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Quelle politique de l'emploi et des salaires pour l'Algérie ?
Publié dans Le Maghreb le 08 - 11 - 2007

Suite à mes précédentes contributions , je livre une contribution cruciale pour l'avenir du pays à savoir la problématique de l'emploi et des salaires en trois parties : analyser la situation de l'emploi en Algérie ; deuxièmement l'évolution du taux de chômage ; troisièmement diagnostiquer la politique salariale actuelle et montrer le danger d'une dévalorisation du savoir pour terminer par mettre en relief l'urgence de réorienter toute la politique économique et sociale actuelle.
3 : Quelle est l'évolution de la masse salariale ?
Au préalable je tiens à souligner que je déplore qu'aucune enquête sérieuse sur les salaires depuis 20 ans n'ait été réalisé au niveau de l'ONS et la seule indication a été donnée (page 16 l'Algérie en quelques chiffres publication 2005) pour 2001/2003 respectivement 462 et 533 milliards de dinars de masse salariale pour le secteur économique 542 en 2003 concernant l'administration, soit au total 1075 milliards de dinars,. Lors du dernier décret 2007 sur la revalorisation des salaires de la fonction publique, certains responsables ont avancé pour ce segment environ 720 milliards de dinars fin 2006 ce qui rejoint les données de l'étude réalisée sous ma direction sur la problématique de l'emploi et les salaires pour les pouvoirs publics , de janvier 2005 à mai 2006 où nous avons pris comme base de calculs le budget de fonctionnement des différentes lois de finances. Ensuite nous avons appliqué le ratio international pour déterminer l'évolution de la masse salariale à partir des lois de finances tenant compte de la masse salariale du Ministère de la défense nationale.. Si l'on prend le ratio masse salariale sur le PIB total et hors hydrocarbures nous avons les résultats qui confirment la dominance de l'économie rentière. Le ratio global masse salariale sur le PIB total administration et secteur économique passe de 22,10% en 1991 à 20% en 2001 et 19,60% en 2006. Par contre le ratio masse salariale sur le PIB hors hydrocarbures passe quant à lui de 32,70% en 1991 à 31,50% en 2001 et à 34,90% . Le constat est que la salarisation est en nette baisse accusant une régression au profit des emplois rentes alors que pour 2006 le ratio masse salariale sur le PIB est supérieur à 30% au Maroc et 37% en Tunisie, et varie entre 40/60% selon les pays développés oubliant ainsi que le salaire est un prix et que le travail est la seule source de la richesse permanente. Et bien entendu tenant compte de cette caractéristique du mode d'accumulation du XXIème siècle basé sur le savoir qui a remplace le mode d'accumulation matériel du XXème siècle, donc tenant compte des services qui ont un caractère de plus en plus marchand. C'est une des explications de l'importance du taux de chômage que l'on voile par des emplois rentes, délaissant les segments du savoir. A titre d'exemple , par rapport à leurs homologues maghrébins , le salaire net d'un professeur ou Maître Assistant algérien est d'environ un quart de leurs collègues marocains et tunisiens (entre 300 et 500 euros alignés sur un des pays les pauvres d'Afrique le Burkina- Faso et les dernières revalorisations les font passer du ¼ au 1/3- entre 500 et 800 euros contredisant les discours des pouvoirs publics de revalorisation du savoir. Sans compter les enseignants du primaire au secondaire devant accueillir plus de 15 millions horizon 2012 dont le salaire net varie avec les dernières augmentations de 2007 entre 180 et 300 euros alors qu'ils sont supposés former la génération de demain . Or, selon les critères internationaux, une formation adaptée de qualité est un de l'élément clef de l'attrait de tout investissement porteur, sur le même niveau qu'une bonne gouvernance. De 1996 à 2005 40.000 chercheurs ont quitté l'Algérie et 7000 médecins algériens en France dont 2000 uniquement dans la région parisienne. Une étude récente de l'OCDE (décembre 2005) avance un chiffre faramineux de diplômés universitaires algériens à l'étranger (y compris les techniciens supérieurs hautement qualifiés) chiffre cumulé de 1970 à nos jours de 210.000 qui exercent au niveau de cette zone. Aux USA on dénombre plus de 3000 chercheurs dans les filières scientifiques et plus au Canada. Or, le recrutement de 100.000 étrangers niveau moyennement qualifiés coûterait environ 4 milliards de dollars US par an. En fait, l'on est en passe d'importer presque tout y compris l'assistance étrangère (hier les usines clefs en main, aujourd'hui les infrastructures clefs en main sans capitalisation du savoir faire national) qui risque de prendre la relève du poste endettement extérieur, risque de dépendance plus grave pour le pays. Ainsi, moyenne 2005/2006 pour l'éducation dans son ensemble, du fait de son archaïsme, l'Algérie est classée 84 sur 125 pays par les instituts internationaux et le dernier classement mondial de l'Institut Shanghai pour les meilleures universités dans le monde l'Algérie est notée 6995ème sur 7000 soit parmi les cinq derniers de la classe. Méditons l'expérience de la Corée du Sud où il y a cela plus de deux décennies , des Ministres ont décidé que leur salaires serait inférieur à ceux des grands chercheurs( et cela existe toujours) privilégiant les intérêts futurs de leurs pays. Et lorsqu'un Ministre ou un Wali dépliera un tapis rouge au perron de son administration pour accueillir une sommité scientifique nationale, alors la mutation culturelle aurai eu lieu et il y aura lieu d'espérer à ce que la règle de Piter qui Fait que l'on gravite dans la hiérarchie en fonction de son incompétence et du degré de servitude aura cessé. Que l'on se rappelle uniquement l'expérience de Hélias Zerhouni en quête d'emploi à Alger , repoussé et qui dirige actuellement un des plus grand centre de recherche aux USA nommé personnellement par le Président Busch .et il y a des milliers d'algériens comme lui. L'Algérien est aussi travailleur et compétent qu'un américain ou un chinois et il l'a démontré sous d'autres cieux lorsque l'environnement est sain renvoyant en fait au blocage systémique. Lorsqu'on sait que le transferts en devises du savoir faire étranger risque d'aller vers les 4 milliards de dollars US horizon 2010 soit 280 milliards de dinars risque de remplacer progressivement le poste du stock de la dette qui a été remboursé par anticipation(moins de 5 milliards de dollars US fin 2006), la ressource humaine étant le pilier du développement ,richesse plus importante que toutes les réserves de pétrole et de gaz un pays sans son élite et son historie étant comme un corps sans âme .Triste vérité que nos gouvernants ne veulent pas comprendre en effet et l'impact dans les relations internationales de notre pays sans les hydrocarbures, avec la dominance du savoir au niveau mondial, base de la puissance économique qui est décisive pour se faire entendre dans le concert des Nations, serait presque nul. Ce qui nous amène justement à nous poser la question : quelle politique salariale mettre en œuvre pour favoriser l'émergence de couches moyennes productives et non rentières ? Car toute nouvelle politique d'emploi doit se fonder sur une nouvelle politique salariale réaliste conciliant les impératifs d'efficacité économique mais également d'équité car une société qui à la fois distribue les salaires sans contreparties productives favorisant implicitement le chômage à terme, et qui exclut (d'où l'urgence de la cohésion sociale) est vouée à la décadence. Aussi s'agit-il d'intégrer les volets politiques fondamentaux dont des contrepoids réels pour éviter l'arbitraire et la bureaucratisation de la société, une bonne gouvernance et un Etat de droit mettant fin à cette corruption socialisée et ce gaspillage des ressource par une mauvaise gestion généralisée (10% d'économies de gestion permettrait d'économiser plus de 300 milliards de dinars soit plus de 4 milliards de dollars US) alors que l'on demande des sacrifices aux algériens. Concernant l'essence du processus inflationniste, lié au niveau du pouvoir d'achat , outre que dans la pratique des politiques économiques des pays développés et des pays émergents se combinent à la fois une politique monétaire active mais également une politique budgétaire ciblée comme l'attestent l'important déficit budgétaire des USA et le non respect du principe de convergence notamment de l'Allemagne et de la Franc, les enquêtes montrent clairement que n'existe pas une corrélation stricte entre l'augmentation des salaires donc de la masse monétaire mise en circulation et le niveau général des prix. On ne peut dire quant on augmente de 20% les salaires, il y aura automatiquement augmentation de 20% des prix. L'expérience de l'augmentation de 20% du SMIG% en 2004 l'atteste puisque l'indice a été relevé entre 1,5 et 2 points. Des facteurs économiques, sociologiques, voire politiques influent fortement la tendance : si l'on s'en tient aux facteurs économiques nous citerons l'augmentation de la production, le niveau de l'épargne ou de thésaurisation de cette augmentation, la disponibilité des produits divers sur le marché, avec la diminution ou l'accroissements des importations ou exportations, les fluctuation des taux de change dans une économie de plus en plus ouverte jouent comme facteurs de stabilisation ou de déstabilisation. Il s'ensuit que pour toute analyse objective, qu'à une analyse globale quantitative reflétée par ces indices, devrait se substituer un traitement plus personnalisé et donc une analyse qualitative pour une politique salariale efficace. Ce que l'on peut affirmer, c'est qu'un indice de prix est historiquement daté et ne saurait se limiter aux biens classiques, impliquant une révision profonde du calcul par l'ONS. Ainsi, selon les officiels se situait à 2,6% en 2003, 3,6% en 2004, 1,6% en 2005 et entre 3 et 4% en 2006 autant que le taux de croissance estimé à 5% alors que le FMI et la BM estime en 2006 à environ 3%( avec en prévision un léger redressement en 2007 environ 4% , essentiellement par l'effet des dépenses publiques via les hydrocarbures inférieur aux années 2003/2005) et le taux d'inflation 5% en 2006 et environ 6% en 2007. Aussi, pour toute politique économique fiable il y a lieu à l'avenir de séparer nettement le secteur économique de la fonction publique dont il convient d'imaginer une refondation urgente. En effet, si pour le premier cas, il est aisé pour le secteur économique de lier la
rémunération à la productivité du travail, pour le second cas, on ne peut lui appliquer ces outils inadéquats dans la mesure où c'est la méthode de rationalisation des choix budgétaires qui prévaut impliquant à l'avenir une segmentation des fonctions ciblant les sous sections porteurs à moyen et long terme dont la revalorisation de l'éducation et la santé.
En conclusion : réorienter toute la politique socio-économique
Il s'agit d'éviter des solutions hasardeuses et utopiques, certains préconisant le retour à l'Etat gestionnaire ; la réévaluation du dinar et d'autres le doublement des salaires. Concernant la première proposition , rappelons que l'Algérie a une dette extérieure en nette baisse mais une dette publique interne croissante, liée notamment aux dépenses improductives de l'Etat et à l'assainissement des entreprises publiques et qui devra être répétée faute d'avoir mis en oeuvre l'application de l'article 84 de la loi de finances pour 2005 qui avait organisé la budgétisation du financement des déficits des entreprises publiques qui ont coûté au trésor public plus de 40 milliards de dollars entre 1991/2006 : résultat final plus de 1700 milliards de dinars de dette publique interne fin 2006. Deuxième proposition la réévaluation du dinar. Certes les réserves de change avoisineront 100 milliards de dollars US fin 2007, (en réalité 60 milliards d 'euros du fait de la dépréciation du dollar de plus de 40% et le FMI prévoit durant les deux prochaines années une dépréciation dépassant les 50/60% , d'où l'importance d'une gestion active de nos réserves de change et surtout des placements des 43 milliards de dollars de nos réserves en bons de trésor américain, et que plus de 60% de nos importations se faisant en euros qui risquent de fondre comme une glace au soleil, ) du fait, surtout de la faiblesse des capacités d'absorption selon l'Institut américain Peterson dans sa note de conjoncture de 2007 . Mais cette réévaluation aurait pour impact un accroissement des importations de la consommation finale pas nécessairement des matières premières et des équipements pour les entreprises, une hémorragie des sorties de capitaux du fait de la mauvaise gouvernance et un creusement du déficit public. Aussi la seule piste est d'alléger les taxes qui servent à entretenir de vastes couches rentières supposant une refondation de l'Etat par sa débureaucratisation. Car avec un taux de change de 90 dinars un euro et 70 dinars un dollar, normalement cela aurait du dynamiser les exportations hors hydrocarbures ce qui n'a pas été le cas, le blocage étant donc d'ordre systémique faute d'entreprises compétitives qu'elles soient publiques ou privées. La troisième solution proposée étant le doublement généralisé des salaires, elle conduirait à une dérive inflationniste dangereuse pénalisant les plus défavorisés( peut-on imaginer le déversement de plus de 1400/1500 milliards de dinars de masse salariale additionnelle ( fonctionnaires et secteur économique) soit plus de 19/21 milliards de dollars US cumulé avec cette mauvaise gouvernance qui touche tous les secteurs et ce malgré les transferts sociaux dans le budget évalués à 10% du PIB mais mal ciblés du fait de l'absence d'une autorité de régulation efficace. Il faut cibler les segments porteurs de croissance. On ne créé par exemple une commission saisonnière éphémère pour la pomme de terre, le blé ou le lait, inefficace composée de bureaucrates, mais un institut permanent de conjoncture composé d'experts de hauts niveaux, auprès du Gouvernement pour suivre l'évolution des cours boursiers du fait que depuis des décennies notre économie et encore pour longtemps, est, et sera tributaire de l'extérieur, l'Algérie étant liée à l'Accord pour une zone de libre échange avec l'Europe applicable depuis le 01 septembre 2005, expliquant les dégrèvements douaniers récents et aspirant à adhérer à l'Organisation Mondiale du Commerce(OMC). Les derniers rapports internationaux de 2007 montrant clairement que l'Algérie est un des pays qui connaît un des taux de corruption les plus élevés dans le monde ( note de 3 sur 10- en régression par rapport en 2006) et les obstacles croissants dans la mise en œuvre d'affaires ( l'Algérie 125ème position régressant toujours par rapport à 2005/2006). La croissance doit être reprise par l'entreprise et son fondement le savoir pour permettre une augmentation durable des salaires. D'où l'urgence d'avoir une visibilité et cohérence dans la démarche, évitant de privilégier le volontarisme étatique par les dépenses monétaires sans se préoccuper des coûts et du véritable impact de la finalité sociale. Cette vision des années 1970 est dépassée, le monde actuel privilégiant non plus l'organisation verticale hiérarchique autoritaire, mais les réseaux souples pour plus de transparence et d'efficacité globale. En bref, .la stabilisation du cade macro-économique étant une condition nécessaire mais non suffisante pour un développement véritable, il devient impérieux pour une lutte efficace contre la pauvreté durable d'accélérer les réformes institutionnelles et micro-économiques afin de nous insérer harmonieusement dans le concert des nations et de mettre fin à la panne dans la réforme globale. Cela dénote l'urgence de s'attaquer à l'essentiel du mal qui ronge le corps social en abandonnant l'activisme de peu d'utilité pour le bien être des citoyens et du pays et en réorientant toute la politique économique et sociale actuelle qui produit des effets pervers.
Docteur Abderahamane
MEBTOUL
*Expert International
NB-) synthèse de l'audit sur l'emploi et les salaires : propositions pour une nouvelle politique salariale, audit réalisé sous la direction du docteur Abderrahmane Mebtoul(Alger 6 volumes 2006 750 pages ) -


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