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Variations du cours du brut
L'illusion des experts pétroliers
Publié dans El Watan le 03 - 10 - 2006

La raison qui m'a poussé à écrire cet article, c'est mon grand scepticisme à l'égard des experts et analystes pétroliers qui anticipent un prix de baril fluctuant entre 200 - 300 $ avec comme argument le pic de Hubbert. A mon humble avis, je considère ces prophéties comme fantaisistes .
Commençons par évoquer les causes de la hausse du prix du pétrole (quelques exemples)
1 - Les prix élevés d'aujourd'hui (1) ne sont qu'une réaction aux prix bas du pétrole des années 80 - 90 .
2 - La pétrovoracité de la CHINEet des pays émergents tels que l'INDE et le BRESIL mais aussi la gourmandise du consommateur américain.
3 - Le sous-investissement dans les capacités de pomper , de raffiner et de transporter le pétrole.
4 - Le facteur géopolitique avec le risque des attentats terroristes ( 10 dollars sont inclus dans le prix du baril comme étant la prime de terreur )
5 - La nouvelle économie ce concept qui s'explique par une croissance sans inflation et qui est aussi la principale raison qui rassure et incite les investisseurs á spéculer sur la hausse des prix du baril.
6 - Les effets de la mondialisation ont créé une harmonisation dans les échanges commerciaux internationaux et en terme économique cela s'appelle le cercle vertueux keynesien et ce cycle est en phase d'accumulation ( une autre assurance pour les spéculateurs de la hausse ).
Maintenant parlant un peu du prix et de sa définition . Le lecteur algérien doit savoir que le prix d'un actif financier ou une celui d'une matière première ne dépend pas uniquement de ses fondamentaux c'est-à-dire l'offre et la demande mais plus sur l'anticipation des investisseurs (les intervenants sur le marché) En 1978 l'offre du pétrole dépassez la demande mais le prix du baril continuait á grimper. Aussi faut -il souligner que toutes les informations actuelles liées au pétrole sont déjà intégrées dans le prix du baril. Il est difficile aujourd'hui de faire une prévision sur le prix du baril le facteur géopolitique est imprévisible les événements géopolitiques inattendus je met l'accent mille fois sur le mot inattendu créent des surréactions sur le marché pétrolier qu'aucun analyste financier ne saura analyser. Mais bien sur les probabilités de tels événements sont minimes, nous allons plutôt nous concentrer sur un autre facteur réel et d'une importance primordial la Psychologie du marché pétrolier et en se référant á Keynes qui nous avise á suivre le mouvement des intervenants sur le marché et comprendre leurs comportements Et c'est ce que nous allons faire pour voir si ces investisseurs croient á la prophétie d'un baril de 200 - 300 $. Personnellement je ne pense pas que le prix du baril dépassera les 100 - 110 $ dans les dix prochaines années et je vous présente mes arguments (en 10 points ) et qui entrent en défit avec ceux des autres experts .
1 - Le prétendu pic de Hubbert
Les experts alarmistes prétendent que les gisements des puits du pétrole dans le monde sont presque épuisés en se référant à la théorie de King Hubbert et que ce manque de pétrole va créer un grand déséquilibre dans les fondamentaux (offre et demande) je peux rétorquer en disant ceci. La Russie qui produisait en 1989 l'équivalent de 12 millions de baril / jour n'en produit que 7 millions aujourd'hui mais pourra atteindre le chiffre de 1989 si les moyens financiers lui sont procurés . Un Iraq stabilisé politiquement et économiquement pourra produire 5 millions baril / jour . Le Kasakhstan peux devenir une nouvelle Arabie saoudite si les compagnies pétrolières internationales y mettent le paquet sur lui. La Libye possède les capacités d'augmenter sa production quotidienne de 1,5 á 3 millions de baril /jour.
2 - L'inflation américaine
Avec un baril de 68 $ l'on constate que l'inflation américaine des produits énergétiques atteignant les 6,7% Le président de la FED ( la banque centrale américaine ) commence á montrer ses inquiétudes en lançant des mises en garde aux investisseurs sur l'éventualité d'un processus de relève des taux d'intérêt pour mater cette inflation galopante mais vu l'irrationnalité du marché et de ses intervenants ces appels seront probablement ignorés . Supposant maintenant que le prix du baril fluctue entre 200-300 $ l'inflation américaine des produits énergétiques atteindra certainement les 25 % et l'inflation générale américaine sera avec deux chiffres. Est - ce qu'un scénario pareil est possible ? invraisemblable á la limite de l'impossible
3 - Les compagnies pétroliÈres américaines et internationales
J'ai fait une analyse financière aux 5 grandes compagnies pétrolières dans le monde . EXXON - MOBIL , SHELL , BP , TOTAL , CHEVRON . Et le résultat est le suivant Ces compagnies ont un PER ( Price Earning Ratio ) qui varie entre 8 et 10 cela prouve que ces entreprises sont sous - valorisées par le marché. Ces entreprises possèdent un coefficient de risque BETA variant entre 0,46 et 0,63 cela veux dire que le risque est très faible pour qu'un investisseur perd son argent en achetant les actions de ces compagnies. Ces entreprises mènent une politique généreuse de distribution des dividendes aux actionnaires et on signalent une croissance continuelle des dividendes. Ces compagnies se sont lancées ces dernières années dans un programme de rachat de leurs propres actions et le but recherché est d'accroître le BPA ( Benefice Par Action ) et par conséquent rendre leurs actions attractives sur le marché boursier . Mais malgré tous ces avantages et cette belle fiche technique qui explicitement montrent á quel point les valeurs pétrolières sont attractives aux yeux d'un investisseur rationnel les grands investisseurs ( institutionnels ) adoptent une attitude glaciale á l'égard des actions de ces entreprises pourquoi ? la réponse est la CROISSANCE mes chers amis , la croissance de ces compagnies est incertaine et justement cette croissance est liée á la hausse anticipée du prix du baril cela nous conduit á la conclusion implicite et qui est en occurrence la preuve formelle que ces grands investisseurs ne croient pas á un cours du prix du baril dépassant les 100 $.
4 - La force relative
Un analyste de la Bank of America répondant au nom de Jim Wiklund déclarait en février 2005" avec cette hausse incompréhensible du prix du pétrole aucune des corrélations historiques ne marche ". Avec tout le respect que je dois á ce monsieur mais son raisonnement est manifestement faux . Pour le prouver nous allons nous référer á l'analyse technique et plus précisément au concept de la force relative pour observer ces corrélations.
Corrélation pétrole / dollar . Historiquement le prix du baril grimpe dans une période de faiblesse du dollar et dans notre cas actuel cette corrélation est respectée.
Corrélation pétrole / indice CRB ( le CRB est le plus grand indice des matières premières dans le monde ). De 2003 á 2005 le prix du baril a superformé l'indice CRB mais en 2006 on a constaté que les deux courbes de la hausse celle du prix du baril et celle du CRB vont en parallèle ( la hausse du pétrole et celle des matières premières est presque de même amplitude ) et la aussi on voie que cette corrélation est respecté
Corrélation pétrole / marché des actions Historiquement il existe une corrélation négative entre le marché pétrolier et celui des actions c'est-à-dire quand le prix du pétrole monte le prix des actions chute et vice - versa Mais en 2004 et 2005 les deux marchés étaient en hausse cette anomalie que cherche monsieur Wiklund á exploiter est trompeuse., le marché des actions a certes grimpé mais cette hausse est sectorielle et ne concerne pas les actions de tous les secteurs , les actions qui ont superformé sont celles des entreprises productrices des matières premières , des mines , et quelques branches des valeurs cycliques par contre les valeurs technologiques , celles de l'automobile et d'autre n'ont pas grimpé . Mais en 2006 l'ordre est revenu á son état normal , et la corrélation est une fois de plus respectée. Les propos de monsieur Wiklund insinuant la psychose et un prix du baril fantaisiste sont démentis.
5 - Intervention de la banque centrale chinoise
La CHINE est devenue le principale acteur sur l'échiquier pétrolier mondiale cela est due á sa consommation boulimique de pétrole et sa croissance á deux chiffres quel serait la réaction de ce pays et de sa banque centrale face á un baril dépassant les 100 $ ? et par quel instrument monétaire devrait -elle sauver la situation La méthode la plus connue est le resserrement monétaire c'est-à-dire une relève des taux d'intérêt secondé par une augmentation fiscale ce qui en résultera par un coup de frein á la croissance et par conséquent une baisse de la demande pétrolière entraînant á son tour la chute du prix du baril . Ce scénario est classique mais la CHINE d'aujourd'hui n'est celle d'avant avec et les moyens financiers qu'elle possède actuellement elle peux procéder á une autre manoeuvre plus raffinée et plus efficace une intervention sur le dollar c'est-à-dire une vente massive du dollars américaine sur les marchés de change internationaux afin que cette baisse du dollar compensera la hausse du pétrole. cette stratégie a déjà été utilisée par quelques banques centrales de certains pays auparavant et c'est pour cela que certaines voix au sein de l'OPEP se sont élevées pour demander á ce que le pétrole soit facturé en EURO . Le prix du baril a augmenté de 64 % en dollars mais seulement 16 % en euro durant la période de 2002 - 2004 une baisse du dollars sera bénéfique pour plusieurs pays les USA en profiteront pour réduire leurs gigantesques déficit budgétaire , et leurs exportations seront mieux positionnées pour la concurrence . Les pays asiatiques et les pays émergents voient cette intervention avec un bon oeil , ils n'ont á s'inquiéter de l'appréciation de leurs propres devises car la plupart de celles-ci sont liées au dollar.
6 - Les bourses mondiales à caractère pétrolier
Les bourses mondiales dont les indices sont fortement pondérés par les valeurs pétrolières sont nombreuses mais je vous ai choisi trois qui les connus les bourses de MOSCOU , OSLO , RYADH . Il fut un temps ou le FOND russe était très populaire chez la communauté financière internationale et plus particulièrement ici en Suède et la bourse de Moscou battait record après l'autre jusqu'au mois de mai 2006 ou cette subissait un mini - crash ( une chute de 26 % en deux mois ) ce qui m'a étonné est que c'était presque uniquement les investisseurs étrangers qui ont fui cette bourse il ne s'agit pas d'une prise des bénéfices mais d'un départ volontaire pourquoi ? si ces investisseurs flirtaient avec l'idée d'un baril de 300$ ils auraient attendu la deuxième vague de hausse potentiellement plus importante que celle d'auparavant ! La bourse d'Oslo a connu une fuite des investisseurs un peu moins importante que celle de Moscou mais les volumes des transactions boursières ont fortement diminué . La bourse de Ryadh nouvellement crée a connu une histoire particulière , les investisseurs institutionnels traditionnels étaient absents mais les banques d'affaire occidentales misant sur le manque d'expérience et de connaissance du peuple saoudien des marchés boursiers elles sont venues installer leurs infrastructures boursières ( maison de courtage, bureau de conseil , lettres d'affaire etc. ) .
7 - Les fonds indiciels
Dans les années 60 et 70 le prix du pétrole ne s'alignait pas forcement sur le prix des matières premières ou tout simplement ne dépendais pas de lui mais actuellement et avec la création des fonds indiciels la dépendance est devenu une réalité . les fonds indiciels est une nouvelle technique d'investissement qui tire sa source de la théorie de l'efficience des marchés financiers ces fonds sont liés au indices des matières CRB futures Price Index , RICI ( Rogers International Commodities Index ) , Dow Jones AIG commodities index , Goldman sachs commodities index. Dans tous ces indices le pétrole est représenté avec une pondération allant de 21 a 42 % on sait pertinemment que les matières premières sont cycliques et donc il est raisonnablement logique de dire que les sous-scripteurs de ces fonds n'hésiteront une seconde á vendre leurs fonds des que les premiers symptômes d'un déclin de conjoncture leur apparaissent mais malheureusement les contrats á terme de notre pétrole seront liquidés avec.
8 - La volatilité
L'histogramme de la volatilité implicite d'une matière première nous montre une durée de temps variant entre 3 et 5 ans et comme vous l'avez remarqué que le prix du pétrole a été très volatile ces dernières années mais avec l'essoufflement de cette volatilité le prix se dégonfle bien sur mais le plus dramatique est que la volatilité a toujours été l'âme du spéculateurs et plus particulièrement les spéculateurs sur les marchés des dérivés .donc avec l'essoufflement de cette volatilité le marché des options sur pétrole sera vidé de ses acteurs puisque avec une faible volatilité les spéculateurs de la hausses - les détenteurs des CALLS et les spéculateurs de la baisse - les détenteurs des PUT seront tous les deux perdants. Une autre réalité qui détrône le mythe d'un baril de 300 $
9- La Théorie de l'opinion contraire
Personnellement je considère cette théorie comme la meilleur en matière d'investissement et je possède une cinquantaine d'exemple qui la valident . Je l'ai étudié pendant plus de 14 ans et je suis arrivé même á lui donner mon propre concept et qui est le suivant .
quand les opinions des banques d'affaire sur la recommandation d'achat ou de vente d'un actif financier ou d'une matière première sont presque unanimes.
quand les opinions des médias financiers sur une hausses ou une baisse d'un actif financiers ou d'une matière première sont presque unanimes..
quand il y a une similitudes des opinions des banques d'affaire et des média financiers sur une actif financier alors c'est en ce moment crucial et incrédible que le CONTRAIRE se produira. Voici maintenant quelques opinions de ces derniers.
les analystes du Crédit Suisse anticipent un prix de baril de 300 $ en 2012 .
deux analystes français de la banque Lazare — 375 $ en 2015 .
L'analyste Jim Wiklund de Bank of America 260 $ en 2012 .
les analystes de Goldman Sach 170 $ en 2010 .
les analystes de la Morgan Stanley 160 $ en 2012. Maintenant je tiens á vous donner des exemples vécus de l'opinion contraire.
en 1978 le prix du baril était á 31 $ les experts et les analystes anticipent un baril á 100 $ au milieux des années 80 , la vérité nous apprend qu'en 1986 le prix était tombé á 10 $ .
en décembre 2002 juste quelques mois avant l'invasion américaine de l'Iraq le prix du baril était 33 $, presque tous les experts et analystes pétroliers prévoyaient un prix de baril de 15 $ . la réalité était contraire et le baril atteindrait 79 $ en 2006.
10 - Les Couvertures
Á la bourse pétrolière de Nymex ( le marché á terme américain du pétrole) on distingue plusieurs acteurs qui tradent avec les contrats á terme pétrolier il y a ceux qui ont des positions longues ( investisseurs ) ceux qui ont des positions courtes ( les spéculateurs ) et une autre catégorie d'acteurs qui nous intéresse ceux QUI SE COUVRENT ce sont pour la plupart des producteurs pétroliers mais aussi les Hedge fonds ils vendent des contrats á terme á prix et date donnée pour se protéger contre une chute du prix du baril. Or ce que l'on constate est que le prix du contrat á terme du baril west - texan de décembre 2012 est de 65 $ c'est-à-dire 3$ de moins que celui de décembre 2006 donc l'indicateurs du consensus est que il a plus d'investisseurs qui croient á une chute du prix que ceux qui croient en une hausse voila une preuve solide qui balayera toute fantaisie.


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