Le syndicat des transporteurs publics, affilié à l'UGCAA, a répondu aux attentes citoyennes en renouvelant l'expérience fructueuse de l'année précédente. En effet, devenue une importante métropole, la ville de Guelma ne cesse de prendre de l'extension, notamment vers les localités de Bendjerah, Belkheïr, Héliopolis et El-Fedjoudj où des lotissements et des cités résidentielles ont été réalisés ces dernières années. Dans ce contexte, les autorités locales avaient créé le transport urbain qui couvre actuellement huit secteurs par le biais d'une flotte de 160 minicars, dont la moyenne d'âge n'excède pas trois ans. Durant le mois sacré du Ramadhan, les familles prennent plaisir à sortir après le ftour pour s'adonner à des promenades sur les hauteurs de la ville, à rendre visite à des proches autour d'une meïda garnie de friandises, sodas, café et thé, à faire les vitrines en prévision de l'achat de vêtements de l'Aid-el-fitr, à se rendre à la mosquée pour accomplir les prières d'El-Icha et des tarawihs, etc… La circulation des véhicules devient infernale, notamment au niveau des carrefours, rues commerçantes, des mosquées et les gens préfèrent se déplacer à pied ou en empruntant le transport urbain. Dans ce contexte, des bus desservent toutes les lignes de 20 heures à 23 heures et parfois jusqu'à minuit pour permettre aux milliers d'usagers de vaquer à leurs occupations personnelles en toute sécurité. Ce moyen de locomotion est très apprécié par la population qui délaisse le taxi et les clandestins, dont les tarifs sont assez onéreux. Le syndicat des transporteurs publics, affilié à l'UGCAA, a répondu aux attentes citoyennes en renouvelant l'expérience fructueuse de l'année précédente. En effet, devenue une importante métropole, la ville de Guelma ne cesse de prendre de l'extension, notamment vers les localités de Bendjerah, Belkheïr, Héliopolis et El-Fedjoudj où des lotissements et des cités résidentielles ont été réalisés ces dernières années. Dans ce contexte, les autorités locales avaient créé le transport urbain qui couvre actuellement huit secteurs par le biais d'une flotte de 160 minicars, dont la moyenne d'âge n'excède pas trois ans. Durant le mois sacré du Ramadhan, les familles prennent plaisir à sortir après le ftour pour s'adonner à des promenades sur les hauteurs de la ville, à rendre visite à des proches autour d'une meïda garnie de friandises, sodas, café et thé, à faire les vitrines en prévision de l'achat de vêtements de l'Aid-el-fitr, à se rendre à la mosquée pour accomplir les prières d'El-Icha et des tarawihs, etc… La circulation des véhicules devient infernale, notamment au niveau des carrefours, rues commerçantes, des mosquées et les gens préfèrent se déplacer à pied ou en empruntant le transport urbain. Dans ce contexte, des bus desservent toutes les lignes de 20 heures à 23 heures et parfois jusqu'à minuit pour permettre aux milliers d'usagers de vaquer à leurs occupations personnelles en toute sécurité. Ce moyen de locomotion est très apprécié par la population qui délaisse le taxi et les clandestins, dont les tarifs sont assez onéreux.
