Animés par une réelle volonté de développer des relations de partenariat avancées dans le domaine des technologies de l'information et de la communication (TIC), l'Algérie et la Tunisie ont l'intention de mettre en place les jalons d'une société de l'information basée sur la lutte permanente contre la fracture numérique. Mais l'essentiel pour les deux pays consiste à œuvrer à l'émergence de pôles technologiques susceptibles de doter les citoyens, et surtout les chercheurs et universitaires, d'une plate-forme viable pour se consacrer à la recherche-développement et surtout à l'encouragement d'une société de la connaissance. Ainsi, avec l'accord de coopération signé entre les deux pays, vendredi dernier, en marge du forum international sur les TIC qui s'est déroulé à Hammamet, par les ministres des TIC, Benhamadi et Ennacer Ammar, les échanges entre les experts et la mise à profit des expériences réciproques, notamment pour ce qui est de la circulation des informations scientifiques et technologiques, vont sensiblement se promouvoir. Les promoteurs de cette collaboration insistent, notamment, sur la nécessité de multiplier les contacts «sur la base de l'intérêt commun, ainsi que le développement des technologies et des services relatifs au commerce et aux marchés». Ainsi, les termes du contrat portent surtout sur «le développement des compétences des effectifs à travers des programmes, des conférences et des séminaires en matière des postes et des technologies de l'information et la mise en place d'un partenariat entre les entrepreneurs et opérateurs algériens et tunisiens et l'échange d'informations et de documents sur les questions d'intérêt commun», selon la convention commune et en vertu des besoins et des intérêts communs mutuellement bénéfiques. Désormais, les différents organismes officiels et administratifs pourraient connecter les deux pays, notamment en ce qui concerne les questions stratégiques du e-gouvernement, le e-commerce, le e-administration et l'e-documentation afin de diversifier les échanges d'informations et de savoir-faire. Aussi, les consommateurs et usagers algériens et tunisiens vont pouvoir «assurer le développement des prestations postales, financières et de valeur ajoutée», selon les termes de l'accord. Par ailleurs, l'Algérie et la Tunisie se sont engagées à mener des projets communs inhérents à la gestion et au développement des pôles technologiques et leur rassemblement et surtout leur connexion et leur concentration au niveau mondial, tandis que la création et la mise en place d'un cadre règlementaire et juridique pour l'encouragement de l'esprit d'initiative et de prolifération de micro-entreprises spécialisées dans les TIC a également été abordée entre les deux pays. Il s'agit de relier l'Algérie et la Tunisie par le biais des technologies de l'information et ce, dans l'optique de développer l'intégration économique à moyen terme et faciliter le projet de zone de libre-échange pour le développement de l'économie de marché et de la libre circulation des biens et des marchandises avec la levée des barrières douanières et la suppression des taxes. Animés par une réelle volonté de développer des relations de partenariat avancées dans le domaine des technologies de l'information et de la communication (TIC), l'Algérie et la Tunisie ont l'intention de mettre en place les jalons d'une société de l'information basée sur la lutte permanente contre la fracture numérique. Mais l'essentiel pour les deux pays consiste à œuvrer à l'émergence de pôles technologiques susceptibles de doter les citoyens, et surtout les chercheurs et universitaires, d'une plate-forme viable pour se consacrer à la recherche-développement et surtout à l'encouragement d'une société de la connaissance. Ainsi, avec l'accord de coopération signé entre les deux pays, vendredi dernier, en marge du forum international sur les TIC qui s'est déroulé à Hammamet, par les ministres des TIC, Benhamadi et Ennacer Ammar, les échanges entre les experts et la mise à profit des expériences réciproques, notamment pour ce qui est de la circulation des informations scientifiques et technologiques, vont sensiblement se promouvoir. Les promoteurs de cette collaboration insistent, notamment, sur la nécessité de multiplier les contacts «sur la base de l'intérêt commun, ainsi que le développement des technologies et des services relatifs au commerce et aux marchés». Ainsi, les termes du contrat portent surtout sur «le développement des compétences des effectifs à travers des programmes, des conférences et des séminaires en matière des postes et des technologies de l'information et la mise en place d'un partenariat entre les entrepreneurs et opérateurs algériens et tunisiens et l'échange d'informations et de documents sur les questions d'intérêt commun», selon la convention commune et en vertu des besoins et des intérêts communs mutuellement bénéfiques. Désormais, les différents organismes officiels et administratifs pourraient connecter les deux pays, notamment en ce qui concerne les questions stratégiques du e-gouvernement, le e-commerce, le e-administration et l'e-documentation afin de diversifier les échanges d'informations et de savoir-faire. Aussi, les consommateurs et usagers algériens et tunisiens vont pouvoir «assurer le développement des prestations postales, financières et de valeur ajoutée», selon les termes de l'accord. Par ailleurs, l'Algérie et la Tunisie se sont engagées à mener des projets communs inhérents à la gestion et au développement des pôles technologiques et leur rassemblement et surtout leur connexion et leur concentration au niveau mondial, tandis que la création et la mise en place d'un cadre règlementaire et juridique pour l'encouragement de l'esprit d'initiative et de prolifération de micro-entreprises spécialisées dans les TIC a également été abordée entre les deux pays. Il s'agit de relier l'Algérie et la Tunisie par le biais des technologies de l'information et ce, dans l'optique de développer l'intégration économique à moyen terme et faciliter le projet de zone de libre-échange pour le développement de l'économie de marché et de la libre circulation des biens et des marchandises avec la levée des barrières douanières et la suppression des taxes.