La projection du film documentaire Ils ont rejoint le Front du réalisateur franco-allemand Jean Asselmeyer, dans le cadre de la première édition du festival du court métrage et du documentaire, a drainé un public nombreux à Mostaganem. Des familles et de nombreux jeunes surtout ont suivi dimanche soir avec attention des témoignages de trois français et un argentin qui ont soutenu la cause algérienne à l'époque coloniale et dénoncé les crimes odieux commis contre le peuple algérien, dans ce film de 50 minutes. Le documentaire met en exergue la sympathie du militant Roberto Munez appelé «Mahmoud l'argentin» et de deux militants français, Annie Steiner et Pierre Felix pour la glorieuse guerre de Libération exprimant leur soutien indéfectible à la cause algérienne. Le film jette la lumière également sur les massacres commis par le colonisateur français à l'encontre du peuple algérien, à l'instar des événements du 8 Mai 1945, où les militants-témoins dénoncent vivement de tels crimes réclamant des autorités françaises le respect des droits de l'Homme. Cette manifestation, organisée à l'initiative de la direction de la culture en collaboration avec la maison de la culture de la wilaya, se poursuit par la projection de trois courts métrages Ouassakh eddounia (saleté de la vie) de Soheib Meziani Kal li ellil (La nuit m'a dit) en amazighe de Massinissa Ould Hadj et Mata artah (quand me reposerai-je) du réalisateur irakien Nouar El Merhoun et un documrentaire L'afrique fait son histoire de Hadj Fitas. La projection du film documentaire Ils ont rejoint le Front du réalisateur franco-allemand Jean Asselmeyer, dans le cadre de la première édition du festival du court métrage et du documentaire, a drainé un public nombreux à Mostaganem. Des familles et de nombreux jeunes surtout ont suivi dimanche soir avec attention des témoignages de trois français et un argentin qui ont soutenu la cause algérienne à l'époque coloniale et dénoncé les crimes odieux commis contre le peuple algérien, dans ce film de 50 minutes. Le documentaire met en exergue la sympathie du militant Roberto Munez appelé «Mahmoud l'argentin» et de deux militants français, Annie Steiner et Pierre Felix pour la glorieuse guerre de Libération exprimant leur soutien indéfectible à la cause algérienne. Le film jette la lumière également sur les massacres commis par le colonisateur français à l'encontre du peuple algérien, à l'instar des événements du 8 Mai 1945, où les militants-témoins dénoncent vivement de tels crimes réclamant des autorités françaises le respect des droits de l'Homme. Cette manifestation, organisée à l'initiative de la direction de la culture en collaboration avec la maison de la culture de la wilaya, se poursuit par la projection de trois courts métrages Ouassakh eddounia (saleté de la vie) de Soheib Meziani Kal li ellil (La nuit m'a dit) en amazighe de Massinissa Ould Hadj et Mata artah (quand me reposerai-je) du réalisateur irakien Nouar El Merhoun et un documrentaire L'afrique fait son histoire de Hadj Fitas.
