Eliminés de la Ligue des champions d'Afrique de football, l'Entente de Sétif n'accueillera pas, pour autant, les Congolais du tout-puissant Mazembe la fleur au fusil, samedi soir au stade du 8-Mai-1945 pour le compte de la 6e et dernière journée du groupe A. Eliminés de la Ligue des champions d'Afrique de football, l'Entente de Sétif n'accueillera pas, pour autant, les Congolais du tout-puissant Mazembe la fleur au fusil, samedi soir au stade du 8-Mai-1945 pour le compte de la 6e et dernière journée du groupe A. C'est du moins ce qu'ont assuré des joueurs sétifiens qui se disent déterminés à clôturer leur campagne africaine en beauté. Il s'agit d'abord, explique Moumene Djabou, de faire honneur au football algérien et de montrer que n'aurions pas usurpé une place en demi-finale. Un démarrage calamiteux dans cette compétition, inaugurée par une défaite at-home devant l'Espérance de Tunis, avait déjà compromis les chances sétifiennes d'atteindre le dernier carré en dépit de deux matches nuls probants à l'extérieur, face à l'Espérance et au TP Mazembe (2 buts partout à chaque fois). Pour Djabou, qui estime que sans un arbitrage maison au stade de Radès, samedi dernier, son équipe serait revenue avec les 3 points de la victoire, ce qui lui aurait permis de conserver ses chances de qualification, un mauvais départ dans une compétition aussi difficile est toujours problématique et met rapidement la pression sur l'équipe. Le lutin sétifien ne semble pas, cependant abattu par ce coup du sort car, dit-il, il nous reste tellement d'autres challenges à relever, à commencer par le championnat où nous tenons à jouer les premiers rôles, la Coupe d'Algérie qui nous a toujours tenu à cœur, la coupe de l'Unaf et, bien sûr, la prochaine édition de la Ligue des champions africaine où nous tâcherons de faire mieux. Revenant à la rencontre de samedi, le jeune milieu offensif des Noir et Blanc s'attend à un match difficile devant le tenant du titre, mais refuse de s'étendre sur les calculs des uns et des autres. Tous deux qualifiés, les Tunisiens et de les Congolais se disputent, paraît-il, la 1ère place du groupe A pour éviter la JS Kabylie en demi-finale. « Nous, ce qui nous intéresse, c'est de faire notre match, de donner de la joie à nos supporters et battre le détenteur du titre», a-t-il dit. Mourad Delhoum n'est pas loin de partager l'avis de son co-équipier en assurant que ses camarades se donneront à fond pour accrocher le TP Mazembe à leur tableau de chasse. Delhoum soutient qu'il est impensable que son équipe puisse être démobilisée à cause de son élimination. est mal connaître l'Entente que d'imaginer que mes camarades évolueront comme à l'entraînement. Ils auront le drapeau national accroché tout près du cœur et, croyez-moi, il n'existe pas de motivation plus forte pour se sortir les tripes, quel que soit l'adversaire, affirme le milieu de terrain sétifien qui regrette cependant de ne pourvoir jouer ce match en raison d'une blessure. Hormis Delhoum, le coach italien de l'ESS, Gianni Solinas devra également se passer des services de Mohamed Yekhlef, blessé, et de Nabil Hemani, encore suspendu pour un match. La rencortre ESS-TP Mazembe, prévue aujourd'hui à 14 h sur la pelouse du stade du 8-Mai-1945, sera arbitrée par Désiré Doué-Noumandiez (Côte d'Ivoire) assisté de ses compatriotes Yeo Songuifolo et Eugène Oussou-Kouadio. APS C'est du moins ce qu'ont assuré des joueurs sétifiens qui se disent déterminés à clôturer leur campagne africaine en beauté. Il s'agit d'abord, explique Moumene Djabou, de faire honneur au football algérien et de montrer que n'aurions pas usurpé une place en demi-finale. Un démarrage calamiteux dans cette compétition, inaugurée par une défaite at-home devant l'Espérance de Tunis, avait déjà compromis les chances sétifiennes d'atteindre le dernier carré en dépit de deux matches nuls probants à l'extérieur, face à l'Espérance et au TP Mazembe (2 buts partout à chaque fois). Pour Djabou, qui estime que sans un arbitrage maison au stade de Radès, samedi dernier, son équipe serait revenue avec les 3 points de la victoire, ce qui lui aurait permis de conserver ses chances de qualification, un mauvais départ dans une compétition aussi difficile est toujours problématique et met rapidement la pression sur l'équipe. Le lutin sétifien ne semble pas, cependant abattu par ce coup du sort car, dit-il, il nous reste tellement d'autres challenges à relever, à commencer par le championnat où nous tenons à jouer les premiers rôles, la Coupe d'Algérie qui nous a toujours tenu à cœur, la coupe de l'Unaf et, bien sûr, la prochaine édition de la Ligue des champions africaine où nous tâcherons de faire mieux. Revenant à la rencontre de samedi, le jeune milieu offensif des Noir et Blanc s'attend à un match difficile devant le tenant du titre, mais refuse de s'étendre sur les calculs des uns et des autres. Tous deux qualifiés, les Tunisiens et de les Congolais se disputent, paraît-il, la 1ère place du groupe A pour éviter la JS Kabylie en demi-finale. « Nous, ce qui nous intéresse, c'est de faire notre match, de donner de la joie à nos supporters et battre le détenteur du titre», a-t-il dit. Mourad Delhoum n'est pas loin de partager l'avis de son co-équipier en assurant que ses camarades se donneront à fond pour accrocher le TP Mazembe à leur tableau de chasse. Delhoum soutient qu'il est impensable que son équipe puisse être démobilisée à cause de son élimination. est mal connaître l'Entente que d'imaginer que mes camarades évolueront comme à l'entraînement. Ils auront le drapeau national accroché tout près du cœur et, croyez-moi, il n'existe pas de motivation plus forte pour se sortir les tripes, quel que soit l'adversaire, affirme le milieu de terrain sétifien qui regrette cependant de ne pourvoir jouer ce match en raison d'une blessure. Hormis Delhoum, le coach italien de l'ESS, Gianni Solinas devra également se passer des services de Mohamed Yekhlef, blessé, et de Nabil Hemani, encore suspendu pour un match. La rencortre ESS-TP Mazembe, prévue aujourd'hui à 14 h sur la pelouse du stade du 8-Mai-1945, sera arbitrée par Désiré Doué-Noumandiez (Côte d'Ivoire) assisté de ses compatriotes Yeo Songuifolo et Eugène Oussou-Kouadio. APS
