Une hirondelle ne fait pas le printemps. Les pluies qui ont fait leur apparition sur toute la partie nord du pays et qui vont, selon les prévisions de l'office national de la métrologie, perdurer jusqu' à demain jeudi, n'arriveront pas à combler le déficit en volume de précipitations qui s'est accumulé durant ces trois derniers mois dans le pays au point où la sécheresse a commencé à s'installer sur les champs emblavés. Mais toujours est-il que les précipitations actuelles ont donné de l'espoir aux fellahs. Une hirondelle ne fait pas le printemps. Les pluies qui ont fait leur apparition sur toute la partie nord du pays et qui vont, selon les prévisions de l'office national de la métrologie, perdurer jusqu' à demain jeudi, n'arriveront pas à combler le déficit en volume de précipitations qui s'est accumulé durant ces trois derniers mois dans le pays au point où la sécheresse a commencé à s'installer sur les champs emblavés. Mais toujours est-il que les précipitations actuelles ont donné de l'espoir aux fellahs. Ceux là même qui devant la sécheresse qui se profilait, du fait d'un automne et d'un début d'hiver marqués par une quasi absence des précipitations redoutaient que leur campagne agricole tourne à la catastrophe. Il faut dire aussi que devant le stresse hydrique menaçant les cultures en places, les gens de la terre ont vécu ces dernières semaines la peur au ventre craignant que la situation se poursuive au moment même où de nombreuses spéculations sont en phase de montaison. Une frayeur qui pourrait ce dissiper si d'autres précipitations venaient à se manifester d'ici la fin de ce mois courant. C'est d'autant plus souhaité par les agriculteurs sachant que leur campagne agricole, tributaire de la pluviométrie, peut être sauvée. Ce que d'ailleurs partagent les agronomes et de témoigner : «Avec les précipitions atmosphèriques actuelles l'espoir est permis.» Toutefois ces professionnels avancent que «la satisfaction ne viendra enfin que si des précipitations de mars et avril sont au rendez-vous car indispensables dans les cultures céréalières qui, en cette période, les épis sont en phase de montaison et c'est pourquoi l'apport hydrique est important». Toujours à propos des précipitations atmosphériques actuelles il faut souligner qu'elles interviennent en temps opportun. Et comment ? L'automne et l'hiver sont des saisons où les nappes phréatiques refont le plein. Reste donc à espérer que d'autres précipitations vont se ce manifester les prochaines semaines. Toutefois, et selon les prévisions de la météo, des pluies sont certes attendues, mais de faible intensité par rapport à celles en cours. Nous le seront d'ici la mi-mars prochaine. Les fellahs y fondent beaucoup d'espoir dès lors où ils seront fixés sur le devenir de leur campagne agricole. Z. A.