Le bras de fer qui oppose le patron de la Fédération algérienne de football, Mohamed Rouaraoua, à son « employé », le technicien Vahid Halilhodzic, a pris des proportions graves à quelques mois seulement du coup d'envoi du Mondial brésilien 2014. Le bras de fer qui oppose le patron de la Fédération algérienne de football, Mohamed Rouaraoua, à son « employé », le technicien Vahid Halilhodzic, a pris des proportions graves à quelques mois seulement du coup d'envoi du Mondial brésilien 2014. En effet, rien ne va plus entre le président de la Faf et l‘entraîneur Vahid Halilhodzic depuis la qualification de la sélection algérienne pour la phase finale du Mondial brésilien 2014. La dernière sortie médiatique du premier responsable à la barre technique des Verts était à l‘origine de toute cette polémique. Le Bosnien, qui avait l‘air de mettre fin à son aventure à la tête de la barre technique de la sélection algérienne, juste après cette victoire étriquée contre le Burkina-Faso, n‘a laissé personne indifférent. Le coach avait confirmé que la qualification de l‘Algérie au deuxième tour est un rêve « impossible » à exaucer. Une formule qui a fait vite réagir le président Rouaraoua qui explique qu‘une clause dans le contrat de l‘entraîneur national, Vahid Halilhodzic, stipule qu‘il est tenu de qualifier les Verts au deuxième tour de la prochaine Coupe du monde 2014 au Brésil. « L‘objectif d‘Halilhodzic lors du prochain Mondial est de se qualifier au deuxième tour. La Faf a d‘ailleurs mis tous les moyens à sa disposition pour atteindre cet objectif », a déclaré le premier responsable du football algérien, invité du forum de la chaîne de télévision privée Dzair TV. L‘Algérie évoluera lors du rendez-vous planétaire dans le groupe H avec la Belgique, la Corée du Sud et la Russie, un groupe que l‘entraîneur national a qualifié de très difficile, laissant entendre dans ses différentes sorties médiatiques, après le tirage au sort, qu‘il était « compliqué de passer au second tour ». Une formule différemment interprétée par les techniciens et les médias. Pour le premier responsable du football algérien, l‘entraîneur Vahid Halilhodzic, qui a été interviewé par une chaîne étrangère, ne maîtrise pas bien le français. « J‘ai réécouté les déclarations de l‘entraîneur national sur cette chaîne de télévision. Je pense qu‘il s‘est mal exprimé, surtout qu‘il ne maîtrise pas très bien la langue française. Je suis persuadé toutefois qu‘il n‘ira pas au Brésil en touriste », a commenté le président de la Faf. Ce dernier, qui confirme qu‘il entretient toujours de bons rapports avec lui, avoue que Halilhodzic reste un « employé » de la Faf. Au cas où cet entraîneur insiste sur son départ, Rouaraoua a fait savoir qu‘ils sont nombreux les entraîneurs, parmi eux des techniciens de renom, à postuler à sa succession, mais, dira-t-il, qu‘il attend la fin du délai accordé à ce dernier pour trancher la question. Toutefois, le président de la Faf dira que l‘intérêt de l‘équipe passe au-dessus de toutes les autres considérations. « Pas question d‘attendre Halilhodzic toute l‘éternité. S‘il ne veut pas rempiler, on a déjà tout prévu pour sa succession. Je n‘ai aucun souci à ce propos. Et même s‘il souhaite quitter les commandes techniques des Verts avant le Mondial, qu‘il le fasse, car on ne retient personne contre son gré », a-t-il précisé. Le concerné par cette situation a précisé, de son côté, qu‘il a déjà atteint son objectif, à savoir la qualification pour la Coupe du monde. La décision quant à son avenir à la tête de la sélection algérienne sera prise au temps « opportun ». « On verra ça en fonction de l‘évolution des choses au sein de cette équipe », a-t-il dit. En tout cas, le contrat de l‘entraîneur Vahid Halilhodzic expirera après la Coupe du monde, mais puisque le championnat d‘Afrique des Nations interviendra juste après, le président lui a fait une proposition de prolonger son bail jusqu‘à 2015. Le technicien a un ultimatum jusqu‘à la fin de ce mois pour trancher. En cas d‘un refus, la FAF n‘attendra certainement pas la fin du Mondial pour lui trouver un successeur. Cela, aux yeux des techniciens, vaut mieux le faire avant le Mondial pour permettre au nouvel entraîneur d‘avoir plus de temps pour connaître son groupe. Une chose est sûre : rien n‘a été décidé dans ce sens et les Algériens doivent attendre la fin de ce mois pour connaître l‘issue de cette affaire. En effet, rien ne va plus entre le président de la Faf et l‘entraîneur Vahid Halilhodzic depuis la qualification de la sélection algérienne pour la phase finale du Mondial brésilien 2014. La dernière sortie médiatique du premier responsable à la barre technique des Verts était à l‘origine de toute cette polémique. Le Bosnien, qui avait l‘air de mettre fin à son aventure à la tête de la barre technique de la sélection algérienne, juste après cette victoire étriquée contre le Burkina-Faso, n‘a laissé personne indifférent. Le coach avait confirmé que la qualification de l‘Algérie au deuxième tour est un rêve « impossible » à exaucer. Une formule qui a fait vite réagir le président Rouaraoua qui explique qu‘une clause dans le contrat de l‘entraîneur national, Vahid Halilhodzic, stipule qu‘il est tenu de qualifier les Verts au deuxième tour de la prochaine Coupe du monde 2014 au Brésil. « L‘objectif d‘Halilhodzic lors du prochain Mondial est de se qualifier au deuxième tour. La Faf a d‘ailleurs mis tous les moyens à sa disposition pour atteindre cet objectif », a déclaré le premier responsable du football algérien, invité du forum de la chaîne de télévision privée Dzair TV. L‘Algérie évoluera lors du rendez-vous planétaire dans le groupe H avec la Belgique, la Corée du Sud et la Russie, un groupe que l‘entraîneur national a qualifié de très difficile, laissant entendre dans ses différentes sorties médiatiques, après le tirage au sort, qu‘il était « compliqué de passer au second tour ». Une formule différemment interprétée par les techniciens et les médias. Pour le premier responsable du football algérien, l‘entraîneur Vahid Halilhodzic, qui a été interviewé par une chaîne étrangère, ne maîtrise pas bien le français. « J‘ai réécouté les déclarations de l‘entraîneur national sur cette chaîne de télévision. Je pense qu‘il s‘est mal exprimé, surtout qu‘il ne maîtrise pas très bien la langue française. Je suis persuadé toutefois qu‘il n‘ira pas au Brésil en touriste », a commenté le président de la Faf. Ce dernier, qui confirme qu‘il entretient toujours de bons rapports avec lui, avoue que Halilhodzic reste un « employé » de la Faf. Au cas où cet entraîneur insiste sur son départ, Rouaraoua a fait savoir qu‘ils sont nombreux les entraîneurs, parmi eux des techniciens de renom, à postuler à sa succession, mais, dira-t-il, qu‘il attend la fin du délai accordé à ce dernier pour trancher la question. Toutefois, le président de la Faf dira que l‘intérêt de l‘équipe passe au-dessus de toutes les autres considérations. « Pas question d‘attendre Halilhodzic toute l‘éternité. S‘il ne veut pas rempiler, on a déjà tout prévu pour sa succession. Je n‘ai aucun souci à ce propos. Et même s‘il souhaite quitter les commandes techniques des Verts avant le Mondial, qu‘il le fasse, car on ne retient personne contre son gré », a-t-il précisé. Le concerné par cette situation a précisé, de son côté, qu‘il a déjà atteint son objectif, à savoir la qualification pour la Coupe du monde. La décision quant à son avenir à la tête de la sélection algérienne sera prise au temps « opportun ». « On verra ça en fonction de l‘évolution des choses au sein de cette équipe », a-t-il dit. En tout cas, le contrat de l‘entraîneur Vahid Halilhodzic expirera après la Coupe du monde, mais puisque le championnat d‘Afrique des Nations interviendra juste après, le président lui a fait une proposition de prolonger son bail jusqu‘à 2015. Le technicien a un ultimatum jusqu‘à la fin de ce mois pour trancher. En cas d‘un refus, la FAF n‘attendra certainement pas la fin du Mondial pour lui trouver un successeur. Cela, aux yeux des techniciens, vaut mieux le faire avant le Mondial pour permettre au nouvel entraîneur d‘avoir plus de temps pour connaître son groupe. Une chose est sûre : rien n‘a été décidé dans ce sens et les Algériens doivent attendre la fin de ce mois pour connaître l‘issue de cette affaire.
