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Poésie. Agarruj Yeffren de Mohamed Said Gaci : Un trésor caché
Publié dans El Watan le 04 - 07 - 2020

C'est le fruit de plus de cinquante ans de poésie de Mohamed Saïd Gaci, ancien chanteur également. Son recueil de poèmes intitulé Agerruj Yeffren ou le trésor caché, vient de paraître dans les éditions Assirem à Bouira.
Cent dix-huit anciens poèmes rédigés à partir de la fin des années 1960 et traitant différentes thématiques. Des poèmes de la vie sur la vie pleins de sagesse et de leçons. «Je n'ai pas cherché un gain pécuniaire.
On sait tous que la poésie ne fait pas vivre. C'est beaucoup plus pour faire connaître ma poésie et honorer mon engagement après de tous ceux qui m'ont connu et qui n'ont cessé de m'encourager à écrire et surtout à éditer. Je cite les défunts grands artistes Medjahed Mohamed Ameziane, Guerroudj Rabah, Ben Hanafi, Ouarab Hocine, et autres que j'avais côtoyés.
C'était à l'époque où je passais sur les ondes des émissions de la Chaîne II de la Radio algérienne», dira le poète. Mohamed Saïd, actuellement à la retraite, passe tout son temps à cultiver son jardin sis dans la commune de Chorfa, à l'est de la wilaya de Bouira.
C'est dans le calme et au milieu de la nature qu'il trouve l'inspiration. «Je crois que c'est le cas pour la plupart des poètes. La solitude est créatrice», insiste-t-il à dire.
En 1972, Mohamed Said avait déjà fait un pas dans le monde de la chanson en enregistrant un disque 33 tours contenant deux titres, chez la maison d'édition Oasis. «Je n'avais plus les moyens pour continuer à cette époque où l'on n'encourageait plus l'art et les artistes. J'ai abandonné la chanson et j'ai gardé la passion de l'écriture poétique qui coule toujours dans mes veines», se rappelle-t-il.
«J'ai encore plein de nouveaux poèmes»
Le poète a ainsi marqué une longue pause avant de revenir sur la scène, puisqu'en 1989 il sort une cassette dont le titre est Amekar Tezhoud a yul (O mon cœur ! Comment peut-on être heureux !). L'album contenait aussi deux chansons et plusieurs poèmes récités dans lesquels il décrivait l'état des lieux de l'Algérie des années 1980 avec tous ses bouleversements. Après ce deuxième pas dans la chanson, le poète décide de rompre avec le monde de la musique, mais toujours pas avec le verbe.
Pendant les trois décennies suivantes, il n'avait jamais cessé d'écrire. «J'ai encore plein de nouveaux poèmes qui seront édités prochainement. Chacun s'y trouvera dedans, un poème le touchera peut-être», conclue-t-il.


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