Le CR Belouizdad, qui a renoué, samedi, avec la compétition africaine, est revenu avec un précieux point de Bamako face au représentant malien du Djoliba AC pour le compte du match aller des 1/8es de finale (bis) de la Coupe de la CAF. Le CR Belouizdad, qui a renoué, samedi, avec la compétition africaine, est revenu avec un précieux point de Bamako face au représentant malien du Djoliba AC pour le compte du match aller des 1/8es de finale (bis) de la Coupe de la CAF. Durant quatre-vingt-dix minutes ce sont les Maliens qui attaquaient. La première période a été longue et difficile pour les Algériens qui n'ont fait que se défendre. La première dangereuse action est venue à la quatrième minute de jeu sur un coup franc puissant, mais heureusement la défense était bien en place et a rapidement réagi en renvoyant la balle de la tête. Pendant plus d'une demi-heure de jeu, les Algériens sont restés dans leur camp jouant la défense. Beaucoup d'autres occasions d'ouvrir la marque ont été enregistrés notamment par Cisse qui a failli faire vibrer la cage de Ousserir à plusieurs reprises. Les gars de Gamondi, l'entraîneur argentin, ont préservé difficilement le nul, en repoussant à chaque fois les assauts des Maliens jusqu'au coup de sifflet de l'homme en noir, qui annonçait la fin de la première partie. Après la pause même scénario, les algériens continuent de résister devant des Maliens qui tenaient coûte que coûte à marquer mais la chance n'était pas au rendez-vous. Quelques minutes plus tard, les Belouizdadis tentent une petite sortie, mais sans danger pour l'équipe de Djoliba. Ce nul enregistré en terre malienne représente un précieux acquis pour le club algérois, qui s'est déplacé à Bamako dans des conditions un peu particulières. Le Chabab de Belouizdad, malgré sa situation difficile, a réussi à franchir un pas très important dans la prochaine étape de la compétition. Après des débats intenses, les coéquipiers de Sofiane Younès ont su gérer la rencontre à leur profit, tout en préservant leur cage vierge. La formation algéroise, rappelle-t-on, s'est déplacée au Mali avec un effectif de dix-sept joueurs seulement. Le CR Belouizdad devrait confirmer ce résultat lors du match retour qui aura lieu dans deux semaines au stade du 20-Août-1955, pour une éventuelle relance de la machine de nouveau. Durant quatre-vingt-dix minutes ce sont les Maliens qui attaquaient. La première période a été longue et difficile pour les Algériens qui n'ont fait que se défendre. La première dangereuse action est venue à la quatrième minute de jeu sur un coup franc puissant, mais heureusement la défense était bien en place et a rapidement réagi en renvoyant la balle de la tête. Pendant plus d'une demi-heure de jeu, les Algériens sont restés dans leur camp jouant la défense. Beaucoup d'autres occasions d'ouvrir la marque ont été enregistrés notamment par Cisse qui a failli faire vibrer la cage de Ousserir à plusieurs reprises. Les gars de Gamondi, l'entraîneur argentin, ont préservé difficilement le nul, en repoussant à chaque fois les assauts des Maliens jusqu'au coup de sifflet de l'homme en noir, qui annonçait la fin de la première partie. Après la pause même scénario, les algériens continuent de résister devant des Maliens qui tenaient coûte que coûte à marquer mais la chance n'était pas au rendez-vous. Quelques minutes plus tard, les Belouizdadis tentent une petite sortie, mais sans danger pour l'équipe de Djoliba. Ce nul enregistré en terre malienne représente un précieux acquis pour le club algérois, qui s'est déplacé à Bamako dans des conditions un peu particulières. Le Chabab de Belouizdad, malgré sa situation difficile, a réussi à franchir un pas très important dans la prochaine étape de la compétition. Après des débats intenses, les coéquipiers de Sofiane Younès ont su gérer la rencontre à leur profit, tout en préservant leur cage vierge. La formation algéroise, rappelle-t-on, s'est déplacée au Mali avec un effectif de dix-sept joueurs seulement. Le CR Belouizdad devrait confirmer ce résultat lors du match retour qui aura lieu dans deux semaines au stade du 20-Août-1955, pour une éventuelle relance de la machine de nouveau.
