La Jordanie abritera, du 19 au 20 du mois en cours, des projections de films algériens à Amman, à l'initiative de l'Agence algérienne pour le rayonnement culturel en collaboration avec le ministère de la Culture, l'ambassade d'Algérie en Jordanie et l'Institut royal de films de Jordanie. La Jordanie abritera, du 19 au 20 du mois en cours, des projections de films algériens à Amman, à l'initiative de l'Agence algérienne pour le rayonnement culturel en collaboration avec le ministère de la Culture, l'ambassade d'Algérie en Jordanie et l'Institut royal de films de Jordanie. Une manifestation qui illustre la mission stratégique de l‘Agence algérienne pour le rayonnement culturel dans la mise en avant de la culture algérienne en dehors de ses frontières. Ainsi, l‘Institut royal de films de Jordanie consacre trois jours de projections des meilleures réalisations cinématographiques à grand succès marquants de la dernière décennie du cinéma algérien : Hors la loi de Rachid Bouchareb, Mascarade de Lyes Salem et L‘envers du miroir Nadia Cherabi. Le publique jordanienne aura à découvrir la nouvelle vague du cinéma algérien absente des salles de projections jordaniennes à l‘instar des pays arabes. «Les Journées du film algérien à Amman» marqueront le début d‘une collaboration et d‘un partenariat prometteur entre l‘Institut royal de films de Jordanie et l‘Agence algérienne pour le rayonnement culturel aux objectifs communs, celui du rapprochement des cultures du cinéma des deux pays et de leurs rayonnement à travers le monde. Avec ces trois longs métrages, le public jordanien découvrira trois différents genres cinématographiques. Le premier Hors la loi de Rachid Bouchareb sorti en 2010. Un film historique qui donne à voir des personnages fictifs de la guerre d‘indépendance. Ainsi, chassés de leur terre algérienne, trois frères et leur mère sont séparés. Messaoud s‘engage en Indochine. à Paris, Abdelkader prend la tête du mouvement pour l‘indépendance de l‘Algérie et Saïd fait fortune dans les bouges et les clubs de boxe de Pigalle. Leur destin, scellé autour de l‘amour d‘une mère, se mêlera inexorablement à celui d‘une nation en lutte pour sa liberté. Puis vient le tour de«Mascarade de Lyes Salem sorti en 2008. Ce dernier propose une autre vision du cinéma algérien actuel. C‘est l‘histoire d‘un village qui se trouve quelque part en Algérie. Orgueilleux et fanfaron, Mounir aspire à être reconnu à sa juste valeur. Son talon d‘Achille : tout le monde se moque de sa sœur, Rym, qui s‘endort à tout bout de champ. Un soir, alors qu‘il rentre soûl de la ville, Mounir annonce sur la place du village qu‘un riche homme d‘affaires étranger a demandé la main de sa sœur. Enfin avec L‘envers du miroir de Nadia Cherabi sorti en 2007, le public découvrira une réalisation classique mais efficace, une bonne distribution et un thème brûlant. Une nuit, Kamel chauffeur de taxi occasionnel, découvre sur le siège arrière de son véhicule, un nouveau-né abandonné. Il retourne chez lui avec le bébé et réussira à convaincre sa mère de le garder pour la nuit. Il décide d‘aller à la recherche de la dernière cliente embarquée dans son véhicule. Il la retrouvera au bout d‘une longue traque. Elle s‘appelle Selma. La confrontation est violente entre Kamel et Selma. Lui est en colère. Elle, est en détresse. Une manifestation qui illustre la mission stratégique de l‘Agence algérienne pour le rayonnement culturel dans la mise en avant de la culture algérienne en dehors de ses frontières. Ainsi, l‘Institut royal de films de Jordanie consacre trois jours de projections des meilleures réalisations cinématographiques à grand succès marquants de la dernière décennie du cinéma algérien : Hors la loi de Rachid Bouchareb, Mascarade de Lyes Salem et L‘envers du miroir Nadia Cherabi. Le publique jordanienne aura à découvrir la nouvelle vague du cinéma algérien absente des salles de projections jordaniennes à l‘instar des pays arabes. «Les Journées du film algérien à Amman» marqueront le début d‘une collaboration et d‘un partenariat prometteur entre l‘Institut royal de films de Jordanie et l‘Agence algérienne pour le rayonnement culturel aux objectifs communs, celui du rapprochement des cultures du cinéma des deux pays et de leurs rayonnement à travers le monde. Avec ces trois longs métrages, le public jordanien découvrira trois différents genres cinématographiques. Le premier Hors la loi de Rachid Bouchareb sorti en 2010. Un film historique qui donne à voir des personnages fictifs de la guerre d‘indépendance. Ainsi, chassés de leur terre algérienne, trois frères et leur mère sont séparés. Messaoud s‘engage en Indochine. à Paris, Abdelkader prend la tête du mouvement pour l‘indépendance de l‘Algérie et Saïd fait fortune dans les bouges et les clubs de boxe de Pigalle. Leur destin, scellé autour de l‘amour d‘une mère, se mêlera inexorablement à celui d‘une nation en lutte pour sa liberté. Puis vient le tour de«Mascarade de Lyes Salem sorti en 2008. Ce dernier propose une autre vision du cinéma algérien actuel. C‘est l‘histoire d‘un village qui se trouve quelque part en Algérie. Orgueilleux et fanfaron, Mounir aspire à être reconnu à sa juste valeur. Son talon d‘Achille : tout le monde se moque de sa sœur, Rym, qui s‘endort à tout bout de champ. Un soir, alors qu‘il rentre soûl de la ville, Mounir annonce sur la place du village qu‘un riche homme d‘affaires étranger a demandé la main de sa sœur. Enfin avec L‘envers du miroir de Nadia Cherabi sorti en 2007, le public découvrira une réalisation classique mais efficace, une bonne distribution et un thème brûlant. Une nuit, Kamel chauffeur de taxi occasionnel, découvre sur le siège arrière de son véhicule, un nouveau-né abandonné. Il retourne chez lui avec le bébé et réussira à convaincre sa mère de le garder pour la nuit. Il décide d‘aller à la recherche de la dernière cliente embarquée dans son véhicule. Il la retrouvera au bout d‘une longue traque. Elle s‘appelle Selma. La confrontation est violente entre Kamel et Selma. Lui est en colère. Elle, est en détresse.
