Résumé de la 25e partie n En rentrant de l'université, Sabrina trouve Rafik à la maison. Il raconte à sa mère qu'il l'a vue avec un garçon. Dès que Rafik sort, Djazia va vers Sabrina. — Ne t'offusque pas de ce que ton cousin a dit ! — Comment ne pas m'en offusquer alors qu'il m'a calomniée ! Djazia tente de la calmer. — Voyons, il ne t'a pas calomniée… Il a juste dit qu'il t'a vue avec un garçon ! — Je lui ai pourtant dit que c'était un étudiant ! Mais la jeune fille s'emporte. — Et si c'était un copain ? Il m'interdirait d'avoir un copain ? — Calme-toi ! — Cet homme n'est ni mon père ni ma mère pour m'interdire quoi que ce soit ! — C'est ton cousin… — Et alors ? Il n'a aucun droit sur moi ! Djazia soupire. — Rafik est vieux jeu, dit-elle, il se comporte avec toi comme il se serait comporté avec une sœur ! — Je ne suis pas sa sœur ! Djazia rit sous cape. — Quoi, qu'est-ce qu'il y a ? dit Sabrina. — Rien, rien, dit la mère. — Je t'ordonne de parler ! Djazia hésite. — Euh… peut-être que Rafik a des vues sur toi ! — Des vues ? — Oui, peut-être qu'il veut t'épouser ! Sabrina éclate de rire. — Quoi ! Lui ! — Et pourquoi pas ? C'est un beau garçon… D'autres filles se le disputeraient ! — Je ne fais pas partie de ces filles… Avec son sale caractère… Djazia se fait plus douce. — Et s'il demande ta main ? — Plût à Dieu qu'il ne le fasse pas ! — Ton oncle aussi doit avoir des vues sur toi ! — Je refuse, je refuse ! — Il y a des intérêts familiaux supérieurs… sabrina éclate. — Ah, oui, c'est cela, c'est pour hériter des biens de papa ! — Il vaut mieux que ce soit des membres de la famille qui en profitent… Et toi, tu seras entre de bonnes mains, dans ta famille paternelle, entre ton oncle et ton cousin. Je pourrais mourir tranquille ! Sabrina se bouche les oreilles. — Ne me parle plus de cela ! (à suivre...)