Le poète Abdelkrim Aldji, alias Kamel Tahiri, est l'un des poètes les plus connus à Médéa. Né en 1947 à Ain Dheb (Médéa), il a reçu son premier enseignement à l'école Zoubiria de Médéa, avant de poursuivre ses études moyennes et secondaires à Bouzaréah (Alger) où il a obtenu un diplôme d'instituteur qui lui a permis d'enseigner la langue arabe, l'histoire et la géographie. Ses premières écritures poétiques remontent à l'année 1964, après que sa vocation poétique ait été découverte par son Professeur, le poète syrien Chaouki Baghdadi. Ses premiers essais poétiques ont été publiés en 1970 dans la revue poétique «Amel», éditée par le ministère de la Culture et de l'Information. Il a, par la suite, été l'auteur de plusieurs contes publiés dans la revue libanaise «El Djomhour». Il a également écrit des poèmes pour enfants, publiés dans un ouvrage intitulé «Hafh el yasmine» et un autre, sous le titre «Diouane ezouhour». En plus de cela, il a été à l'origine de la fondation de la Ligue des jeunes poètes, comme il a été membre de l'Union nationale des écrivains algériens. Il a aussi participé à de nombreuses soirées poétiques à travers le territoire national et à l'étranger. En 1971, il a obtenu le premier prix de poésie, outre des commentaires et des études littéraires qui ont été consacrés à ses publications diffusées par différents canaux, au Maroc, au Liban et en Irak. Le poète Abdelkrim Aldji est mort le 8 novembre 1999, laissant une série d'ouvrages dont «Des roses aux jeunes hommes et aux jeunes filles», des contes, sous le titre «Les meilleures histoires» ainsi que plusieurs romans et Anachid. H.S. Le poète Abdelkrim Aldji, alias Kamel Tahiri, est l'un des poètes les plus connus à Médéa. Né en 1947 à Ain Dheb (Médéa), il a reçu son premier enseignement à l'école Zoubiria de Médéa, avant de poursuivre ses études moyennes et secondaires à Bouzaréah (Alger) où il a obtenu un diplôme d'instituteur qui lui a permis d'enseigner la langue arabe, l'histoire et la géographie. Ses premières écritures poétiques remontent à l'année 1964, après que sa vocation poétique ait été découverte par son Professeur, le poète syrien Chaouki Baghdadi. Ses premiers essais poétiques ont été publiés en 1970 dans la revue poétique «Amel», éditée par le ministère de la Culture et de l'Information. Il a, par la suite, été l'auteur de plusieurs contes publiés dans la revue libanaise «El Djomhour». Il a également écrit des poèmes pour enfants, publiés dans un ouvrage intitulé «Hafh el yasmine» et un autre, sous le titre «Diouane ezouhour». En plus de cela, il a été à l'origine de la fondation de la Ligue des jeunes poètes, comme il a été membre de l'Union nationale des écrivains algériens. Il a aussi participé à de nombreuses soirées poétiques à travers le territoire national et à l'étranger. En 1971, il a obtenu le premier prix de poésie, outre des commentaires et des études littéraires qui ont été consacrés à ses publications diffusées par différents canaux, au Maroc, au Liban et en Irak. Le poète Abdelkrim Aldji est mort le 8 novembre 1999, laissant une série d'ouvrages dont «Des roses aux jeunes hommes et aux jeunes filles», des contes, sous le titre «Les meilleures histoires» ainsi que plusieurs romans et Anachid. H.S.