La commune d'El-Harrach bat, sans nul doute, le record en matière de parkings informels. Mais ne tenant nullement à se limiter à ce seul record, les jeunes d'El-Harrach ont tout fait pour remporter également celui du tarif le plus élevé sur ces aires de stationnement. En effet le nombre de parkings clandestins (non autorisés par l'APC), atteint un nombre affolant dans la commune d'El-Harrach. Le moindre espace libre est exploité par les jeunes chômeurs : ruelles, venelles, espaces publics ou communs, rien n'est épargné par cette frénésie ; la commune d'El-Harrach compte, à elle seule, plus de cinquante aires de stationnement clandestin. Le plus important de ces parkings informels au niveau de cette municipalité populeuse, a une capacité d'accueil dépassant les 500 véhicules. Il occupe une situation privilégiée puisqu'il avoisine le marché de voitures, qui se tient chaque fin de semaine à El-Harrach. Outre l'anarchie qui règne sur cette aire de stationnement illicite, les tarifs qui y sont imposés sont inconcevables et dépassent tout entendement. Les autoproclamés "parkingueurs", armés de leurs gourdins, y imposent en toute impunité leur loi et exigent de chaque conducteur la modique somme de... 100 DA pour leur permettre de stationner sur ces lieux "publics". Beaucoup de conducteurs, après avoir tenté en vain de négocier, finissent par se résoudre à payer cette somme excessive, pendant que d'autres se résoudront à brûler leur essence en continuant de tourner en rond à la recherche d'un endroit plus clément où pouvoir s'arrêter. Y. B. La commune d'El-Harrach bat, sans nul doute, le record en matière de parkings informels. Mais ne tenant nullement à se limiter à ce seul record, les jeunes d'El-Harrach ont tout fait pour remporter également celui du tarif le plus élevé sur ces aires de stationnement. En effet le nombre de parkings clandestins (non autorisés par l'APC), atteint un nombre affolant dans la commune d'El-Harrach. Le moindre espace libre est exploité par les jeunes chômeurs : ruelles, venelles, espaces publics ou communs, rien n'est épargné par cette frénésie ; la commune d'El-Harrach compte, à elle seule, plus de cinquante aires de stationnement clandestin. Le plus important de ces parkings informels au niveau de cette municipalité populeuse, a une capacité d'accueil dépassant les 500 véhicules. Il occupe une situation privilégiée puisqu'il avoisine le marché de voitures, qui se tient chaque fin de semaine à El-Harrach. Outre l'anarchie qui règne sur cette aire de stationnement illicite, les tarifs qui y sont imposés sont inconcevables et dépassent tout entendement. Les autoproclamés "parkingueurs", armés de leurs gourdins, y imposent en toute impunité leur loi et exigent de chaque conducteur la modique somme de... 100 DA pour leur permettre de stationner sur ces lieux "publics". Beaucoup de conducteurs, après avoir tenté en vain de négocier, finissent par se résoudre à payer cette somme excessive, pendant que d'autres se résoudront à brûler leur essence en continuant de tourner en rond à la recherche d'un endroit plus clément où pouvoir s'arrêter. Y. B.
