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Contribution active du système éducatif algérien à la croissance économique
Lancement du Prix pour la recherche en éducation en Afrique
Publié dans Le Midi Libre le 27 - 08 - 2012

Le Prix pour la recherche en éducation en Afrique (PREA) dont la date limite de dépôt des dossiers de candidature a été fixée au 20 août vient d`être lancé par L'Association pour le développement de l'éducation en Afrique (ADEA), et le point focal de la Banque africaine de développement pour le renforcement des capacités - l'Institut africain pour le développement (BAD/IAD) – en collaboration avec la coopération économique Corée-Afrique (KOAFEC.)
Le Prix pour la recherche en éducation en Afrique (PREA) dont la date limite de dépôt des dossiers de candidature a été fixée au 20 août vient d`être lancé par L'Association pour le développement de l'éducation en Afrique (ADEA), et le point focal de la Banque africaine de développement pour le renforcement des capacités - l'Institut africain pour le développement (BAD/IAD) – en collaboration avec la coopération économique Corée-Afrique (KOAFEC.)
Les promoteurs de ce concours soulignent que la récompense sera composée d'un volet financier et d'un volet en nature. «Les objectifs sont multiples et s`articulent autour de trois axes, à savoir renforcer le lien entre la recherche en éducation et formation et l'élaboration des politiques d'éducation et leur mise en œuvre en Afrique et encourager et soutenir les chercheurs basés en Afrique et leurs institutions à produire et à diffuser des travaux rigoureux et pertinents susceptibles de stimuler l'élaboration de politiques éducatives innovantes pour l'Afrique.
Il s'agit également de faciliter les rapports entre les chercheurs et les décideurs afin que les résultats de la recherche soient plus utilisés dans la formulation, la mise en œuvre et l'évaluation des politiques».
Cependant, ils précisent qu'en fin de compte, « le PREA vise à contribuer à institutionnaliser une culture de recherche de haute qualité et pertinente en éducation dans les universités africaines, les réseaux de recherche et instituts. Il récompense quatre catégories de récipiendaires, à savoir meilleur chercheur émergent en Education, chercheur en Education chevronné, Mentor émérite de chercheurs en éducation et enfin Environnement institutionnel propice à la recherche en éducation».
Pour ce qui est de la récompense pour chacune de ces catégories, elle sera composée d'un volet financier et d'un volet en nature comprenant un voyage d'étude à l'université de Séoul en Corée du Sud. Les lauréats seront présélectionnés par un Comité scientifique composé de 10 membres. Pour le choix final, chaque catégorie du prix aura un jury de 3 membres reflétant, à l'instar du Comité scientifique, la diversité régionale et linguistique qui existe sur le continent africain ainsi que la représentation du genre, indique l'Observatoire économique méditerranéen de Marseille.
Impact de l'éducation sur la croissance économique en Algérie
Les experts prennent en considération plusieurs paramètres, tels que les dépenses d'éducation (DEP), le nombre de diplômés du supérieur (DIP), les effectifs scolarisés tous niveaux confondus (SCO) et, enfin, la croissance économique, évaluée par le Produit intérieur brut (PIB).
En s'interrogeant sur l'existence d'une relation de causalité entre éducation et croissance économique en Algérie, les analystes estiment que de cette problématique principale on peut dériver trois questions.
Il s'agit de savoir comment évolue le système éducatif algérien, dans quelle mesure la littérature empirique existante peut-elle évaluer l'impact de l'éducation sur la croissance économique et s'il existe des relations de causalité entre les sphères éducatives et économiques en Algérie.
Pour les experts, «aujourd'hui le développement et la croissance d'une nation semblent dépendre plus que jamais de son niveau culturel et scientifique, et par là même de la valeur de son enseignement. Un tel bouleversement n'est toutefois possible qu'avec un spectaculaire développement des connaissances et ne peut avoir lieu que lorsque se trouvent réunies des conditions techniques et sociologiques. Si divers facteurs (population, éducation,..) interviennent dans la croissance économique, leur rôle peut être inégale selon les périodes, voire selon les pays ou les régions».
Il ajoutent que «dès lors, il apparaît évident que l'accumulation du capital humain contribue au même titre que l'accumulation du capital physique à la croissance économique, dans un tel contexte il n'est pas surprenant de voir l'éducation et la formation occuper une place prépondérante dans l'élaboration des politiques économiques, d'où l'importance particulière accordée par l'Algérie au développement de son système éducatif après l'indépendance, ce qui a permis le recul très significatif du taux d'analphabétisme, et la montée très forte des taux de scolarisation».
Par ailleurs, ils estiment que «l'éducation est également supposée contribuer à l'adaptabilité de la main-d'œuvre aux nouvelles technologies. Le but ultime de réduire la pauvreté vient renforcer l'intérêt pour l'éducation dans le contexte de la société de la connaissance et de la concurrence économique entre les nations».
Les promoteurs de ce concours soulignent que la récompense sera composée d'un volet financier et d'un volet en nature. «Les objectifs sont multiples et s`articulent autour de trois axes, à savoir renforcer le lien entre la recherche en éducation et formation et l'élaboration des politiques d'éducation et leur mise en œuvre en Afrique et encourager et soutenir les chercheurs basés en Afrique et leurs institutions à produire et à diffuser des travaux rigoureux et pertinents susceptibles de stimuler l'élaboration de politiques éducatives innovantes pour l'Afrique.
Il s'agit également de faciliter les rapports entre les chercheurs et les décideurs afin que les résultats de la recherche soient plus utilisés dans la formulation, la mise en œuvre et l'évaluation des politiques».
Cependant, ils précisent qu'en fin de compte, « le PREA vise à contribuer à institutionnaliser une culture de recherche de haute qualité et pertinente en éducation dans les universités africaines, les réseaux de recherche et instituts. Il récompense quatre catégories de récipiendaires, à savoir meilleur chercheur émergent en Education, chercheur en Education chevronné, Mentor émérite de chercheurs en éducation et enfin Environnement institutionnel propice à la recherche en éducation».
Pour ce qui est de la récompense pour chacune de ces catégories, elle sera composée d'un volet financier et d'un volet en nature comprenant un voyage d'étude à l'université de Séoul en Corée du Sud. Les lauréats seront présélectionnés par un Comité scientifique composé de 10 membres. Pour le choix final, chaque catégorie du prix aura un jury de 3 membres reflétant, à l'instar du Comité scientifique, la diversité régionale et linguistique qui existe sur le continent africain ainsi que la représentation du genre, indique l'Observatoire économique méditerranéen de Marseille.
Impact de l'éducation sur la croissance économique en Algérie
Les experts prennent en considération plusieurs paramètres, tels que les dépenses d'éducation (DEP), le nombre de diplômés du supérieur (DIP), les effectifs scolarisés tous niveaux confondus (SCO) et, enfin, la croissance économique, évaluée par le Produit intérieur brut (PIB).
En s'interrogeant sur l'existence d'une relation de causalité entre éducation et croissance économique en Algérie, les analystes estiment que de cette problématique principale on peut dériver trois questions.
Il s'agit de savoir comment évolue le système éducatif algérien, dans quelle mesure la littérature empirique existante peut-elle évaluer l'impact de l'éducation sur la croissance économique et s'il existe des relations de causalité entre les sphères éducatives et économiques en Algérie.
Pour les experts, «aujourd'hui le développement et la croissance d'une nation semblent dépendre plus que jamais de son niveau culturel et scientifique, et par là même de la valeur de son enseignement. Un tel bouleversement n'est toutefois possible qu'avec un spectaculaire développement des connaissances et ne peut avoir lieu que lorsque se trouvent réunies des conditions techniques et sociologiques. Si divers facteurs (population, éducation,..) interviennent dans la croissance économique, leur rôle peut être inégale selon les périodes, voire selon les pays ou les régions».
Il ajoutent que «dès lors, il apparaît évident que l'accumulation du capital humain contribue au même titre que l'accumulation du capital physique à la croissance économique, dans un tel contexte il n'est pas surprenant de voir l'éducation et la formation occuper une place prépondérante dans l'élaboration des politiques économiques, d'où l'importance particulière accordée par l'Algérie au développement de son système éducatif après l'indépendance, ce qui a permis le recul très significatif du taux d'analphabétisme, et la montée très forte des taux de scolarisation».
Par ailleurs, ils estiment que «l'éducation est également supposée contribuer à l'adaptabilité de la main-d'œuvre aux nouvelles technologies. Le but ultime de réduire la pauvreté vient renforcer l'intérêt pour l'éducation dans le contexte de la société de la connaissance et de la concurrence économique entre les nations».


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