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Le Maroc bon élève de la GE veut dire quoi ?
L'Algérie, la guerre économique et L'intelligence économique (2e partie et fin)
Publié dans El Watan le 09 - 08 - 2017

Au fil des ans, le Maroc a pris des mesures décisives pour développer ses activités et jouer un rôle actif dans plusieurs chaînes de production mondialisées. On peut citer quelques exemples concrets de ce qu'implique l'intégration dans une chaîne de valeurs mondiale pour un Etat et pour les entreprises africaines.
Le Maroc vient de se classer parmi les meilleures destinations en Afrique dans le domaine du tourisme médical. Il fait partie des 4 destinations médicales phares de l'Afrique, à côté de la Tunisie, de l'Afrique du Sud et de l'Egypte. En tant que 3e meilleur pays francophone en tourisme médical, selon le rapport de 2016 du journal leader du secteur Medical Tourism Index (MTI), ce royaume est en train de devenir un hub sanitaire en Afrique. D'après MTI toujours, il est classé 31e sur les 41 principales destinations du tourisme médical répertoriées.
Lors de la 2e édition du Salon Africa Médical Tourisme Expo, organisée à Marrakech du 22 au 24 mars 2017, les atouts du tourisme médical ont été largement mis en avant sous le thème «Pour la création d'écosystèmes du tourisme médical en Afrique». Cet événement africain dédié au tourisme médical, qui a rassemblé les experts référents internationaux et les acteurs majeurs du secteur, a pour objectif de faire émerger les perspectives de développement des années à venir de ce créneau porteur en Afrique.
Cet événement vise à créer une vitrine internationale afin de positionner le Maroc et la région de Marrakech comme pôle et destination santé, mais également comme carrefour du tourisme médical africain. En marge de cet événement, le Conseil marocain des voyages de santé a vu le jour en fruit de ce forum, afin de fédérer les efforts et surmonter les obstacles.
Le retour également du Maroc au sein de l'Union africaine et la signature de plusieurs accords avec des pays africains permettent de renforcer davantage le rôle de notre voisin en tant que locomotive économique dans ce domaine et d'encourager les investissements par le développement d'un réseau d'acteurs médicaux mondiaux.
Sa première «ville-médicale», baptisée «Marrakech Healthcare City», est un complexe médico-hôtelier qui comporte, en plus d'une clinique, un hôtel 5 étoiles de 160 lits et un complexe résidentiel de 80 appartements médicalisés avec piscines et jardins privés. Ce projet, qui a été lancé par le groupe immobilier émirati Tasweek, pour un investissement global de 40 millions de dollars, vise à accueillir plus de 5000 patients par an pour plusieurs spécialités.
Au début de 2017, le 1er groupe d'hospitalisation privée étranger s'est installé au Maroc. Il s'agit d'Elsan, 2e acteur français de ce domaine (120 établissements de soins en France), qui a prévu d'ouvrir sa première clinique en juillet. Le Maroc, et surtout Casablanca, devraient profiter de la tendance mondiale à se soigner à l'étranger, principalement grâce à sa proximité des différentes capitales européennes et à la qualité de ses praticiens.
Le coût des opérations médicales est moins élevé qu'en Europe ou aux Etats-Unis, pouvant atteindre 50% sur les opérations dentaires. Dans un autre créneau, le Maroc vient de célébrer le 6 juin 2017 son millionième véhicule Renault fabriqué dans ses usines et exporté. Avec l'internationalisation de ses entreprises, les véhicules Renault «Made in Morocco» représentent 10% des véhicules vendus par ce constructeur. L'automobile est le premier secteur exportateur de notre voisin et aussi la véritable locomotive de son économie.
L'activité de l'export a démarré en 2012, puis a pris sa vitesse de croisière. Aujourd'hui, la production marocaine est destinée à plus de 73 destinations, majoritairement d'Europe et des pays arabes. Le groupe Renault Maroc exporte également des pièces vers d'autres usines de Renault (Inde, Roumanie, Argentine, Brésil et Colombie). Plus de 195 000 m3 de pièces ont été exportés depuis le démarrage de cette activité en 2013. Qui eut cru en ce «success story» ?
Les opérateurs chinois étaient à la recherche de plateformes compétitives et ils ont choisi le Maroc comme l'une d'entre elles. Avec une enveloppe d'un milliard de dollars, une «ville intelligente» sera construite sur 20 000 hectares par le groupe chinois Haite et accueillera 200 entreprises chinoises des secteurs de la construction automobile, de l'industrie aéronautique et du textile, avec une prévision de 100 000 emplois. Ce projet peut être l'un des plus grands projets africains de la décennie.
En effet, le Maroc a renforcé ces dernières années sa position de porte d'entrée vers l'Europe et l'Afrique, tandis que la Chine éprouve un intérêt économique conséquent pour notre voisin au détriment de son partenaire historique qu'est l'Algérie. Cette mégalopole sera capable d'accueillir jusqu'à 300 000 habitants et les travaux commenceront au deuxième semestre 2017. Les produits chinois du groupe Haite (automobile, électronique, textile…) pourront irriguer les réseaux commerciaux du continent nord-africain, mais aussi de l'Europe. Après Renault, déjà présent au Maroc, cette réalisation densifiera donc le tissu industriel d'une grande région de ce pays.
Dubaï
En avril 2016, l'émirat de Dubaï a lancé le premier portail électronique de tourisme médical (Dubai Health Experience), offrant un accès à un menu complet de services de santé. Cette initiative vise à attirer les voyageurs médicaux étrangers en leur donnant des remises sur leurs vols avec la compagnie Emirates, en leur facilitant l'obtention de visas et en leur recommandant des hôtels partenaires.
En sélectionnant 42 centres, 7 spécialités pour lesquelles la ville a les capacités médicales nécessaires sans affecter l'accès aux soins de la population locale, un organisme dirigeant (Medical Tourism Council), une stratégie dans ce domaine (Dubaï Health Experience), un Salon (Arab Health Exhibition & Congress), l'émirat de Dubaï mise sur ce type de tourisme. En 2015, par exemple, il a accueilli près de 300 000 patients pour des soins, dont 30% sont originaires des pays arabes. L'objectif est d'attirer 500 000 touristes médicaux par an d'ici 2020, année de l'exposition universelle à Dubaï.
Selon l'Autorité sanitaire de Dubai, le tourisme médical devrait contribuer au PIB à hauteur de 708 millions de dollars d'ici 2020, avec une estimation d'augmentation des recettes de 13 pour cent d'année en année. Pour résumer la politique d'IE des Emirats arabes unis, le défunt président visionnaire, Cheikh Zyad disait : «Je ferai ce que personne n'a fait avant moi.» Bien sûr, pour faire mieux que les autres, il faut connaître et maîtriser ce que les autres font.
Tunisie
La Tunisie apparaît comme la première destination du tourisme médical dans la zone du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord (MENA). Elle est devenue la première destination du tourisme médical en Afrique en terme de volume (500 000 patients visitent la Tunisie chaque année), générant un revenu de presque 450 millions d'euros par an.
Les pays du Maghreb, en premier lieu la Libye, demeurent la clientèle la plus importante (en nombre), suivie des Subsahariens et aussi des Européens. A la clinique les Jasmins (très connue en Algérie), par exemple, on reçoit chaque mois entre 80 et 100 clients européens demandeurs de soins esthétiques, attirés par des tarifs quatre fois inférieurs à ceux pratiqués dans leurs pays d'origine. A titre d'exemple, la thalassothérapie a placé la Tunisie avec ses 63 centres de thalassothérapie au 2e rang mondial après la France.
Plusieurs raisons peuvent expliquer cette croissance, notamment le développement des infrastructures techniques, une médecine de qualité, une compétence médicale et paramédicale, un coût compétitif des soins et une situation géographique stratégique. Cet important potentiel émetteur est actuellement dans le viseur des professionnels tunisiens, forts en cela de l'engagement de la compagnie nationale Tunisair, qui a amorcé un cycle d'ouverture de nouvelles dessertes aériennes directes avec plusieurs pays africains, étant, elle-même, convaincue de l'opportunité de l'orientation africaine.
Comme la Tunisie ne dispose encore que d'un nombre limité de représentations diplomatiques, elle prévoit l'entrée en vigueur du visa électronique d'ici fin 2017 ou début 2018, avec un projet soutenu par l'Organisation mondiale du tourisme (OMT). Outre ses quatre facultés de médecine (Tunis, Monastir, Sousse et Sfax), des investisseurs européens et tunisiens, associés aux plus grands experts mondiaux de la cancérologie, travaillent depuis quelques années au développement dans la région de Gabès du plus important hôpital privé de cancérologie d'Afrique.
Il s'agit d'un projet majeur pour la santé publique, l'économie et l'emploi en Tunisie : un investissement direct étranger de plus de 25 millions d'euros, la création de 300 emplois à haute valeur ajoutée exclusivement tunisiens, le développement du tourisme médical en Tunisie, la mise en place d'un programme de recherche de pointe et la création de la première bio-banque d'Afrique. Comme a dit le Carthaginois Hannibal, père de la stratégie, à la conquête de Rome : «Nous trouverons un chemin, ou nous en créerons un.»
D'autres pays viennent tout juste de se lancer dans ce créneau porteur, comme le Portugal. Voilà ce qu'a dit le responsable du Health Cluster du Portugal au mois de mars 2017 : «Nous sommes encore en train de préparer notre stratégie. Celle-ci repose d'abord sur un parc moderne d'hôpitaux privés, car nous ne pensons pas que nous pouvons utiliser des hôpitaux publics à des fins de tourisme médical.»
Un élève à haute potentialité qui passe enfin à la vitesse supérieure : l'Algérie
L'Algérie passe à la vitesse supérieure, avec un important forum économique africain organisé en fin d'année 2016. L'objectif principal de ce forum est de fructifier dans le domaine des affaires les excellentes relations diplomatiques qui existent depuis longtemps avec les pays africains. Cinq grands thèmes étaient au cœur des travaux : L'Agriculture, L'Agro-industrie, L'Energie, Le Numérique et Les Infrastructures et Les Finances.
Depuis plus de trois ans, plusieurs institutions algériennes activent afin d'attirer les capitaux africains, comme européens, pour faire de notre pays un hub commercial, entre autres. Alors qu'elle faisait face à des pénuries aiguës de certains produits il y a un quelques années, l'Algérie va bel et bien commencer à en exporter en 2018 vers l'Afrique de l'Ouest. L'exportation du ciment constituera le début de la redynamisation du processus d'internationalisation de ses entreprises.
Par ailleurs, plusieurs accords de partenariat ont été signés avec de grands constructeurs spécialisés dans la fabrication de voitures et de véhicules lourds, pour créer des usines de montage et de fabrication en Algérie et donc très bientôt plusieurs modèles sortiront de ces nouvelles lignes algériennes de montage : Golf, Caddy, Seat Ibiza, Foton... avec des taux d'intégration allant de 10% actuellement pour progresser graduellement à 40% en 2022.
L'Algérie vise à être visible sur les radars internationaux dans l'industrie automobile et aussi dans le commerce international, notamment avec la construction du port de Cherchell, poumon de notre économie, qui sera à l'horizon 2022 le plus grand port de commerce de la Méditerranée.
En outre, l'Algérie est l'un des moteurs politiques et financiers pour la construction de la route transsaharienne, pour laquelle elle a déjà investi plus de 3 milliards de dollars. D'une longueur de 10 000 km, cette route, qui reliera Alger à Lagos en passant par la Tunisie, le Mali, le Niger et le Tchad, devrait être prête en 2018. Malgré ces importantes réalisations, la marge de progression de l'Algérie pour occuper une place de référence sur le continent africain reste faible.
Certaines barrières doivent encore être levées pour libérer pleinement le potentiel du partenariat économique Algérie-Afrique, car les défis auxquels notre pays fait face peuvent être de réelles opportunités si notre économie capitalise sur les gisements de croissance dont regorge l'Afrique. Mais pour que la croissance soit durable, notre pays doit faire face au problème de manque de diversification. Le tourisme médical est en plein boom dans plusieurs pays portés depuis des années par une forte croissance. Ce domaine, qui pèse déjà plusieurs milliards de dollars, devrait augmenter de 25% par an sur la prochaine décennie, selon une étude récente de Visa et d'Oxford Economics.
Le tourisme médial intra-africain connaît une croissance exponentielle depuis une quinzaine d'années, avec un atout mis en avant, et représente aux yeux de tous la première motivation des patients : le prix, et donc, offrir des soins de haute qualité à des prix attractifs attire des millions d'étrangers. L'Algérie est bien placée en matière de tourisme médical et peut offrir un point d'atterrissage alternatif très attractif aux patients des pays africains, pour lesquels la destination Europe est devenue difficilement accessible tant pour le visa que la cherté du déplacement.
Face à ce marché en pleine expansion, il est indispensable de suivre des exemples tels que la Turquie, le Maroc et la Tunisie, afin de remplir les caisses des cliniques et des hôpitaux, car il y a un marché à prendre et des emplois à créer, le choix est clair. L'Etat et le privé doivent conjuguer leurs efforts, afin de renforcer ce créneau porteur au regard de la forte demande qui ne cesse de s'exprimer. C'est une niche très stratégique, qui a toute sa place dans le secteur du tourisme.
L'Algérie dispose de plusieurs atouts qui garantissent la réussite de cette activité et les talents stratégiques des cadres algériens ne sont plus à prouver. Un futur ministre ou secrétaire d'Etat dynamique du tourisme, avec une vision stratégique forte, qui a caractérisé tous les acteurs ayant réussi une percée internationale dans le domaine de tourisme médical, est nécessaire.
Une réflexion approfondie et des choix organisationnels forts devront être conduits dans un court délai pour transformer nos potentialités en succès. Il faut également un plan d'action efficace, un conseil dédié à décliner des actions concrètes, une diaspora à actionner et bien sûr tout faire pour attirer cette «clientèle», sinon, elle ira ailleurs. Cela doit interpeller notre stratégie touristique, qui doit être plus que jamais en phase avec les mutations de cette activité sur la scène internationale et ne doit pas nous placer devant un dilemme stratégique insoluble.
Ce secteur, arrivé à bout de souffle, doit être structurellement repensé afin de lui insuffler une nouvelle dynamique, de renforcer sa compétitivité et d'assurer sa pérennité. Repérer les opportunités et les tendances émergentes et les croiser avec les capacités des entreprises algériennes pour conquérir de nouveaux marchés devrait être l'un des objectifs majeurs du gouvernement algérien.
Nous avons besoin de faire du forcing pour explorer de nouveaux relais de croissance, pour améliorer l'intégration dans les chaînes de valeur mondiales, afin d'être non uniquement une terre d'accueil, mais une partie prenante dans plusieurs secteurs à haute valeur ajoutée, ceci est plus que jamais une priorité. L'Algérie est à un tournant, le contexte est porteur et les Algériens semblent prêts à de profondes évolutions sur différents créneaux. Reste à savoir si l'Algérie saura se positionner sur ce marché et prendre le train en marche, comme l'ont déjà fait plusieurs autres pays. Un challenge, certes, mais qui pourrait rapporter gros au pays.


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