A trois journées seulement de l'épilogue de la Ligue 1 de football, les choses vont du mal en pis pour le football algérien. Scènes de violence, mauvaise programmation, complicité des arbitres, arrangements… Un portrait plutôt sombre dressé par les puristes du football algérien qui est, rappelons-le, à sa deuxième année de professionnalisme. A trois journées seulement de l'épilogue de la Ligue 1 de football, les choses vont du mal en pis pour le football algérien. Scènes de violence, mauvaise programmation, complicité des arbitres, arrangements… Un portrait plutôt sombre dressé par les puristes du football algérien qui est, rappelons-le, à sa deuxième année de professionnalisme. Ce qui se passe ces derniers temps dans nos stades n'augure rien de bon. Certes, les clubs, ainsi que leurs supporters respectifs, vivent sous l'effet du stress, mais ce n'est guère une raison pour atteindre un seuil aussi grave de la violence. Pourquoi le supporter algérien fait preuve d'autant d'inconscience ces derniers temps ? Cela interpelle les esprits à œuvrer davantage dans le but de trouver les raisons qui mènent ces jeunes à la violence, notamment dans les tribunes. Ce phénomène a pris, cette saison, une ampleur telle qu'il devient plus qu'urgent de s'y pencher sérieusement. Tout le monde est concerné par ce phénomène, aussi bien les responsables que les supporters. Il y a chez l'actuel bureau de la Ligue nationale de football quelque chose qui, depuis ses débuts dans la gestion du professionnalisme, agace plus d'un. Le constat a été fait depuis un bon bout de temps et se confirme en cette fin de saison, et rien n'a changé ; le championnat a connu sa mauvaise programmation cette saison. La programmation du match NA Hussein Dey-USM Alger de la 27e journée, qui devait se jouer hier, deux heures avant celui du MC Alger-CR Belouizdad sur la même pelouse du 5-Juillet reste le meilleur exemple sur ce que nous venons de dire. Ce match a fait couler beaucoup d'encre. Après un premier report au 7 mai, au stade Omar-Hamadi de Bologhine, justifié, signalons-le, par l'instance nationale par l'indisponibilité des stades et à la «demande» du NAHD, ce match a été renvoyé au 12 mai prochain au stade 5-Juillet. Programmer un match sur la pelouse de l'équipe visiteuse, leader du championnat, et contre une équipe condamnée au purgatoire, il y a de la suspicion dans l'air. Les supporters du MC Alger, qui ont repondu présent lors du match de la mise à jour contre l'USM Alger en sont sortis écœurés du stade 5- Juillet, après la défaite surprenante de leur équipe favorite, tout en évoquant un éventuel arrangement entre les deux formation algéroises. L'autre constat vise cette fois-ci le corps arbitral. En effet, l'homme en noir a été souvent contesté durant cet exercice footballistique. Des comportements pour le moins qu'on puisse dire suspects qui n'honorent guère l'image de l'arbitre algérien, surtout quand il s'agit d'un arbitre international comme Mohamed Benouza qui a failli à sa mission lors de la demi-finale de coupe d'Algérie ESS-USMH. Pour sortir vainqueurs, les gens sont prêts à prendre tous les chemins et bafouer toutes les règles. Pourquoi la finale de Dame coupe s'est, elle, déroulée dans de bonnes conditions ? Ce qui se passe ces derniers temps dans nos stades n'augure rien de bon. Certes, les clubs, ainsi que leurs supporters respectifs, vivent sous l'effet du stress, mais ce n'est guère une raison pour atteindre un seuil aussi grave de la violence. Pourquoi le supporter algérien fait preuve d'autant d'inconscience ces derniers temps ? Cela interpelle les esprits à œuvrer davantage dans le but de trouver les raisons qui mènent ces jeunes à la violence, notamment dans les tribunes. Ce phénomène a pris, cette saison, une ampleur telle qu'il devient plus qu'urgent de s'y pencher sérieusement. Tout le monde est concerné par ce phénomène, aussi bien les responsables que les supporters. Il y a chez l'actuel bureau de la Ligue nationale de football quelque chose qui, depuis ses débuts dans la gestion du professionnalisme, agace plus d'un. Le constat a été fait depuis un bon bout de temps et se confirme en cette fin de saison, et rien n'a changé ; le championnat a connu sa mauvaise programmation cette saison. La programmation du match NA Hussein Dey-USM Alger de la 27e journée, qui devait se jouer hier, deux heures avant celui du MC Alger-CR Belouizdad sur la même pelouse du 5-Juillet reste le meilleur exemple sur ce que nous venons de dire. Ce match a fait couler beaucoup d'encre. Après un premier report au 7 mai, au stade Omar-Hamadi de Bologhine, justifié, signalons-le, par l'instance nationale par l'indisponibilité des stades et à la «demande» du NAHD, ce match a été renvoyé au 12 mai prochain au stade 5-Juillet. Programmer un match sur la pelouse de l'équipe visiteuse, leader du championnat, et contre une équipe condamnée au purgatoire, il y a de la suspicion dans l'air. Les supporters du MC Alger, qui ont repondu présent lors du match de la mise à jour contre l'USM Alger en sont sortis écœurés du stade 5- Juillet, après la défaite surprenante de leur équipe favorite, tout en évoquant un éventuel arrangement entre les deux formation algéroises. L'autre constat vise cette fois-ci le corps arbitral. En effet, l'homme en noir a été souvent contesté durant cet exercice footballistique. Des comportements pour le moins qu'on puisse dire suspects qui n'honorent guère l'image de l'arbitre algérien, surtout quand il s'agit d'un arbitre international comme Mohamed Benouza qui a failli à sa mission lors de la demi-finale de coupe d'Algérie ESS-USMH. Pour sortir vainqueurs, les gens sont prêts à prendre tous les chemins et bafouer toutes les règles. Pourquoi la finale de Dame coupe s'est, elle, déroulée dans de bonnes conditions ?
