Les consultations sur le projet de la révision constitutionnelle se poursuivront jusqu'au bout. Ahmed Ouyahia est déterminé à ne pas céder aux critiques ni au boycott d'une bonne partie de l'opposition. Jusque-là, les invités ayant participé à ces consultations sont nombreux avec une trentaine de personnalités, plusieurs partis politiques et 37 organisations et associations nationales qui continuent d'ailleurs à être reçus selon l'agenda fixé. Les consultations sur le projet de la révision constitutionnelle se poursuivront jusqu'au bout. Ahmed Ouyahia est déterminé à ne pas céder aux critiques ni au boycott d'une bonne partie de l'opposition. Jusque-là, les invités ayant participé à ces consultations sont nombreux avec une trentaine de personnalités, plusieurs partis politiques et 37 organisations et associations nationales qui continuent d'ailleurs à être reçus selon l'agenda fixé. Dans ces pourparlers, la plupart plaident pour introduire des nouveautés dans la prochaine Constitution. Les aspects politiques dont la limitation des mandats présidentiels à deux, la création d'un régime semi-présidentiel ou à défaut renforcer le parlementarisme avec suppression des entraves de nature juridique pour le fonctionnement cohérent entre institutions restent les fondements pour lesquels plaident les invités au dialogue avec Ouyahia. Pour ainsi dire, rien n'arrêtera le Président dans cette bataille qui s'annonce décisive pour l'avenir politique du pays. La transparence et la non-discrimination entre acteurs politiques semblent être les premiers constats de ce dialogue. Pour leurs part, les personnalités invitées ont toute la latitude de communiquer à l'issue de ces rencontres, soit en organisant des points de presse au sortir des consultations soit sous la forme de communiqués. Pour la plupart des personnalités nationales consultées, la plaidoirie pour le renforcement d'un Etat de droit ainsi que le fait que la justice doit être indépendante et éloignée du jeu politique peuvent aisément être confortés comme principes constitutionnels inaltérable, de même que le veut le Président sur la charte pour la réconciliation nationale. Il ressort également la suppression de tout blocage sur l'émancipation des droits de l'homme, la révision du code de la famille en consacrant plus d'ouverture des droits de la femme sur bien d'aspects de la vie sociale et l'élargissement du chapitre sur les libertés publiques. La plupart des acteurs politiques et ceux de la société civile sont unanimes face à la question sécuritaire. L'Algérie qui a évité un « printemps arabe» concocté avec soins par certaines puissances et leurs sous-traitants des monarchies du Golfe, arrive à faire face actuellement aux autres tentatives de déstabilisation de son territoire notamment sur le front du Sahel. C'est dans cette optique que la majorité soutient les efforts diplomatiques et militaires de l'Algérie pour sécuriser ces frontières et ne pas céder aux chantages des pays puissants sur la souveraineté nationale et les lois qu'elle élabore dans ce cadre. Mais dans ce bouillonnement politique, les tenants de l'opposition ont tenté de «décrédibiliser» ces consultations et de les diaboliser médiatiquement alors que toutes ces parties ont été conviées à ces rendez-vous. Il convient donc d'attendre le bilan de ces consultations pour voir ce qui sera retenu comme nouveauté dans le cadre du projet de la nouvelle Constitution. Dans ces pourparlers, la plupart plaident pour introduire des nouveautés dans la prochaine Constitution. Les aspects politiques dont la limitation des mandats présidentiels à deux, la création d'un régime semi-présidentiel ou à défaut renforcer le parlementarisme avec suppression des entraves de nature juridique pour le fonctionnement cohérent entre institutions restent les fondements pour lesquels plaident les invités au dialogue avec Ouyahia. Pour ainsi dire, rien n'arrêtera le Président dans cette bataille qui s'annonce décisive pour l'avenir politique du pays. La transparence et la non-discrimination entre acteurs politiques semblent être les premiers constats de ce dialogue. Pour leurs part, les personnalités invitées ont toute la latitude de communiquer à l'issue de ces rencontres, soit en organisant des points de presse au sortir des consultations soit sous la forme de communiqués. Pour la plupart des personnalités nationales consultées, la plaidoirie pour le renforcement d'un Etat de droit ainsi que le fait que la justice doit être indépendante et éloignée du jeu politique peuvent aisément être confortés comme principes constitutionnels inaltérable, de même que le veut le Président sur la charte pour la réconciliation nationale. Il ressort également la suppression de tout blocage sur l'émancipation des droits de l'homme, la révision du code de la famille en consacrant plus d'ouverture des droits de la femme sur bien d'aspects de la vie sociale et l'élargissement du chapitre sur les libertés publiques. La plupart des acteurs politiques et ceux de la société civile sont unanimes face à la question sécuritaire. L'Algérie qui a évité un « printemps arabe» concocté avec soins par certaines puissances et leurs sous-traitants des monarchies du Golfe, arrive à faire face actuellement aux autres tentatives de déstabilisation de son territoire notamment sur le front du Sahel. C'est dans cette optique que la majorité soutient les efforts diplomatiques et militaires de l'Algérie pour sécuriser ces frontières et ne pas céder aux chantages des pays puissants sur la souveraineté nationale et les lois qu'elle élabore dans ce cadre. Mais dans ce bouillonnement politique, les tenants de l'opposition ont tenté de «décrédibiliser» ces consultations et de les diaboliser médiatiquement alors que toutes ces parties ont été conviées à ces rendez-vous. Il convient donc d'attendre le bilan de ces consultations pour voir ce qui sera retenu comme nouveauté dans le cadre du projet de la nouvelle Constitution.