Afin de justifier et confirmer l'un des objectifs tracés pour ce festival, à savoir un échange culturel enrichissant entre les nations, une symphonie algérienne intitulée Ballade, du compositeur Sid-Ahmed Belli, a été interprétée sous la baguette d'Ignacio Garcia Vidal. Afin de justifier et confirmer l'un des objectifs tracés pour ce festival, à savoir un échange culturel enrichissant entre les nations, une symphonie algérienne intitulée Ballade, du compositeur Sid-Ahmed Belli, a été interprétée sous la baguette d'Ignacio Garcia Vidal. Le palais de la Culture Moufdi- Zakaria a abrité, mercredi 14, la dernière journée du Festival international de la musique symphonique. Cette clôture s'est faaite en apothéose avec, sur scène, un orchestre multinational composé de musiciens des quatre coins de monde, orchestré par l'Espagnol Ignacio Garcia Vidal. Cette dernière journée a été marquée par la présence de la ministre de la Culture, khalida Toumi, les ambassadeurs des pays participants, les mélomanes et bien sûr les familles en quête d'une sortie qui les change de leur routine. Le chef d'orchestre, Ignacio Garcia Vidal, a captivé l'aattention de l'auditoirea grâce à son interprétation de symphonies musicales universelles et des morceaux du patrimoine algérien. L'orchestre a débuté la soirée avec l'interprétation de l'œuvre de Manuel de Falla el Amor Brujo (l'amour sorcier). La deuxième œuvre choisie, par le chef d'orchestre espagnol, est de Tchaikovsky la Cinquième symphonie lors de laquelle les présents ont pu apprécier toute la maestria du chef d'orchestre. À la fin de chaque morceau interprété, des salves d'applaudissements nourris s'élevaient dans une salle archicomble. La Dance n°1 de la Vida Brave de Manuel de Fallaa a été interprétée avec brio au grand bonheur des mélomanes et amoureux de grand musique. Afin de justifier et confirmer l'un des objectifs tracés pour ce festival, à savoir un échange culturel enrichissant entre les nations, une symphonie algérienne intitulé Ballade du compositeur, Sid-Ahmed Belli, a été interprétée sous la baguette d'Ignacio Garcia Vidal. Ce dernier s'exprimant à la fin du grandiose spectacle dira : « Je suis très heureux d'avoir conduit cet orchestre multinational, je remercie les organisateurs du festival, merci au public, et je compte revenir très prochainement ». À l'issue du spectacle des prix ont été remis par Khalida Toumi au compositeur, Sid-Ahmed Belli et au chef d'orchestre, Ignacio Garcia Vidal. De hommages appuyés ont été également rendus aux maîtres de la musique classique en Algérie et qui ont consacré leur vie à cette œuvre, il s'agit en l'occurence du regretté Kriou Abdellah (Chef d'orchestre), Moncef Hasnaoui (directeur de l'IRFM de Bouira), Boulifa Mohamed (directeur de l'IRFM d'Alger), Kada Benchiha (directeur de l'IRFM d'Oran), Chaib Setti Belkacem (directeur de l'IRFM de Batna), Houti Abdelkader (chef d'orchestre), Boudjelida Mokhtar (chef d'orchestre), Guechoud Mohamed (chef d'orchestre), Madour Said (Cadre à l'OSN) et Abbes Ahmed (musicien à l'osn). Ainsi le rideaau est tombé sur cette troisième édition du Festival international de musique symphonique, mercredi dernier, qqui a réussi à rassembler dans un même orchestre des musiciens des quatre coins du monde, mais parlant tous un même langage celui de la musique universelle laquelle ne connait pas de frontière. La musique adoucit les mœurs, maais elle rapproche également les peuples. Si tous les musiciens du monde se donnaient la main... Le palais de la Culture Moufdi- Zakaria a abrité, mercredi 14, la dernière journée du Festival international de la musique symphonique. Cette clôture s'est faaite en apothéose avec, sur scène, un orchestre multinational composé de musiciens des quatre coins de monde, orchestré par l'Espagnol Ignacio Garcia Vidal. Cette dernière journée a été marquée par la présence de la ministre de la Culture, khalida Toumi, les ambassadeurs des pays participants, les mélomanes et bien sûr les familles en quête d'une sortie qui les change de leur routine. Le chef d'orchestre, Ignacio Garcia Vidal, a captivé l'aattention de l'auditoirea grâce à son interprétation de symphonies musicales universelles et des morceaux du patrimoine algérien. L'orchestre a débuté la soirée avec l'interprétation de l'œuvre de Manuel de Falla el Amor Brujo (l'amour sorcier). La deuxième œuvre choisie, par le chef d'orchestre espagnol, est de Tchaikovsky la Cinquième symphonie lors de laquelle les présents ont pu apprécier toute la maestria du chef d'orchestre. À la fin de chaque morceau interprété, des salves d'applaudissements nourris s'élevaient dans une salle archicomble. La Dance n°1 de la Vida Brave de Manuel de Fallaa a été interprétée avec brio au grand bonheur des mélomanes et amoureux de grand musique. Afin de justifier et confirmer l'un des objectifs tracés pour ce festival, à savoir un échange culturel enrichissant entre les nations, une symphonie algérienne intitulé Ballade du compositeur, Sid-Ahmed Belli, a été interprétée sous la baguette d'Ignacio Garcia Vidal. Ce dernier s'exprimant à la fin du grandiose spectacle dira : « Je suis très heureux d'avoir conduit cet orchestre multinational, je remercie les organisateurs du festival, merci au public, et je compte revenir très prochainement ». À l'issue du spectacle des prix ont été remis par Khalida Toumi au compositeur, Sid-Ahmed Belli et au chef d'orchestre, Ignacio Garcia Vidal. De hommages appuyés ont été également rendus aux maîtres de la musique classique en Algérie et qui ont consacré leur vie à cette œuvre, il s'agit en l'occurence du regretté Kriou Abdellah (Chef d'orchestre), Moncef Hasnaoui (directeur de l'IRFM de Bouira), Boulifa Mohamed (directeur de l'IRFM d'Alger), Kada Benchiha (directeur de l'IRFM d'Oran), Chaib Setti Belkacem (directeur de l'IRFM de Batna), Houti Abdelkader (chef d'orchestre), Boudjelida Mokhtar (chef d'orchestre), Guechoud Mohamed (chef d'orchestre), Madour Said (Cadre à l'OSN) et Abbes Ahmed (musicien à l'osn). Ainsi le rideaau est tombé sur cette troisième édition du Festival international de musique symphonique, mercredi dernier, qqui a réussi à rassembler dans un même orchestre des musiciens des quatre coins du monde, mais parlant tous un même langage celui de la musique universelle laquelle ne connait pas de frontière. La musique adoucit les mœurs, maais elle rapproche également les peuples. Si tous les musiciens du monde se donnaient la main...
