Le nombre de plus en plus élevé de personnes âgées dans la société et la progression de l'espérance de vie en Algérie exigent de prendre les dispositions nécessaires pour assurer la prise en charge sanitaire des sujets âgés, plus exposés aux maladies chroniques. Le nombre de plus en plus élevé de personnes âgées dans la société et la progression de l'espérance de vie en Algérie exigent de prendre les dispositions nécessaires pour assurer la prise en charge sanitaire des sujets âgés, plus exposés aux maladies chroniques. Les participants aux premières journées auréssiennes de médecine, clôturées jeudi à l'université de Batna, ont estimé que l'amélioration de la formation et des conditions d'accueil constituent des préalables à une bonne prise en charge des sujets âgés. Les participants à cette rencontre initiée par l'association universitaire Aurès-Santé ont également appelé à l'intégration des thèmes des changements physiologiques chez les personnes âgées et leurs pathologies dans les programmes de formation des facultés de médecine pour préparer les futurs médecins à prendre en charge cette catégorie spécifique de malades. La formation paramédicale, ont-ils noté, "doit reprendre la formation des aides-soignants qui seront affectés aux hôpitaux du pays pour se charger spécialement des sujets âgés". La loi actuelle régissant la santé devrait, également, selon eux, être modifiée de sorte à faciliter la prise en charge des personnes âgées. «Le nombre de plus en plus élevé de personnes âgées dans la société et la progression de l'espérance de vie en Algérie exigent de prendre les dispositions nécessaires pour assurer la prise en charge sanitaire des sujets âgés, plus exposés aux maladies chroniques», ont noté les intervenants en soulignant que la proportion actuelle des personnes âgées, représentant actuellement 4 % de l'ensemble du corps social, atteindra les 14 % dans dix ans. Les recommandations ont également appelé à prévoir des lits spéciaux pour sujets âgés au niveau de chaque service hospitalier et à ouvrir des structures spéciales pour ces personnes dans les centres hospitalo-universitaires pour "garantir un vieillissement avec le minimum de risques" et, éventuellement, offrir une prise en charge à domicile pour ces personnes. Le Pr. Rabah Aït-Hamouda, président de l'association Aurès-Santé, a indiqué que le but de cette rencontre scientifique est de sensibiliser les médecins et les paramédicaux quant aux risques encourus par les personnes âgées, notamment les sujets atteints de maladies chroniques, et de définir les modalités de leur prise en charge. Au total, 70 communications ont été présentées au cours de ces journées qui ont réuni un grand nombre de médecins spécialistes, de biologistes et de pharmaciens qui ont notamment insisté sur les insuffisances multiples relevées en matière de prise en charge des personnes âgées dans les hôpitaux. Une situation due, selon eux, à une "formation insuffisante du corps soignant" quant à la prise en charge médicale des sujets âgés, entraînant de mauvais diagnostics susceptibles de compliquer davantage l'état du malade. Aux yeux des intervenants lors des travaux de cette manifestation scientifique, le vieillissement constituera dans les prochaines années un nouveau défi à relever pour l'Algérie. Les participants aux premières journées auréssiennes de médecine, clôturées jeudi à l'université de Batna, ont estimé que l'amélioration de la formation et des conditions d'accueil constituent des préalables à une bonne prise en charge des sujets âgés. Les participants à cette rencontre initiée par l'association universitaire Aurès-Santé ont également appelé à l'intégration des thèmes des changements physiologiques chez les personnes âgées et leurs pathologies dans les programmes de formation des facultés de médecine pour préparer les futurs médecins à prendre en charge cette catégorie spécifique de malades. La formation paramédicale, ont-ils noté, "doit reprendre la formation des aides-soignants qui seront affectés aux hôpitaux du pays pour se charger spécialement des sujets âgés". La loi actuelle régissant la santé devrait, également, selon eux, être modifiée de sorte à faciliter la prise en charge des personnes âgées. «Le nombre de plus en plus élevé de personnes âgées dans la société et la progression de l'espérance de vie en Algérie exigent de prendre les dispositions nécessaires pour assurer la prise en charge sanitaire des sujets âgés, plus exposés aux maladies chroniques», ont noté les intervenants en soulignant que la proportion actuelle des personnes âgées, représentant actuellement 4 % de l'ensemble du corps social, atteindra les 14 % dans dix ans. Les recommandations ont également appelé à prévoir des lits spéciaux pour sujets âgés au niveau de chaque service hospitalier et à ouvrir des structures spéciales pour ces personnes dans les centres hospitalo-universitaires pour "garantir un vieillissement avec le minimum de risques" et, éventuellement, offrir une prise en charge à domicile pour ces personnes. Le Pr. Rabah Aït-Hamouda, président de l'association Aurès-Santé, a indiqué que le but de cette rencontre scientifique est de sensibiliser les médecins et les paramédicaux quant aux risques encourus par les personnes âgées, notamment les sujets atteints de maladies chroniques, et de définir les modalités de leur prise en charge. Au total, 70 communications ont été présentées au cours de ces journées qui ont réuni un grand nombre de médecins spécialistes, de biologistes et de pharmaciens qui ont notamment insisté sur les insuffisances multiples relevées en matière de prise en charge des personnes âgées dans les hôpitaux. Une situation due, selon eux, à une "formation insuffisante du corps soignant" quant à la prise en charge médicale des sujets âgés, entraînant de mauvais diagnostics susceptibles de compliquer davantage l'état du malade. Aux yeux des intervenants lors des travaux de cette manifestation scientifique, le vieillissement constituera dans les prochaines années un nouveau défi à relever pour l'Algérie.