Le Parti interdit des travailleurs du Kurdistan (PKK) s'est engagé à respecter l'appel à déposer les armes, lancé jeudi par son chef emprisonné Abdullah Ocalan, a affirmé son commandant militaire, Murat Karayilan, cité par l'agence de presse pro-kurde Firat News. "Tout le monde doit savoir que le PKK est aussi bien prêt à la paix qu'à la guerre. Nous allons, dans ce contexte, inscrire avec détermination dans les faits le processus lancé par Ocalan", a indiqué M. Karayilan depuis le nord de l'Irak, où se trouve le commandement militaire du PKK. "L'année 2013 sera celle d'une solution, par la guerre ou par la paix", a-t-il ajouté, "le PKK ne veut pas la guerre dans n'importe quelle circonstance". Le PKK, classé comme un mouvement terroriste par nombre de pays, dispose de bases arrières dans le nord de l'Irak, frontalier de la Turquie. Abdullah Ocalan a appelé jeudi, à l'occasion du Newroz, le nouvel an kurde, les éléments armés du PKK à déposer les armes et à se retirer de Turquie. Pour sa part, le gouvernement turc a indiqué qu'il cesserait les opérations militaires contre le PKK si celui-ci arrêtait ses actions armées. Le Parti interdit des travailleurs du Kurdistan (PKK) s'est engagé à respecter l'appel à déposer les armes, lancé jeudi par son chef emprisonné Abdullah Ocalan, a affirmé son commandant militaire, Murat Karayilan, cité par l'agence de presse pro-kurde Firat News. "Tout le monde doit savoir que le PKK est aussi bien prêt à la paix qu'à la guerre. Nous allons, dans ce contexte, inscrire avec détermination dans les faits le processus lancé par Ocalan", a indiqué M. Karayilan depuis le nord de l'Irak, où se trouve le commandement militaire du PKK. "L'année 2013 sera celle d'une solution, par la guerre ou par la paix", a-t-il ajouté, "le PKK ne veut pas la guerre dans n'importe quelle circonstance". Le PKK, classé comme un mouvement terroriste par nombre de pays, dispose de bases arrières dans le nord de l'Irak, frontalier de la Turquie. Abdullah Ocalan a appelé jeudi, à l'occasion du Newroz, le nouvel an kurde, les éléments armés du PKK à déposer les armes et à se retirer de Turquie. Pour sa part, le gouvernement turc a indiqué qu'il cesserait les opérations militaires contre le PKK si celui-ci arrêtait ses actions armées.
