-Plusieurs cités affectées : revoilà les coupures d'eau Plusieurs cités ont été affectées ces derniers jours par des coupures d'eau survenues d'une manière intempestives. Une situation qui a mis les citadins dans une véritable gêne, notamment les résidants des bâtiments qui trouvent toutes les peines du monde à s'approvisionner en eau potable à partir des citernes. A la cité AADL de Bab Ezzouar, on apprend qu'une coupure d'eau a duré deux jours, plongeant les familles dans un véritable désarroi. Cette coupure n'était pas annoncée, ce qui a suscité la colère des résidants. A Aïn Benian, un immeuble de la cité AADL est sérieusement affecté par des perturbations dans l'alimentation qui dure depuis plusieurs semaines. Malgré les requêtes des citoyens, cette situation perdure et devient insoutenable. A Baba Hassen, c'est la cité Wiam qui souffre de coupures de l'alimentation en eau potable. Un dysfonctionnement qui rend le quotidien des habitants difficiles, à cause des désagréments provoqués. Il est à préciser que ces perturbations échappent au contrôle des services de la Société de l'eau et de l'assainissement d'Alger (Seaal). Cette dernière lorsqu'il s'agit de coupures programmées, l'annonce à l'avance et assure un service de citernage pour alimenter les citoyens. Souvent, la défectuosité des réseaux d'AEP est la cause des coupures. Un problème qui touche plusieurs quartiers et cités de la wilaya. Des résidants craignent d'ores et déjà‡ la persistance des coupures en été. -Cité El Feth (Douéra) : ni bitume ni espaces verts Le cadre de vie de la cité El Feth, dans la commune de Douéra (Alger) indigne les résidants qui réclament son amélioration. Cette cité nouvellement construite, ne dispose ni d'espaces verts ni de bitume, a-t-on constaté. Ce qui fait d'elle une véritable agglomération «dortoir».Pourtant, un petit lifting aurait changé le «visage» plutôt lugubre de cette cité, située au centre de la municipalité. Des résidants ont exprimé le vœu de voir les autorités locales engager des actions en mesure de rendre leur cadre de vie meilleur. Cela d'autant que l'état actuel de la cité les pénalise grandement, notamment en saison d'hiver, où les allées deviennent impraticable par endroits, raconte-t-on.
