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«Eclats de vie» : Parcours d'une enseignante
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Publié dans El Watan le 02 - 01 - 2012

Malika Arabi était l'hôte du café littéraire, la semaine dernière à la maison de la culture de Tizi Ouzou, pour animer une conférence sur son livre autobiographique Eclats de vie (2011).
Il s'agit d'un ouvrage où l'auteure propose un itinéraire lié au contexte sociopolitique de son pays, l'Algérie. Ce sont ses douleurs, son enfance malheureuse vécue à Mizrana, dans la Kabylie maritime (Tigzirt), un territoire servant de fief à toutes formes de misères, à la guerre… qu'elle y relate. Les révoltes de l'auteure ont également été exorcisées dans ce récit écrit dans un style «fluide» et simple.
Les mots usités révèlent non pas la haine mais plutôt la douleur. Le statut de la femme en Algérie, les relations entre mères et filles, mais surtout les mutations opérées dans le système de l'éducation nationale, qui, selon Malika Arabi, ont dérouté des générations entières, sont autant d'autres thèmes brassés dans Eclats de vie.
La dernière partie du livre est dédiée à «cette jeunesse algérienne qui ne rêve que de son pays pour lequel leurs aînés se sont sacrifiés.» «Si les jeunes et même les moins jeunes cherchent coûte que coûte à s'établir dans le pays de l'oppresseur, c'est qu'ils se sentent mal, si mal…chez eux. Tout ça, pour ça, suis-je tentée de dire…révoltée.» (p.227). Malika Arabi est née au début des années 1950 à Tarsift, près de la ville côtière de Tigzirt, au nord de Tizi Ouzou.
Après des études primaires à l'école de Tala Mayache, dont elle garde des souvenirs émouvants, elle rejoint le lycée technique du Caroubier d'Alger, puis l'ITE de Ben Aknoun pour devenir professeur des collèges. Malika Arabi, qui était une enfant durant la guerre de Libération nationale, fait partie de la première génération des femmes d'Algérie qui avaient le privilège d'accéder à l'instruction avant que ce droit ne lui soit garanti dans l'Algérie indépendante.


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