La cueillette des arachides bat son plein dans la wilaya d'El-Tarf où l'on escompte une production de 20.000 quintaux grâce à un rendement à l'hectare de plus de 10 quintaux en irrigué, a-t-on indiqué à la direction du secteur. La cueillette des arachides bat son plein dans la wilaya d'El-Tarf où l'on escompte une production de 20.000 quintaux grâce à un rendement à l'hectare de plus de 10 quintaux en irrigué, a-t-on indiqué à la direction du secteur. Menée, cette année, sur une superficie de 2.000 hectares, la campagne de cueillette est concentrée essentiellement dans le périmètre d'El-Frine (commune de Aïn El-Assel), à proximité du Lac Oubeïra, et dans la commune de Berrihane où existent plusieurs points d'eau destinés à l'irrigation de la culture d'arachides très "gourmande" en eau. La mise en place de système d'irrigation moderne, économe en eau, constitue la solution la plus appropriée pour le développement de cette culture où les rendements de production peuvent atteindre les 13 quintaux en irrigué et 3 quintaux seulement en sec, rapporte l'APS La même source a rappelé que la culture d'arachides qui se pratiquait il y a quelques années en bordure du lac Tonga, dans la commune de Souarakh, a été tout simplement abandonnée du fait que les terres réservées à cette culture demeurent inondées à longueur d'année par les eaux se déversant continuellement de cet étang à la suite de la détérioration de sa digue de protection. La même source a ajouté que cette culture "peut être développée pour devenir industrielle et servir dans la fabrication des huiles ou les confiseries orientales, notamment". A l'heure actuelle, les producteurs s'attèlent à arracher les plants d'arachides qui doivent sécher au soleil avant d'être délestés de leur fruits. A la faveur de la brise, en début d'après-midi, le fellah utilise un outillage spécifique ressemblant à une pelle en bois, appelé communément "louh" pour séparer le bon grain de l'ivraie. D'une main agile, dont lui seul a le secret, il soulève de bas en haut les gousses d'arachides pour que le vent balaie les impuretés. Les cacahuètes sont ensuite exposées au soleil pour mieux sécher avant d'être emballées dans des sacs pour être commercialisées. Menée, cette année, sur une superficie de 2.000 hectares, la campagne de cueillette est concentrée essentiellement dans le périmètre d'El-Frine (commune de Aïn El-Assel), à proximité du Lac Oubeïra, et dans la commune de Berrihane où existent plusieurs points d'eau destinés à l'irrigation de la culture d'arachides très "gourmande" en eau. La mise en place de système d'irrigation moderne, économe en eau, constitue la solution la plus appropriée pour le développement de cette culture où les rendements de production peuvent atteindre les 13 quintaux en irrigué et 3 quintaux seulement en sec, rapporte l'APS La même source a rappelé que la culture d'arachides qui se pratiquait il y a quelques années en bordure du lac Tonga, dans la commune de Souarakh, a été tout simplement abandonnée du fait que les terres réservées à cette culture demeurent inondées à longueur d'année par les eaux se déversant continuellement de cet étang à la suite de la détérioration de sa digue de protection. La même source a ajouté que cette culture "peut être développée pour devenir industrielle et servir dans la fabrication des huiles ou les confiseries orientales, notamment". A l'heure actuelle, les producteurs s'attèlent à arracher les plants d'arachides qui doivent sécher au soleil avant d'être délestés de leur fruits. A la faveur de la brise, en début d'après-midi, le fellah utilise un outillage spécifique ressemblant à une pelle en bois, appelé communément "louh" pour séparer le bon grain de l'ivraie. D'une main agile, dont lui seul a le secret, il soulève de bas en haut les gousses d'arachides pour que le vent balaie les impuretés. Les cacahuètes sont ensuite exposées au soleil pour mieux sécher avant d'être emballées dans des sacs pour être commercialisées.