Le sport doit être regardé sous plusieurs angles. Certes, cet Espagne-Tahiti a été à sens unique sur le terrain, mais les Polynésiens ne sont pas près d'oublier ce match disputé devant 71.806 spectateurs dans le mythique Maracanã. Le sport doit être regardé sous plusieurs angles. Certes, cet Espagne-Tahiti a été à sens unique sur le terrain, mais les Polynésiens ne sont pas près d'oublier ce match disputé devant 71.806 spectateurs dans le mythique Maracanã. L'équipe d'Eddy Etaeta a même tiré son épingle du jeu pendant une bonne partie de la première période, limitant les champions du monde à une poignée d'occasions. Malgré leur état d'esprit irréprochable et leurs efforts de tous les instants, les Océaniens ont payé cher leur naïveté, la position avancée de leur bloc défensif ayant permis à la Roja de s'en donner à cœur joie sur les contres. Les Ibériques se sont retrouvés dans un rôle auquel ils ne sont pas habitués, celui du "méchant", tandis que le public était tout entier voué à la cause des outsiders. Chaque intervention réussie du gardien Mikaël Roche était accueillie par un tonnerre d'encouragements et le stade a bien failli exploser lorsque Fernando Torres a vu son penalty heurter la transversale à la 78e minute. Roche n'a pas manqué l'occasion de communiquer avec la foule en célébrant cet échec comme s'il venait de réussir l'arrêt du siècle. C'est pourtant Torres qui aura le dernier mot en inscrivant son quatrième but une minute plus tard, égalant ainsi le record de la compétition. L'Uruguay y est presque Battue par l'Espagne pour son premier match de la Coupe des Confédérations dimanche, la Celeste s'est rattrapée jeudi face au Nigeria (2-1). Les partenaires de Diego Forlan ont fait un grand pas vers les demi-finales. Ils étaient dos au mur et ne se sont pas manqués. Dominés par l'Espagne dimanche dans le premier match du groupe B de la Coupe des Confédérations (2-1), les Uruguayens ont bien réagi face au Nigeria, jeudi à Salvador (2-1). Trois points qui font un bien fou à la Celeste, qui se retrouve en position idéale pour disputer les demi-finales. Un succès dimanche face à Tahiti, qui a déjà encaissé 16 buts en deux rencontres, lui ouvrirait effectivement les portes du dernier carré. Tout n'a pourtant pas été simple face aux Super Eagles d'Obi Mikel. Le milieu de terrain de Chelsea a été très remuant et a relancé les siens d'une action superbe, conclue d'une frappe du gauche en lucarne après un crochet sur Lugano (1-1, 37e).Le capitaine uruguayen avait toutefois débuté son match de manière idéale, en ouvrant le score du tibia (1-0, 19') sur un centre de Forlan. Un but venu récompenser un premier quart d'heure à sens unique. Bien en place jusque-là, les Sud-Américains ont alors commencé à reculer, et auraient même pu être menés à la pause sans une belle claquette de Muslera sur une tête d'Ideye Brown. Titularisés en attaque, Suarez, Cavani et Forlan ont forcé la décision sur un contre initié par l'attaquant de Liverpool et relayé par celui de Naples. Bien décalé par ses deux compères, Forlan a alors placé une frappe limpide du gauche sous la barre (2-1, 51e). Une bien belle façon de fêter sa 100e sélection. L'équipe d'Eddy Etaeta a même tiré son épingle du jeu pendant une bonne partie de la première période, limitant les champions du monde à une poignée d'occasions. Malgré leur état d'esprit irréprochable et leurs efforts de tous les instants, les Océaniens ont payé cher leur naïveté, la position avancée de leur bloc défensif ayant permis à la Roja de s'en donner à cœur joie sur les contres. Les Ibériques se sont retrouvés dans un rôle auquel ils ne sont pas habitués, celui du "méchant", tandis que le public était tout entier voué à la cause des outsiders. Chaque intervention réussie du gardien Mikaël Roche était accueillie par un tonnerre d'encouragements et le stade a bien failli exploser lorsque Fernando Torres a vu son penalty heurter la transversale à la 78e minute. Roche n'a pas manqué l'occasion de communiquer avec la foule en célébrant cet échec comme s'il venait de réussir l'arrêt du siècle. C'est pourtant Torres qui aura le dernier mot en inscrivant son quatrième but une minute plus tard, égalant ainsi le record de la compétition. L'Uruguay y est presque Battue par l'Espagne pour son premier match de la Coupe des Confédérations dimanche, la Celeste s'est rattrapée jeudi face au Nigeria (2-1). Les partenaires de Diego Forlan ont fait un grand pas vers les demi-finales. Ils étaient dos au mur et ne se sont pas manqués. Dominés par l'Espagne dimanche dans le premier match du groupe B de la Coupe des Confédérations (2-1), les Uruguayens ont bien réagi face au Nigeria, jeudi à Salvador (2-1). Trois points qui font un bien fou à la Celeste, qui se retrouve en position idéale pour disputer les demi-finales. Un succès dimanche face à Tahiti, qui a déjà encaissé 16 buts en deux rencontres, lui ouvrirait effectivement les portes du dernier carré. Tout n'a pourtant pas été simple face aux Super Eagles d'Obi Mikel. Le milieu de terrain de Chelsea a été très remuant et a relancé les siens d'une action superbe, conclue d'une frappe du gauche en lucarne après un crochet sur Lugano (1-1, 37e).Le capitaine uruguayen avait toutefois débuté son match de manière idéale, en ouvrant le score du tibia (1-0, 19') sur un centre de Forlan. Un but venu récompenser un premier quart d'heure à sens unique. Bien en place jusque-là, les Sud-Américains ont alors commencé à reculer, et auraient même pu être menés à la pause sans une belle claquette de Muslera sur une tête d'Ideye Brown. Titularisés en attaque, Suarez, Cavani et Forlan ont forcé la décision sur un contre initié par l'attaquant de Liverpool et relayé par celui de Naples. Bien décalé par ses deux compères, Forlan a alors placé une frappe limpide du gauche sous la barre (2-1, 51e). Une bien belle façon de fêter sa 100e sélection.
