Les travailleurs de l'entreprise VRD Plus et MCCES ont organisé, dans la matinée d'hier, un sit-in devant le siège de la wilaya de Boumerdès, pour exiger le paiement des sept mois de leurs arriérés de salaires. Les difficultés financières dans lesquelles ces entreprises sont plongées depuis le lancement du plan de restructuration de groupe EPLF n'ont pas été sans conséquences sur la stabilité de ces deux filiales de construction. Retards dans le paiement des salaires des travailleurs et les chantiers sont à l'arrêt depuis plusieurs années. En février 2010, soit près de trois mois après que VRD Plus a été affiliée à la SGP Injab, les ouvriers avaient enclenché une grève illimitée réclamant la rétribution de leurs salaires. Les travailleurs vivent un vrai calvaire et depuis plusieurs mois n'avaient droit qu'à des promesses sans lendemain. « S'il y a recouvrement des dettes contractées par l'EPLF auprès de VRD Plus, le paiement des salaires s'introduira incessamment », avait déclaré un responsable. Notons, par ailleurs, que le gouvernement avait mis en place un plan de charge pour la sauvegarde de l'entreprise. Hier, les travailleurs étaient déterminés à poursuivre leur mouvement de protestation jusqu'à satisfaction de leur revendication. Les travailleurs de l'entreprise VRD Plus et MCCES ont organisé, dans la matinée d'hier, un sit-in devant le siège de la wilaya de Boumerdès, pour exiger le paiement des sept mois de leurs arriérés de salaires. Les difficultés financières dans lesquelles ces entreprises sont plongées depuis le lancement du plan de restructuration de groupe EPLF n'ont pas été sans conséquences sur la stabilité de ces deux filiales de construction. Retards dans le paiement des salaires des travailleurs et les chantiers sont à l'arrêt depuis plusieurs années. En février 2010, soit près de trois mois après que VRD Plus a été affiliée à la SGP Injab, les ouvriers avaient enclenché une grève illimitée réclamant la rétribution de leurs salaires. Les travailleurs vivent un vrai calvaire et depuis plusieurs mois n'avaient droit qu'à des promesses sans lendemain. « S'il y a recouvrement des dettes contractées par l'EPLF auprès de VRD Plus, le paiement des salaires s'introduira incessamment », avait déclaré un responsable. Notons, par ailleurs, que le gouvernement avait mis en place un plan de charge pour la sauvegarde de l'entreprise. Hier, les travailleurs étaient déterminés à poursuivre leur mouvement de protestation jusqu'à satisfaction de leur revendication.
