Nouvelle bourde des médias publics. L'un des journalistes chargés de commenter le match de la finale de la Coupe du Monde a annoncé «la présence sans doute du président argentin» dans les tribunes, aux côtés de la chancelière allemande, Angela Merkel, et de la présidente brésilienne, Dilma Rousseff. Ce que le journaliste ne savait pas, c'est qu'à la tête de l'Argentine se trouve une femme qui s'appelle Cristina de Kirchner. Cette dernière n'a même pas pu faire le déplacement à Rio de Janeiro à cause d'un mal de gorge. L'information a été annoncée bien avant la finale et l'Argentine s'est fait représenter par son ministre des Affaires étrangères. Il suffisait donc de se documenter ! Mais c'est plutôt une nouvelle preuve du «professionnalisme» dont peut se targuer Hamid Grine.