Des agents spéciaux du Service de contrôle de l'immigration et des douanes des Etats-Unis (Immigration and Customs Enforcement, ICE) ont entamé, hier, à l'Ecole de formation, de fonctionnement et de recyclage des Douanes algériennes à Ben Aknoun à Alger un atelier d'échanges de techniques et d'expériences en matière de lutte contre la contrebande d'argent en espèces, notamment le déjouement et la conduite d'enquêtes, avec 35 officiers des Douanes algériennes. Cet atelier d'échange durera cinq jours, précise un communiqué de l'ambassade des USA à Alger parvenu, hier, à notre rédaction. Il comprendra trois jours de présentations en classe et d'exercices pratiques sur l'identification des mécanismes de blanchiment d'argent, le financement du terrorisme, les normes internationales et les meilleures pratiques d'enquête et de déjouement de la contrebande d'argent en espèces et deux jours d'exercices opérationnels à l'aéroport d'Alger où les techniques et concepts seront mis en pratique en temps réel. Il s'agit, précise la missive du «deuxième atelier d'échange sur le BCS entre l'ICE et les services d'application de la loi algériens». Le premier s'est tenu du 11 au 14 novembre 2007 à l'Ecole supérieure de police d'Alger avec des officiers de la DGSN et des Douanes algériennes ainsi que deux représentants de la CTRF (unité d'investigation financière). «Etant donné que les contrôles électroniques des transferts d'argent sont devenus stricts, les méthodes traditionnelles de cacher de l'argent dans une fausse boîte de bonbons ou dans un conteneur de fret sont de plus en plus fréquentes», indique le communiqué. L'étroite collaboration et l'échange de ressources et d'expertise entre les services d'application de la loi à travers le monde permettra ainsi « d'arrêter la circulation des fonds qui alimentent les activités illégales et financent les organisations terroristes et criminelles.» L'ICE, faut-il le préciser, «fait partie du Groupe de travail sur le financement du terrorisme un groupe interinstitutionnel qui comprend les représentants du Départements d'Etat, du Trésor, de la Justice et de la Sécurité intérieure». C'est d'ailleurs ; «l'un des premiers organismes américains responsables du partage des pratiques avec leurs homologues étrangers». Ces services participent, affirme le communiqué, « à des séminaires et exercices opérationnels avec les officiers et les sous-officiers des services responsables de la conduite d'enquêtes sur le blanchiment d'argent, le financement du terrorisme et la contrebande d'argent en espèces ainsi que la lutte contre ces infractions aux frontières». Aussi, depuis 2004, l'ICE a participé à plus de 60 ateliers d'échange sur les méthodes de déjouement de la circulation illicite des fonds ainsi que la mise en place d'enquêtes de suivi avec plus de 2500 officiers d'application de la loi dans environ 55 pays. Des agents spéciaux du Service de contrôle de l'immigration et des douanes des Etats-Unis (Immigration and Customs Enforcement, ICE) ont entamé, hier, à l'Ecole de formation, de fonctionnement et de recyclage des Douanes algériennes à Ben Aknoun à Alger un atelier d'échanges de techniques et d'expériences en matière de lutte contre la contrebande d'argent en espèces, notamment le déjouement et la conduite d'enquêtes, avec 35 officiers des Douanes algériennes. Cet atelier d'échange durera cinq jours, précise un communiqué de l'ambassade des USA à Alger parvenu, hier, à notre rédaction. Il comprendra trois jours de présentations en classe et d'exercices pratiques sur l'identification des mécanismes de blanchiment d'argent, le financement du terrorisme, les normes internationales et les meilleures pratiques d'enquête et de déjouement de la contrebande d'argent en espèces et deux jours d'exercices opérationnels à l'aéroport d'Alger où les techniques et concepts seront mis en pratique en temps réel. Il s'agit, précise la missive du «deuxième atelier d'échange sur le BCS entre l'ICE et les services d'application de la loi algériens». Le premier s'est tenu du 11 au 14 novembre 2007 à l'Ecole supérieure de police d'Alger avec des officiers de la DGSN et des Douanes algériennes ainsi que deux représentants de la CTRF (unité d'investigation financière). «Etant donné que les contrôles électroniques des transferts d'argent sont devenus stricts, les méthodes traditionnelles de cacher de l'argent dans une fausse boîte de bonbons ou dans un conteneur de fret sont de plus en plus fréquentes», indique le communiqué. L'étroite collaboration et l'échange de ressources et d'expertise entre les services d'application de la loi à travers le monde permettra ainsi « d'arrêter la circulation des fonds qui alimentent les activités illégales et financent les organisations terroristes et criminelles.» L'ICE, faut-il le préciser, «fait partie du Groupe de travail sur le financement du terrorisme un groupe interinstitutionnel qui comprend les représentants du Départements d'Etat, du Trésor, de la Justice et de la Sécurité intérieure». C'est d'ailleurs ; «l'un des premiers organismes américains responsables du partage des pratiques avec leurs homologues étrangers». Ces services participent, affirme le communiqué, « à des séminaires et exercices opérationnels avec les officiers et les sous-officiers des services responsables de la conduite d'enquêtes sur le blanchiment d'argent, le financement du terrorisme et la contrebande d'argent en espèces ainsi que la lutte contre ces infractions aux frontières». Aussi, depuis 2004, l'ICE a participé à plus de 60 ateliers d'échange sur les méthodes de déjouement de la circulation illicite des fonds ainsi que la mise en place d'enquêtes de suivi avec plus de 2500 officiers d'application de la loi dans environ 55 pays.