Le jeune patient, qui présente un risque létal, attend une prise en charge rapide pour des soins complémentaires de l'opération qu'il a subie à l'hôpital Cochin-Tarnier de Paris. La famille Zekri adresse, encore une fois, un SOS au premier responsable de la wilaya pour l'exhorter à faire en sorte que la magnifique action humanitaire (prise en charge médicale en France), dans laquelle il s'est impliqué au profit de leur fils Seif-Eddine (22 ans), qui souffrait d'une terrible maladie neuromusculaire - une amyotrophie spinale de type 2- soit parachevée. Le jeune patient qui a subi avec succès l'intervention à l'hôpital Cochin-Tarnier de Paris, grâce justement aux hommes de bonne volonté, risque tout simplement de mourir en l'absence de soins complémentaires au niveau d'un centre de rééducation (toujours à Paris). Tous les efforts entrepris par les âmes charitables seraient alors, dans ce cas, réduits à néant. Les parents, par ailleurs courageux et battants (avec deux autres enfants porteurs de la même pathologie, mais à un degré moindre) sont véritablement aux abois; totalement désemparés! Ils demandent une prise en charge complémentaire pour sauver leur enfant, qui, après tant d'efforts et tant de souffrances, mérite vraiment qu'une main charitable lui soit de nouveau tendue. Il serait utile de rappeler qu'il ne peut séjourner plus longtemps à l'hôpital Cochin-Tarnier de Paris et qu'il doit impérativement être transféré au centre de rééducation, dans la même ville. Pour rappel, la maladie du jeune Seif-Eddine Zekri avait évolué en scoliose malformative dorso-lombaire, avec comme conséquence une hydronéphrose avec lithiase urétérale bilatérale. Le diagnostic, après exploration fonctionnelle respiratoire, était un syndrome restrictif sévère avec amputation de la capacité vitale de 42%, nécessitant une intervention chirurgicale rapide avec prise en charge multidisciplinaire, impossible à effectuer en Algérie en l'absence d'unité de soins intensifs en réanimation chirurgicale. Ce qui d'ailleurs a été l'obstacle majeur pour un spécialiste français, Pr. Miladi, qui s'était porté volontaire pour opérer le patient en Algérie même.