Le film "En-nakhil el jarih" réalisé par le Tunisien Abdelatif Ben Ammar a décroché le grand prix "l'Ahaggar d'or" des longs métrages, dans le cadre de la 4e édition du Festival international du film arabe, clôturé jeudi soir à la salle de cinéma "Maghreb" à Oran, en présence de la ministre de la Culture, Khalida Toumi. Le film "En-nakhil el jarih" réalisé par le Tunisien Abdelatif Ben Ammar a décroché le grand prix "l'Ahaggar d'or" des longs métrages, dans le cadre de la 4e édition du Festival international du film arabe, clôturé jeudi soir à la salle de cinéma "Maghreb" à Oran, en présence de la ministre de la Culture, Khalida Toumi. Le prix spécial du jury est revenu au réalisateur Oday Rachid Othmane (Irak) alors que le prix du meilleur réalisateur a été attribué à Bahij Hojeij (Liban) et celui du meilleur scénario au film Les oubliés de l'histoire réalisé par Hassan Benjelloun (Maroc). Le prix de la meilleure interprétation masculine est revenu au film Es-saha (La Place) réalisé par Dahmane Ouzid (Algérie), tout comme celui de la meilleure interprétation féminine. Le prix "Ahaggar d'or" de la catégorie des courts métrages a été décerné à deux films : Savon propre du réalisateur Malik Amara (Tunisie) et Garagouz réalisé par l'Algérien Abdennour Zahzah. Le court métrage Kandardji du réalisateur Ahd Kamel (Arabie saoudite) a décroché le prix du jury. Un autre prix spécial a été décerné aux films : Haous réalisé par Amine Chiboub (Arabie saoudite), Femme inconnue de Fadjr Yacoub (Syrie) et Âme perdue de Jihane El Bahar (Maroc). Au cours de cette édition du FIFAO, qui s'est étalé sur une semaine, 13 longs métrages ont été projetés à la salle "Maghreb" et 20 autres courts métrages à la cinémathèque d'Oran. Ces œuvres cinématographiques participant à cet événement représentent plusieurs pays arabes (Algérie, Tunisie, Maroc, Emirats arabes unis, Qatar, Liban, Syrie, Irak, Egypte, Arabie saoudite, Oman, Bahreïn, Palestine, Libye et Jordanie. Deux jurys pour les longs métrages et courts métrages ont été présidés respectivement par le romancier et écrivain algérien Rachid Boudjedra et le cinéaste tunisien Ibrahim Letaief. Le festival a enregistré la projection de trois longs métrages dans le cadre de l'espace "Vision sur le cinéma du Golfe" en tant qu'invité d'honneur de cette édition, comme le film koweïtien Bess ya bahr et Hikaya bahreiniya du Bahreïn. Il a été également projeté dans le même contexte neuf courts métrages des pays du Golfe à l'instar du film des Emirats arabes unis Janet Meriem (paradis de Meriem) et Doumia de l'Arabie saoudite. En marge des projections cinématographiques, deux conférences ont été organisées abordant "Les moyens de promouvoir la critique cinématographique arabe" et "La musique dans le cinéma arabe", avec la participation de plusieurs critiques de cinéma et de compositeurs arabes. Le commissaire du Festival d'Oran, Arif Mustapha, a été honoré egalement par l'Union des producteurs arabes des œuvres télévisuelles en présence du président de cet organe, Ibrahim Abou Dhikra. La salle "Es-Saada" d'Oran a abrité un pavillon du panorama cinématographique permettant aux adeptes du septième art de la capitale de l'Ouest algérien de revoir des films présentés dans la catégorie des longs métrages. La cérémonie d'ouverture de cette édition avait été marquée par un hommage rendu à trois personnalités du cinéma arabe que sont l'actrice algérienne Chafia Boudraa, l'artiste koweitienne Hayat El Fahd et le regretté comédien algérien Larbi Zekkal. Le prix spécial du jury est revenu au réalisateur Oday Rachid Othmane (Irak) alors que le prix du meilleur réalisateur a été attribué à Bahij Hojeij (Liban) et celui du meilleur scénario au film Les oubliés de l'histoire réalisé par Hassan Benjelloun (Maroc). Le prix de la meilleure interprétation masculine est revenu au film Es-saha (La Place) réalisé par Dahmane Ouzid (Algérie), tout comme celui de la meilleure interprétation féminine. Le prix "Ahaggar d'or" de la catégorie des courts métrages a été décerné à deux films : Savon propre du réalisateur Malik Amara (Tunisie) et Garagouz réalisé par l'Algérien Abdennour Zahzah. Le court métrage Kandardji du réalisateur Ahd Kamel (Arabie saoudite) a décroché le prix du jury. Un autre prix spécial a été décerné aux films : Haous réalisé par Amine Chiboub (Arabie saoudite), Femme inconnue de Fadjr Yacoub (Syrie) et Âme perdue de Jihane El Bahar (Maroc). Au cours de cette édition du FIFAO, qui s'est étalé sur une semaine, 13 longs métrages ont été projetés à la salle "Maghreb" et 20 autres courts métrages à la cinémathèque d'Oran. Ces œuvres cinématographiques participant à cet événement représentent plusieurs pays arabes (Algérie, Tunisie, Maroc, Emirats arabes unis, Qatar, Liban, Syrie, Irak, Egypte, Arabie saoudite, Oman, Bahreïn, Palestine, Libye et Jordanie. Deux jurys pour les longs métrages et courts métrages ont été présidés respectivement par le romancier et écrivain algérien Rachid Boudjedra et le cinéaste tunisien Ibrahim Letaief. Le festival a enregistré la projection de trois longs métrages dans le cadre de l'espace "Vision sur le cinéma du Golfe" en tant qu'invité d'honneur de cette édition, comme le film koweïtien Bess ya bahr et Hikaya bahreiniya du Bahreïn. Il a été également projeté dans le même contexte neuf courts métrages des pays du Golfe à l'instar du film des Emirats arabes unis Janet Meriem (paradis de Meriem) et Doumia de l'Arabie saoudite. En marge des projections cinématographiques, deux conférences ont été organisées abordant "Les moyens de promouvoir la critique cinématographique arabe" et "La musique dans le cinéma arabe", avec la participation de plusieurs critiques de cinéma et de compositeurs arabes. Le commissaire du Festival d'Oran, Arif Mustapha, a été honoré egalement par l'Union des producteurs arabes des œuvres télévisuelles en présence du président de cet organe, Ibrahim Abou Dhikra. La salle "Es-Saada" d'Oran a abrité un pavillon du panorama cinématographique permettant aux adeptes du septième art de la capitale de l'Ouest algérien de revoir des films présentés dans la catégorie des longs métrages. La cérémonie d'ouverture de cette édition avait été marquée par un hommage rendu à trois personnalités du cinéma arabe que sont l'actrice algérienne Chafia Boudraa, l'artiste koweitienne Hayat El Fahd et le regretté comédien algérien Larbi Zekkal.
