Un centre national du permis de conduire à Birtouta Le centre national du permis de conduire sera érigé à Birtouta, dans la wilaya d'Alger, où un terrain a pu être acquis, a indiqué le ministre des Transports, Mohamed Maghlaoui. Ce centre, une sorte de grande auto-école d'Etat, sera doté de moyens ultramodernes d'apprentissage de la conduite automobile dans l'objectif simple d'améliorer la formation dans ce domaine. Des circuits d'apprentissage conçus aux normes internationales seront installés dans ce centre. A une question sur le sort des auto-écoles actuellement opérationnelles, après la création de ce centre géant, le ministre a indiqué que le centre du permis de conduire doit être perçu seulement comme un « plus » en matière de sécurité. LA CNRC opte pour la facilité à Tizi Ouzou Suite à un article paru dans une de nos précédentes éditions relatif au fonctionnement de la CNRC au niveau de l'agence de Tizi Ouzou, la direction centrale aurait, selon les premières informations, réagi d'une manière unilatérale en mettant fin aux fonctions du directeur régional alors que le problème réside en fait dans la politique de décentralisation menée par la direction générale à travers toutes ses structures régionales. C'est le responsable de la direction régionale de Tizi Ouzou qui semble avoir fait les frais alors que les problèmes vécus par les citoyens restent toujours en suspens car la direction aurait opté pour la facilité au lieu de faire face aux difficultés. Des enfants hospitalisés pris en otages au CCI de Sidi Bel Abbès Les parents de dizaines d'enfants hospitalisés au Centre de chirurgie infantile (CCI) de Sidi Bel Abbès sont complètement désemparés face au continuel report des interventions programmées dans ce service récemment inauguré par le ministre de la Santé et de la Population. Selon l'un d'eux, ledit service est « à l'arrêt » faute de médecins anesthésistes. « L'intervention que devait subir ma fille, admise depuis deux semaines au CCI, a été reportée faute de médecin anesthésiste. Pourtant, il s'agit d'une urgence », affirme, anxieux, le père d'une malade âgé de 11 ans. D'autres parents de malades estiment être pris « en otages » à cause d'un dysfonctionnement qui met sérieusement en danger la vie de leurs enfants. Un meurtre pour 20 000 DA à Sétif Le crime ayant secoué dimanche 18 mars 2007 la cité des 407 Logements située à la périphérie nord de Sétif a été rapidement élucidé. Ainsi, un certain M. A. âgé de 39 ans, vingt-quatre heures après l'accomplissement du forfait, s'est rendu à la police pour avouer son acte. La victime, un père de 3 enfants, a été ainsi tué par son voisin pour une dette de deux millions de centimes. Le défunt ayant reçu des coups de couteau (à cran d'arrêt) au coup, à la tête, à la gorge, à l'oreille droite et à côté du rein, a succombé à ses blessures à son arrivée au CHU. Une enquête a été diligentée par le magistrat instructeur près le tribunal de Sétif qui a placé, mercredi 21 mars , le mis en cause, en détention préventive. Un jeune tué par la foudre à Jijel Un jeune de 18 ans habitant Djebra, localité au sud de la commune de Jijel, a trouvé la mort après avoir été frappé par la foudre jeudi après-midi. La victime s'amusait avec ses copains avec de la neige qui était abondamment tombée sur cette région située en hauteur. Quant à son compagnon, un enfant âgé de 11 ans, il a été blessé et transporté en urgence vers l'hôpital Mohamed Seddik Benyahia. « Les enfants de la rue » thème d'un séminaire-formation Un séminaire de formation sur la problématique des « enfants de la rue », au profit de spécialistes chargés de la prise en charge de cette frange de la société, se tiendra aujourd'hui à Alger. Ce séminaire de deux jours permettra de faire un état des lieux sur la situation des enfants de la rue en Algérie et de définir les facteurs de ce phénomène. Il aura également à mettre en place des actions et mécanismes de la prise en charge de ces enfants âgés de 9 à 18 ans, qui se trouvent dans la rue pour plusieurs raisons, particulièrement à cause des difficultés sociales.
