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Soirée lumineuse avec Aït Menguellet et son fils Djaffar
Tizi Ouzou
Publié dans El Watan le 30 - 08 - 2010

La salle de spectacles de la maison de la culture Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou a abrité dans la soirée de samedi un gala artistique de haute facture. A l'affiche, deux artistes, Lounis Aït Menguellet et son fils Djaffar qui n'ont pas laissé indifférentes les familles tiziouzouennes qui sont venues assister à un spectacle à la hauteur de la renommée des chanteurs.
Le public, essentiellement composé de familles, est venu des quatre coins de la wilaya. Devant le portail, des centaines de personnes sont massées derrière les haies de sécurité pour obtenir leur ticket. Il reste une heure avant le début de la fête ; la salle est pleine à craquer. Le menu de cette soirée a drainé plusieurs milliers de personnes. Les fervents de la chanson à texte, de la poésie instructive et constructive de Lounis, ont eu droit à une production purement familiale, mettant en scène Lounis et ses deux fils ; le chanteur, auteur et compositeur Djaffar et Tarik à l'harmonica. Sous les acclamations des spectateurs, Djaffar Aït Menguellet ouvre le bal. L'air détendu et parfaitement dans son élément, il interprète d'entrée une chanson en hommage à son père. Une chanson dont il est co-auteur avec le poète Si Moh, extraite du nouvel album de Djaffar, Targith laâqel (rêve de la raison), sorti cet été.
Djaffar chante quatre chansons qui lui ont valu les bravos de l'assistance. Voyant en lui une relève, mais surtout, une valeur sûre, le directeur de la direction de la culture Ould Ali El Hadi a offert un présent en guise d'encouragement aux talentueux enfants d'Ighil Bouammas (Aïn El Hammam). Il est 22h30, le public s'impatiente de voir son idole. Très attendu, Lounis Aït Menguellet fait son entrée sous une salve d'applaudissements. Les spectateurs, comme pour lui témoigner leur fidélité et leur respect pour sa personne et son art, se lèvent. Dans l'orchestre, ses deux fils accompagnent les musiciens. Reprenant le relais, le père puise de son ancien répertoire ses éternels titres comme Ayiguerou (la cigarette), Dhacu izrigh (ce que je sais), Thavrat neslam (la lettre) entre autres. Le public, interactifs, donne la réplique en fredonnant toutes les chansons. Plusieurs minutes se sont égrenées, la grande salle devient une fournaise. La salle est tellement pleine que des dizaines de personne n'ont trouvé que les allées pour s'y installer.
D'autres se tiennent debout depuis le début du gala. Après la pause, Aït Menguellet va chercher dans son nouvel opus les titres phares, à commencer par Tawriqth tacevhant (la feuille blanche), un titre qu'il ne choisit pas fortuitement à son nouvel album puisqu'il donne un élément de réponse sur sa traversée de désert (5 ans) avant qu'un nouvel opus ne «tombe» sur le marché. En dehors du cliché traditionnel qui implique l'incitation de soi-même à écrire, Lounis Aït Menguellet commente le choix du titre pour sa part dans la revue Passerelles : «Je ne me mets devant une feuille blanche que lorsque je suis sûr de la remplir. (…) J'évite de côtoyer la feuille blanche tant qu'une idée n'est pas venue me donner une raison d'écrire. J'ai mis peut-être une heure ou deux pour écrire chaque chanson, mais ce sont quelques heures lumineuses au milieu de cinq années sombres dépourvues de toutes inspiration.» Hier, Lounis Aït Menguellet a animé un gala en solo dans la même enceinte pour «assouvir» ses nombreux fans.


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