Mohamed Aissa, ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, déclare, concernant le sujet de dispenser aux lycéens le programme religieux, qu'il est victime d'une mauvaise interprétation de la part des journalistes. Le ministre des Affaires religieuses explique qu'il avait suggéré une révision du programme qui engendrerait des « Takfiristes » et « des extrémistes sans même être des pratiquants ». Mohamed Aissa, a déclaré lors d'une conférence qui a eu lieu ce samedi, «Je ne reviendrai pas dessus, car mes propos ont été déformés» et poursuit que son département ainsi que celui de l'Education nationale ont entamé un travail de coordination afin de « sélectionner les programmes les plus utiles pour la famille algérienne et les plus modérés, en accord avec l'esprit de modération dans les mosquées».