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Un CET pour la gestion des déchets
Sidi Amar (Tipasa), Protection de l'environnement
Publié dans Le Midi Libre le 13 - 12 - 2010

Le CET de Sidi Amar, qui fait partie des projets retenus et déjà inscrits, permettra de régler la question de l'enlèvement et la gestion des déchets ménagers urbains pour une période de 10 ans au moins.
Le CET de Sidi Amar, qui fait partie des projets retenus et déjà inscrits, permettra de régler la question de l'enlèvement et la gestion des déchets ménagers urbains pour une période de 10 ans au moins.
Un Centre d'enfouissement technique (CET) sera réalisé en 2011 à Sidi Amar, dans la wilaya de Tipasa, a annoncé le wali lors d'une rencontre avec les citoyens de cette daïra. Répondant aux inquiétudes des citoyens quant à la situation déplorable de l'environnement, marquée par la présence de petites décharges sauvages et un enlèvement irrégulier des ordures ménagères, accentuée par l'incivisme des citoyens, le wali a estimé que la réalisation prochaine du CET de Sidi Amar réglera définitivement le problème comme cela a été le cas dans d'autres communes. La wilaya de Tipasa a, en effet, pris à bras-le-corps cette question de la gestion des ordures ménagères en ouvrant le premier CET à Sidi Rached en 2009 qui couvre quatre communes (Tipasa, Sidi Rached, Ahmer El Ain et Bourkika) et prend en charge 80 tonnes de déchets par jour. Le CET de Sidi Amar, qui fait partie des projets retenus et déjà inscrits, permettra de régler la question de l'enlèvement et la gestion des déchets ménagers urbains pour une période de 10 ans au moins. L'étude du schéma directeur de gestion des déchets solides urbains de la wilaya a fait ressortir la nécessité de réaliser sept CET intercommunaux à Damous, Béni Milleuk, Hadjout, Sidi Amar, Gouraya, Attatba et à Cherchell en plus de celui de Sidi Rached déjà opérationnel. L'autre point noir dont s'est débarrassée la wilaya de Tipasa est celui de la décharge sauvage de Cabrera, dans la commune de Sidi Ghilés, dont les déchets débordaient largement sur la RN 11. Cette dernière a été transférée à Koudiat El Hanafi, située dans le douar Aghbal en attendant l'achèvement du CET de Cherchell dont les travaux sont en cours. Trois CET, à savoir celui de Cherchell, Attatba, et Gouraya sont lancés ou en voie de l'être tandis que les quatre autres ont déjà fait l'objet du choix du site d'implantation des casiers d'enfouissement, ce qui permettra d'assurer une couverture de 20 communes sur les 28 que compte la wilaya. Une autre étude est en cours, qui concernera la réhabilitation, la décontamination et l'éradication des décharges sauvages, au nombre de 16 selon le dernier recensement effectué au niveau de la wilaya, a indiqué le directeur de l'environnement. En attendant la réception de tous ces projets qui aideront à régler le casse-tête de la gestion des ordures ménagères auxquelles sont confrontées toutes les communes, le directeur de l'environnement n'a pas manqué de déplorer que la taxe d'enlèvement des ordures ménagères (TEOM) n'était toujours pas prélevée par les collectivités locales alors que celle-ci a été instituée par la loi de finances de 2001. Cette taxe (de 500 DA par an et par ménage et de plus de 6.000 DA pour les opérateurs économiques) pourrait constituer une ressource pour les finances locales, a précisé le directeur. Sa perception par les collectivités locales, dont certains édiles commencent timidement à en prendre conscience, sera un bon moyen aussi pour sensibiliser les citoyens, les commerçants et les opérateurs économiques sur la nécessité de prendre en charge les problèmes d'environnement et d'amélioration du cadre de vie.
Un Centre d'enfouissement technique (CET) sera réalisé en 2011 à Sidi Amar, dans la wilaya de Tipasa, a annoncé le wali lors d'une rencontre avec les citoyens de cette daïra. Répondant aux inquiétudes des citoyens quant à la situation déplorable de l'environnement, marquée par la présence de petites décharges sauvages et un enlèvement irrégulier des ordures ménagères, accentuée par l'incivisme des citoyens, le wali a estimé que la réalisation prochaine du CET de Sidi Amar réglera définitivement le problème comme cela a été le cas dans d'autres communes. La wilaya de Tipasa a, en effet, pris à bras-le-corps cette question de la gestion des ordures ménagères en ouvrant le premier CET à Sidi Rached en 2009 qui couvre quatre communes (Tipasa, Sidi Rached, Ahmer El Ain et Bourkika) et prend en charge 80 tonnes de déchets par jour. Le CET de Sidi Amar, qui fait partie des projets retenus et déjà inscrits, permettra de régler la question de l'enlèvement et la gestion des déchets ménagers urbains pour une période de 10 ans au moins. L'étude du schéma directeur de gestion des déchets solides urbains de la wilaya a fait ressortir la nécessité de réaliser sept CET intercommunaux à Damous, Béni Milleuk, Hadjout, Sidi Amar, Gouraya, Attatba et à Cherchell en plus de celui de Sidi Rached déjà opérationnel. L'autre point noir dont s'est débarrassée la wilaya de Tipasa est celui de la décharge sauvage de Cabrera, dans la commune de Sidi Ghilés, dont les déchets débordaient largement sur la RN 11. Cette dernière a été transférée à Koudiat El Hanafi, située dans le douar Aghbal en attendant l'achèvement du CET de Cherchell dont les travaux sont en cours. Trois CET, à savoir celui de Cherchell, Attatba, et Gouraya sont lancés ou en voie de l'être tandis que les quatre autres ont déjà fait l'objet du choix du site d'implantation des casiers d'enfouissement, ce qui permettra d'assurer une couverture de 20 communes sur les 28 que compte la wilaya. Une autre étude est en cours, qui concernera la réhabilitation, la décontamination et l'éradication des décharges sauvages, au nombre de 16 selon le dernier recensement effectué au niveau de la wilaya, a indiqué le directeur de l'environnement. En attendant la réception de tous ces projets qui aideront à régler le casse-tête de la gestion des ordures ménagères auxquelles sont confrontées toutes les communes, le directeur de l'environnement n'a pas manqué de déplorer que la taxe d'enlèvement des ordures ménagères (TEOM) n'était toujours pas prélevée par les collectivités locales alors que celle-ci a été instituée par la loi de finances de 2001. Cette taxe (de 500 DA par an et par ménage et de plus de 6.000 DA pour les opérateurs économiques) pourrait constituer une ressource pour les finances locales, a précisé le directeur. Sa perception par les collectivités locales, dont certains édiles commencent timidement à en prendre conscience, sera un bon moyen aussi pour sensibiliser les citoyens, les commerçants et les opérateurs économiques sur la nécessité de prendre en charge les problèmes d'environnement et d'amélioration du cadre de vie.


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