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Où est le vrai problème ?
Publié dans Le Maghreb le 09 - 09 - 2009


Une Algérie plus compétitive ? Pour le moment, la compétitivité est toujours en état de projet. Une compétitivité, serait-elle une donnée concevable sans le partenariat ou la participation des investisseurs étrangers au capital de nos entreprises publiques ? Mais, dans le cas où toutes les entreprises publiques, ou du moins les plus importantes d'entre elles, sont privatisées en faveur des investisseurs étrangers, serait-elle exhumée l'accusation selon laquelle le pays a été vendu ? En France par exemple, les investisseurs étrangers détiennent environ la moitié du capital des entreprises cotées à la Bourse. Mais, il ne s'agit pas d'entreprises publiques. Dans les pays où règne le libéralisme, il n'y a pratiquement plus de frontières car une entreprise d'un pays donné peut acheter une entreprise d'un autre pays. Ce genre de pratiques se produit d'habitude dans un espace économique obéissant aux mêmes règles. Il faudrait quand même ne pas omettre que dans cet espace, il y a également une homogénéité des systèmes politiques, l'indépendance effective de la justice, et l'acceptation à se soumettre au contrôle par une commission de régulation, à des règles régissant la concurrence. Pourrait-on dire dans ce cas que l'Algérie peut se soumettre aux mêmes règles dans cet espace qu'elle est appelée à intégrer économiquement mais pas politiquement ? Inefficacité dans la mise en œuvre des politiques, inefficacité des instruments de suivi de la mise en œuvre des politiques d'action ? Lorsque les pouvoirs publics imputent ces carences à l'absence de la bonne gouvernance, on pourrait d'abord demander à mieux identifier les critères de cette bonne gouvernance, et surtout à bien savoir pourquoi nous nous trouvons encore dans une situation connue depuis bien longtemps et analysée également depuis longtemps. Il faudrait donc définir de nouveaux critères de performance. Il y a surtout les avancées enregistrées dans les exportations hors hydrocarbures pour ne pas avoir à dépendre excessivement du seul pétrole, d'autant que celui-ci est épuisable. Actuellement, le montant des exportations hors hydrocarbures s'élève à la somme dérisoire d'un milliard de dollars, un dollar dévalué en plus. En réalité, ce montant devrait être revu à la baisse, c'est-à-dire de moitié, car 50% proviennent des dérivés du pétrole, selon le ministre du Commerce qui s'est exprimé ainsi lors de son passage à l'émission "forum" de la chaîne II de la Radio nationale. Un deuxième critère de bonne gouvernance serait défini par les avancées dans la substitution aux importations. Il faudrait donc à la fois exporter en hors hydrocarbures et produire en substitution aux importations. Cela fait des décennies qu'on parle de substitution aux importations. Le problème est que ces objectifs ont toujours été poursuivis par les gouvernements successifs et pourtant, ils demeurent et encore et encore à l'état d'objectifs non atteints, ou plutôt très loin d'être atteints. N.B

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