Qui ne va pas à Jijel, sans prendre une photo à coté de la statue du pêcheur, érigée en 1888, à deux pas du siège de la commune ? Le réparateur de filet, communément appelé à Jijel, Conjador, demeure incontestablement parmi les sites les plus visités par les touristes durant la saison estivale. La statue en bronze qui trône en plein centre ville, reste un symbole de la pêche locale. De par son emplacement à la place de la république, la statue du pêcheur devient le temps des vacances d'été un lieu de pèlerinage presque pour les milliers d'estivants de passage par la région. Cette statue en bronze tournant le dos à la mer, l'œuvre de l'Italien Guglielmi, continue dans une attitude vénérable de résister au temps. Elle est là pour symboliser l'attachement de la population Jijelienne à la pêche qui représente pour elle une « ressource nourricière » nous disait une fois, Salah Bousseloua, écrivain, dont le père était patron pêcheur. Plus que centenaire, le raccommodeur de filet arborant un bonnet et du haut de son piédestal en pierre taillée, tête courbée ne se lasse pas de rafistoler son filet. Pour Dda Salah : Sans le conjador et le filet il n'y a point de pêche. Il n'en demeure pas moins, qu'il reste de l'avis de tous l'un des sites touristiques les plus attractifs qui fait la beauté et le charme de la Côte du Saphir. S. B. Qui ne va pas à Jijel, sans prendre une photo à coté de la statue du pêcheur, érigée en 1888, à deux pas du siège de la commune ? Le réparateur de filet, communément appelé à Jijel, Conjador, demeure incontestablement parmi les sites les plus visités par les touristes durant la saison estivale. La statue en bronze qui trône en plein centre ville, reste un symbole de la pêche locale. De par son emplacement à la place de la république, la statue du pêcheur devient le temps des vacances d'été un lieu de pèlerinage presque pour les milliers d'estivants de passage par la région. Cette statue en bronze tournant le dos à la mer, l'œuvre de l'Italien Guglielmi, continue dans une attitude vénérable de résister au temps. Elle est là pour symboliser l'attachement de la population Jijelienne à la pêche qui représente pour elle une « ressource nourricière » nous disait une fois, Salah Bousseloua, écrivain, dont le père était patron pêcheur. Plus que centenaire, le raccommodeur de filet arborant un bonnet et du haut de son piédestal en pierre taillée, tête courbée ne se lasse pas de rafistoler son filet. Pour Dda Salah : Sans le conjador et le filet il n'y a point de pêche. Il n'en demeure pas moins, qu'il reste de l'avis de tous l'un des sites touristiques les plus attractifs qui fait la beauté et le charme de la Côte du Saphir. S. B.
