Le long du boulevard Front de mer,"Ahmed Benbella", de la cité Salamandre, plusieurs palmiers d'alignement du genre Phoenix , ont été plantés vers les années 2016 pour donner un peu de charme à cette "promenade». Au fil des ans, ces arbres particuliers ont du connaitre des déboires ce qui a conduit à des dépérissements de certains d'entre eux qui ont fait d'ailleurs l'objet d'un remplacement qui a été suivi surtout par des irrigations en guise d'entretien. Dans la réalité, à Mostaganem comme a Oran ou, peut-être à Alger, il n'y a pas de spécialistes en "phoeniculture" d'alignement décoratif de l'environnement qui auraient pu nous faire apprendre le pourquoi des problèmes rencontrés tant à Oran qu'à Mostaganem qui se sont soldés par la mort de nombreux sujets plantés, alors. L'incompétence et les doutes ont enveloppé un scandale qui couvait depuis la plantation de ces Palmiers d'ornement certain temps, depuis après leur acquisition au prix fort qui s'est traduit par un cout de plantation élevé. Un gâchis financier a vite été étouffé en laissant place à des rumeurs. Au stade actuel, il se trouve qu'il y a plus de 40 palmiers le long de cette "promenade de Salamandre" qui laissent apparaitre des signes évidents d'un stress physiologique au niveau de leur cime. Nous savons que ces spécimens végétaux, nouveaux dans le paysage côtier de Mostaganem, ont reçu des apports d'eau d'irrigation et c'est une cause qui pourrait être exclue. Si nous attirons ici l'attention, c'est qu'il y a de fortes présomptions que d'ici l'Eté, plus de la moitié de ces palmiers, risqueraient de mourir en laissant une impression lamentable et désolante qui ferait mal à la saison estivale prochaine. Nous espérons nous tromper jusqu'à preuve du contraire en souhaitant que les responsables, en charge de leur entretien puisse s'appuyer sur de "vrais paysagistes», loin des apprentis sorciers autoproclamés paysagistes car, n'est pas paysagiste qui veut, même s'il a la main verte. Une autre déconvenue écotouristique et ornementale, n'est pas la bienvenue d'autant plus que son prix coute cher à deniers de la communauté. En général, chez un arbre, c'est quand ça va mal en bas (sol et racines) que ça se verra en haut (branches et feuillages) mais bon, c'est une affaire de spécialistes avant tout. C'est aujourd'hui une image hideuse qui s'impose à la vue et on ne peut s'empêcher de penser qu'il y a quelque chose de pas normal. Pour le cas de Mostaganem, l'on ne connait pas exactement ce qu'ont couté tous ces palmiers Phoenix qui continuent de susciter des questionnements autour des sommes d'argent dépensées dans plusieurs opérations de "remplacement" alors que le problème de leur dépérissement, n'est pas encore élucidé scientifiquement.