les campagnes médiatiques contre l'Algérie sont un complot concocté pour saper son unité et sa stabilité»

Mohamed Azouz Benhalima, ex-militaire extradé d'Espagne :

Le terroriste détenu Mohamed Azouz Benhalima a indiqué que les campagnes médiatiques hostiles menées contre l'Algérie participent d'un complot concocté dans des officines hostiles pour saper son unité et sa stabilité. «Après avoir côtoyé les terroristes planqués dans des capitales étrangères, j'ai compris qu'il ne s'agissait que de mercenaires en quête d'argent et de femmes, sans le moindre lien avec le combat dont ils se targuent», a-t-il dit. C'était dans la sixième partie de ses aveux, diffusés dans la soirée d'avant-hier mardi par la Télévision algérienne sous le titre ''Chemin de la félonie… détails d'une conspiration''.«Après avoir découvert cette triste réalité, a-t-il poursuivi, j'ai décidé, avant mon arrestation et mon expulsion vers l'Algérie, de prendre mes distances avec le mouvement terroriste ''Rachad'' et ses responsables, à leur tête le terroriste Larbi Zitout». « Lorsque j'étais en Espagne, je pensais que ces terroristes étaient des militants avec des principes, et ce n'est qu'une fois en France, où j'ai été en contact direct avec des éléments de ''Rachad'' et avec ''Amir DZ'' que j'ai compris la supercherie et qu'il s'agissait en fait d'agents et de traîtres », a ajouté le terroriste détenu Mohamed Azzouz Benhalima.
Regrettant les nombreuses fautes qu'il a commises contre la patrie, le terroriste détenu Mohamed Azzouz Benhalima a présenté ses excuses aux personnes qu'il a attaquées injustement en portant atteinte à leur honneur sur la base de fausses informations glanées sur de faux comptes Facebook et mis en garde, à l'occasion, contre le piège des traîtres à l'Algérie et des mercenaires à la solde d'officines hostiles.
Demandant à Larbi Zitout de cesser de parler en son nom ou au nom de sa famille.
Larbi Zitout, a encore indiqué Mohamed Azzouz Benhalima, n'affichait jamais ses desseins malveillants au grand public.
« Il en a, cependant, révélé certains lors d'un live via ''un lapsus'' lorsqu'il a littéralement déclaré : «Nous voulons un Etat islamique», avant de se rattraper en disant : «Nous voulons un Etat civil», a-t-il observé.
Parmi les mensonges que faisait circuler Larbi Zitout via l'aile médiatique du mouvement terroriste « Rachad », celui où il prétendait que les trois avocats de défense du terroriste arrêté Mohamed Abdallah travaillaient pour le compte des services de renseignement algériens, alors qu'il les a personnellement mandatés pour défendre son frère Abderrahmane.
« Larbi Zitout avait toujours incité les Algériens à manifester devant les consulats algériens à l'étranger, en raison de la suspension des vols du fait de la propagation de la pandémie de Covid-19, au moment où sa sœur, qui réside en France, est entrée en Algérie sans être inquiétée, et il refuse de le reconnaître », a-t-il fait remarquer.
Révélant l'ampleur des mensonges et des fourberies auxquels Larbi Zitout recourt pour déformer les faits, il a cité à titre d'exemple la fois où Zitout a prétendu que son frère, Abderrahmane, avait été kidnappé par une force spéciale relevant des services de renseignement, alors qu'il avait été convoqué pour un interrogatoire par un policier qui l'a accompagné à un commissariat à Alger, où je m'y trouvais également pour être interrogé.
Mettant en garde les jeunes contre le piège tendu par ces terroristes, et appelant tous les Algériens qui ont traité avec Larbi Zitout et les autres terroristes à les mettre à nu.