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La lente agonie du dollar, les mondialisations et l'Algérie (partie1)
Publié dans El Watan le 29 - 11 - 2014

Nous avons d'une part une monnaie mondiale dominante, le Dollar sans réalitééconomique puisque déconnectéde toute base matérielle ou de tout actif tangible, et des monnaies régionales àl'image de l'Euro et du Renminbi ancrés àl'économie réelle.
La mondialisation serait elle le lieu de lutte ultime entre une monnaie qui joue sa survie, entre l'« axe du mal »que représentent le poids de l'endettement américain et la crise du dollar et d'autres monnaies qui visent àla remplacer collectivement, ou entre l'économie financiarisée spéculative et virtuelle et l'économie réelle.
Finalement, que nous révèle ce terme de mondialisation et que cela peut-il signifier pour l'Algérie? Quelques exemples ….
200 000 Milliards d'endettement ou « la mondialisation par l'Argent Brutal ».
Le montant de la dette américaine repris par les journaux est de l'ordre de 25 000 milliards de dollars, mais si l'on additionne la dette de l'état américain central àcelles des 51 états plus la dette de tous les citoyens américains, ce montant se situerait, selon les estimations, dans une fourchette comprise entre 170 000 et 200 000 milliards. La production de l'ensemble des agents américains pendant une année équivaut à17 000 milliards. Comment donc disposer de 17 000 milliards pour manger, se loger, se mouvoir, s'équiper, se soigner, faire la guerre et en même temps rembourser 200 000 milliards de dollars ? C'est une impossibilitéabsolue, technique. Et, quelque soit l'angle sous lequel on envisage une réponse, la conclusion est inévitable : les américains ne pourront jamais rembourser cette dette. Dès lors, il est clair que la voie de sortie de l'endettement ne peut être que le recours àune inflation organisée, par le biais d'une injection massive de monnaie rendue possible depuis la démonétisation de l'or et de l'institution du fait du Prince. Depuis 1971, l'état américain s'est octroyél'exclusivitédu privilège d'émettre sans contre partie du papier monnaie. Cela parce qu'il est la première puissance mondiale et qu'il ne s'agit pas d'une économie sous développée mais de l'Empire, du centre de l'Empire. Et il est même possible pour l'Empire d'envisager de ne jamais rembourser parce qu'il peut, pour ce faire, recourir àla guerre, ce que nous constatons aujourd'hui.
Toutes ces guerres actuelles et tentatives d'en créer répondent àun besoin de survie. L'Amérique, pour garder son niveau de puissance, ne peut pas rembourser ses dettes et doit être en position de faire payer le reste du monde. Si l'on passe en revue les hypothèses de sortie de crise pour cette puissance, que constatons-nous ? Depuis une dizaine d'années, les USA ont essayéde faire fonctionner la planche àbillets afin de générer l'inflation, c'est-à-dire une hausse des prix vertigineuse non seulement àl'intérieur des Etats Unis mais dans le monde entier. Du point de vue factuel, dans le contexte de la crise financière, l'erreur fondamentale des Etats Unis a étéde pratiquer le « quantative easing », de fabriquer l'inflation alors que le niveau atteint par l'endettement rendait son absorption impossible. Mais, plus largement, cela ne fonctionne plus, parce qu'un certain nombre de puissances moyennes, telles l'Allemagne et le Japon, ont su tirer profit de l'expérience passée, des grandes guerres pour se prémunir – la première par Loi contre l'inflation interne, la seconde en ne s'endettant qu'en Yen- contre toute tentation inflationniste, celle-ci menant toujours au conflit interne ou externe. L'inflation a une autre caractéristique, qui est de transférer brutalement l'épargne des classes moyennes et pauvres aux plus riches. Àcet égard, la crise de 2008 dite des « sub-primes »est édifiante. Les citoyens américains les plus pauvres ont étémis en situation d'emprunter, par des manipulations des taux d'intérêt vers la baisse puis vers la hausse, les faisant ainsi passer de taux symboliques à24% ! Dans une telle situation, il existe deux façons de faire : soit faire payer la population, soit faire payer partiellement ceux qui ont prêtél'argent. Les États Unis ont choisi de faire payer non seulement les emprunteurs mais aussi le reste du Monde, pour sauver les banques.
Lorsque vous choisissez de sauver les banques et non de sauver les citoyens, cela veut dire que vous optez en réalitépour un schéma politique ou une organisation sociale qui va influer sur tout le devenir du monde, dans l'immédiat. Vous optez en dernière analyse en faveur d'une concentration des fortunes aux mains d'une extrême minorité ; vous consentez àappauvrir de façon mécanique la majeure partie de la population par le chômage, la faillite et l'impôt. Cela signifie aussi que cette étape de la crise sert àprécariser la population, àla rendre fragile afin de faire d'elle ce que l'on veut, ce dont on a besoin. Et cela est devenu tellement efficace que les Etats Unis utilisent des instruments de chantage non seulement àl'égard de leur population mais aussi du reste du monde. On a vu ainsi apparaître, fort opportunément, des procès contre des institutions financières ou des pays récalcitrants tels la BNP, la Deutsch Bank et aussi la Russie qui s'est vue récemment réclamer 50 milliards par un juge, ou l'Argentine àqui brutalement un juge new yorkais réclama aussi 50 milliards de dollars…
Il y a lieu de bien comprendre que lorsque l'on parle de « puissances d'argent », on désigne une composante majeure de ce qu'on appelle aujourd'hui « l'Etat profond », c'est-à-dire les vrais décideurs et en premier lieu, ceux qui ont décidéde la financiarisation du monde. Bien sûr, dans un tel contexte, pour pouvoir parvenir aux résultats escomptés, ces puissances ont besoin que le monde opte pour le réarmement, comme il est important que le monde opte pour la circulation facile de l'énergie. Ainsi lorsque les Américains subventionnent l'exploitation du soit disant miracle que serait le gaz de schiste pour en baisser le prix, ce qu'ils font en réalité, àtravers ce miroir aux alouettes, c'est affaiblir les producteurs directs d'hydrocarbures, vendre les intrants d'une technologie qui leur appartient, diminuer en somme la capacitéde résistance de leurs rivaux, le temps nécessaire àla restructuration du monde.
La vision oligarchique de la gestion du Monde a des adeptes dans tous les pays. L'apparition de l' «Argent Brutal »dans notre pays correspond àce rêve insenséde faire partie du Gotha. Par argent brutal, j'entends l'argent acquis hors système de régulation, par les « coups de force »contre les institutions, les lois et les impôts ; amnistiéen même temps que les maquis etc. Sa logique est la destruction de l'Etat par l'accaparement directe des leviers de l'économie et du pouvoir politique.
3000 milliards ou « la mondialisation par la corruption idéologisée. »
Je voudrais convoquer un second chiffre, les 3000 milliards de dollars correspondantsàla capacitéde corruption du wahhabisme, car pour parvenir aux objectifs précédemment exposés, il faut vendre une idéologie qui serait contre les intérêts des populations, qui leur enlèverait leur capacitéde réfléchir, et dont elles seraient preneuses. Alors, l'Empire actuel a mis la main sur des instruments essentiels que sont, pour les catholiques l'Opus Dei, pour les musulmans le Wahhabisme et pour les protestants l'Evangélisme. Le tout s'inscrit dans une stratégie géopolitique définie en alliance avec le sionisme. Pourquoi les évangélistes avancent-ils dans le monde ? Pourquoi le Wahhabisme avance-t-il dans le monde et qu'est-ce que l'Opus Dei ? L'Opus Dei est àl'intérieur de l'Eglise une sorte de secte qui a toujours étéd'extrême droite, a sévi dans l'Espagne de Franco et a étéàl'origine de la nomination de plusieurs Papes. Cela signifie que l'Empire a toujours contrôléla production idéologique àtravers les religions ou l'idéologie du Marché. Il a procédésouvent àla désignation du Pape comme àcelle du Roi d'Arabie Saoudite. L'Etat profond américain, une partie de l'Afrique, une grande partie de l'Amérique Latine voient la Chrétientésoumise àl'Evangélisme, sa version sioniste. Toutefois, il convient de s'interroger sur la nomination du dernier Pape, issu lui de la théologie de la libération c'est-à-dire de l'église humaniste. Un Pape provenant donc de la fraction de l'Eglise proche des classes moyennes et populaires. Chez nous, il existe une opposition de fait entre les convertis àl'évangélisme et une Eglise algérienne, enracinée historiquement et structurée par Saint Augustin, l'Algérien. De la même façon, les juifs algériens, que l'on n'entend plus, disparaissent (alors que nombre d'entre eux ont participéàla libération du pays), tandis qu'on observe l'avancée des évangélistes dont l'idéologie est sioniste. Comme les wahhabites, les évangélistes ont un objectif politique et non pas un objectif divin. Il convient de rappeler que les fondateurs du Sionisme n'étaient pas croyants.
Tous ont un objectif politique précis et le Wahhabisme est tout àfait dans cette perspective. Il s'agit d'empêcher l'individu de devenir un citoyen pour en faire un sujet, un être qui n'a pas d'autonomie propre, disponible pour toutes les manipulations. Et d'ailleurs rappelons-nous ce que dit le Wahhabisme en ce qui nous concerne : « inama el soltan dhal Allah fawq el ardh », le sultan est l'ombre de Dieu sur terre. Mais de quel sultan parle-t-il ? C'est une catastrophe absolue d'admettre de tels propos lorsque l'on est musulman, alors que le Coran ne prévoit ni Pape ni intermédiaire. Il s'agit d'une contradiction fondamentale avec l'essence du message divin. En vérité, il nous faut nous battre, tout musulman croyant aujourd'hui doit se battre pour la sécularisation de la religion. Car, aujourd'hui, il faut sauver la religion. Lorsqu'il y a 4 à5 ans, je le rappelle, il y eut ici des questionnements sur qui était vraiment le pouvoir en Algérie, sont soudainement apparus des imams prêcheurs wahhabites en mission spéciale, ce dont les journaux n'ont pas suffisamment rendu compte, àBatna et dans d'autres villes. Ces prêcheurs étaient venus nous expliquer que le devoir des musulmans était d'obéir au pouvoir en place, àceux qu'ils déclarent licites, adoubent ou installent. Il faut relire ces pratiques àla lumière des stratégies de l'Empire dans une logique de mondialisation.
Cette logique de mondialisation, nous l'avons sous les yeux, évidente dans la définition et l'intervention de l'Etat islamique, du Daech, et autres. Que fait en effet le Wahhabisme ? Il détruit les témoignages de l'histoire, tout ce qui permet aux musulmans de se rattacher àun lieu, un espace, un territoire, un passéen détruisant les lieux de mémoire. Pourquoi a-t-on détruit des lieux de mémoire àGhardaïa, àTombouctou, àDamas, àBagdad, àAlep….Comme hier le FIS dans Alger. Quand on détruit la mosquée du Prophète, lorsque l'on envisage de déplacer la dépouille du Prophète et de lui faire subir le sort de Ben Laden – faire disparaître son corps dans un lieu non identifiable- avec pour objectif àpeine dissimuléde transformer Mecca en Disney world ou Las Vegas, en un territoire qui a perdu tout lien avec le sacrématérialisé, on soumet les musulmans àl'idéologie de la consommation la plus brutale. Sous cette pression consumériste forte, la Mecque devient pour les musulmans lieux de trafics, facilités d'argent, corruption morale et matérielle, lavage de cerveau et mise àniveau dans une idéologie qu'ils ramènent chez eux et essaient d'adapter àleurs pays, àpartir de la matrice wahhabite : enrichissez- vous et simplifiez la religion !
Certains assimilent le Wahhabisme àl'anti-islam, au Dajjal. Si l'on revient aux origines, le Wahhabisme est apparu il y a deux siècles et demi dans le Nadjd, une région curieusement désignée dans certains hadiths comme l'une des provenances géographiques du « Mal ». C'est de là-bas qu'apparaîtra « le fer de lance du diable »(rapportépar El Boukhari). Pour mémoire, il est intéressant de reprendre les sources légendaires du Wahhabisme et de la dynastie saoudienne. La première ayant trait àl'origine supposée "Dönmeh" d'Abdelwahhab et des Saoud. Les Dönmeh étant les disciples du Messie cabaliste SabbataïZevi, converti àl'islam en 1666. Autre rumeur tenace, le Wahhabisme serait le fruit d'une manipulation du clerc Abdelwahhab par un agent britannique, Humphrey dépêchéen 1710 par la Compagnie des Indes Orientales, dans le but de fomenter des troubles et de soulever les bédouins du Hidjaz contre la Sublime Porte. Par ailleurs, ce qui reste historiquement vérifiable, c'est le rôle jouépar les Jeunes Turcs, oùl'influence prédominante des Dönmeh Sabbatéens n'est plus àétablir, pour détruire le Califat et l'unitésymbolique du monde musulman, comme il est incontestable que Haïm Weizmann, futur président de l'Etat hébreu, a reçu l'aval et le soutien de Fayçal fils du Shérif de la Mecque pour l'établissement d'Israël. C'est le choc de la disparition du Califat qui a donnénaissance àl'Association des Frères Musulmans reprenant àson compte le nom des Ikhwan saoudiens.
En l'absence d'un véritable magistère spirituel, les Oulémas algériens n'ont pas menéàterme la réforme et se sont transformés en vecteur du Wahhabisme pendant que le maraboutisme sombrait dans le folklore et dévoyait le Soufisme. C'est une véritable déculturation religieuse aggravée par la méconnaissance de l'histoire.
L'ironie ou le paradoxe manifeste est que les derniers développements du Wahhabisme ont remis au goût du jour les pratiques obscurantistes combattues par l'Islam: la sujétion des femmes, les sacrifices humains, l'excision…
Aujourd'hui comme hier, il s'agit de supprimer tout repère. On n'accorde plus au musulman la possibilitéd'accéder au sens, en le soumettant àl'idéologie de masse de la consommation. Il devient un numéro lambda, interchangeable, il n'a pas de rapport àla patrie, pas de rapport au sol, pas de rapport àl'histoire. C'est pour cela qu'au M'Zab les événements ont débutépar la destruction de mausolées, que partout oùva le Daech il détruit les mausolées, qu'àTambouctou on y a ajoutéles livres. Faut-il en conclure que Daech est en réalitéun instrument d'urgence de la mondialisation ? Cette question en entraine une autre, liée en quelque sorte àl'ampleur de sa mission. Daech, en effet, vise-t-il àdétruire les pays oùil nait ou n'est-il pas aussi un aimant pour ces jeunes d'Occident en rupture, ne sert-il pas àles endoctriner, les former, les entrainer pour les verser dans l'attisement international de violences paroxysmiques, de guerres civiles remettant àl'ordre du jour les guerres des religions, déviant les luttes sociales et politiques pour la transformation du monde, y compris en Occident ? Qu'il s'agisse des seuils effarants atteints par l'islamophobie, des provocations des ultras contre l'Esplanade des Mosquées, de la revitalisation des fascismes, de la démultiplication des « casseurs »…on se rend bien compte que le champ de bataille est d'ores et déjàpas mal viabilisé.
Voilààquoi correspondent les 3000 milliards de la mondialisation par la corruption idéologisée. On ne peut plus laisser la gestion des lieux saints àune secte dont l'origine est douteuse et la feuille de route anti musulmane. L'Islam dans sa diversitédoit être responsable des lieux saints.


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