Le ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques, Sid-Ahmed Ferroukhi, a plaidé pour une "exploitation équilibrée" des ressources halieutiques, soulignant la nécessité de réfléchir à une "meilleure prise en charge" des pêcheurs, en vue de satisfaire les besoins du marché. Le ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques, Sid-Ahmed Ferroukhi, a plaidé pour une "exploitation équilibrée" des ressources halieutiques, soulignant la nécessité de réfléchir à une "meilleure prise en charge" des pêcheurs, en vue de satisfaire les besoins du marché. "L'exploitation équilibrée des ressources halieutiques représente le plus grand défi que le secteur se doit de relever", a fait observer Ferroukhi, à l'ouverture d'une journée d'étude sur "Les principaux sujets de recherche incombant au secteur". "Une exploitation démesurée de la biomasse nuit aux ressources halieutiques, de même que la non prise en charge des pêcheurs n'est pas de nature à favoriser l'essor de la pêche et de l'aquaculture", a estimé le ministre, qui a requis la nécessité de "s'éloigner des solutions virtuelles et des approches théoriques". Il a demandé aux chercheurs d'opter pour des solutions "pratiques et scientifiques susceptibles d'aider à mieux réguler et préserver la biomasse". Cette rencontre s'inscrit dans le cadre de la stratégie du ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques, visant à engager un dialogue avec les professionnels, dont notamment les pêcheurs, en vue de "donner une forte impulsion au secteur". Les participants ont eu à débattre certains points jugés vitaux pour l'avenir du secteur, liés notamment à l'aménagement de halles aux poissons, le développement de la pêche tant maritime que continentale, la prise en charge des pêcheurs, l'aquaculture, l'écosystème marin et autres. "L'exploitation équilibrée des ressources halieutiques représente le plus grand défi que le secteur se doit de relever", a fait observer Ferroukhi, à l'ouverture d'une journée d'étude sur "Les principaux sujets de recherche incombant au secteur". "Une exploitation démesurée de la biomasse nuit aux ressources halieutiques, de même que la non prise en charge des pêcheurs n'est pas de nature à favoriser l'essor de la pêche et de l'aquaculture", a estimé le ministre, qui a requis la nécessité de "s'éloigner des solutions virtuelles et des approches théoriques". Il a demandé aux chercheurs d'opter pour des solutions "pratiques et scientifiques susceptibles d'aider à mieux réguler et préserver la biomasse". Cette rencontre s'inscrit dans le cadre de la stratégie du ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques, visant à engager un dialogue avec les professionnels, dont notamment les pêcheurs, en vue de "donner une forte impulsion au secteur". Les participants ont eu à débattre certains points jugés vitaux pour l'avenir du secteur, liés notamment à l'aménagement de halles aux poissons, le développement de la pêche tant maritime que continentale, la prise en charge des pêcheurs, l'aquaculture, l'écosystème marin et autres.
