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La police durcit les mesures
Stationnement anarchique des véhicules
Publié dans Le Midi Libre le 03 - 09 - 2014

Le stationnement à Alger-Centre reste un véritable casse-tête. Les rares parkings existants étant très tôt saturés et en attendant la réalisation de ceux programmés, les automobilistes restent confrontés au risque du redoutable "sabot" ou pire encore voir leurs véhicules embarqués vers la fourrière.
Le stationnement à Alger-Centre reste un véritable casse-tête. Les rares parkings existants étant très tôt saturés et en attendant la réalisation de ceux programmés, les automobilistes restent confrontés au risque du redoutable "sabot" ou pire encore voir leurs véhicules embarqués vers la fourrière.
Pour faire faire face au stationnement anarchique qui est la cause d‘embouteillages infernaux, la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) a annoncé, mardi 2 septembre, dans un communiqué avoir pris des mesures sévères contre le stationnement en deuxième position, derrière des véhicules automobiles garés.
Des patrouilles spéciales pour lutter contre ces dépassements seront déployées pour lutter contre ce phénomène, précise la DGSN. "La loi sera appliquée dans toute sa rigueur et la police délivrera des procès à tous les contrevenants", indique la même source. Ces mesures ont été prises contre ceux qui stationnent leurs véhicules de manière anarchique, empêchant les autres voitures de sortir des garages ou parkings. Une situation qui gêne ainsi la circulation des voitures et des personnes.
Le directeur de la communication de la DGSN, Djilali Boudalia, a affirmé que la police a reçu de nombreuses plaintes d‘automobilistes sur les difficultés qu‘ils trouvent à faire sortir leurs voitures garées près de leur maison ou de leur lieu de travail.
M. Boudalia, qui qualifie cette situation d‘"inadmissible", rappelle que le stationnement est interdit sur les passages réservés aux piétons, les trottoirs, les intersections et virages, les entrées de garages, etc. Par ailleurs, la DGSN appelle les automobilistes à respecter la loi et à garer leurs voitures de manière à ne pas perturber le trafic routier. À Alger, le phénomène de stationnement en deuxième position a pris de l‘ampleur ces dernières années, en raison notamment du manque de places de parking.
Les automobilistes stationnent sur la voie publique, gênant considérablement la circulation et garent leurs voitures derrière d‘autres véhicules stationnés dans les parkings des cités. Les promoteurs immobiliers construisent des cités, sans prévoir de places de parking suffisantes pour l‘ensemble des résidants.
Ainsi la DGSN a décidé de prendre le taureau par les cornes et de mettre fin définitivement aux stationnements anarchiques qui constituent, pour l‘heure, un véritable problème, vu l‘afflux considérable des véhicules et l‘insuffisance flagrante des parkings dans cette localité. Plusieurs résidants n‘hésitent d‘ailleurs pas à installer devant leurs lieux de résidence ou de travail, des piquets avec chaînes et cadenas, pour s‘approprier des places réservées au stationnement de leurs véhicules.
Pour faire faire face au stationnement anarchique qui est la cause d‘embouteillages infernaux, la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) a annoncé, mardi 2 septembre, dans un communiqué avoir pris des mesures sévères contre le stationnement en deuxième position, derrière des véhicules automobiles garés.
Des patrouilles spéciales pour lutter contre ces dépassements seront déployées pour lutter contre ce phénomène, précise la DGSN. "La loi sera appliquée dans toute sa rigueur et la police délivrera des procès à tous les contrevenants", indique la même source. Ces mesures ont été prises contre ceux qui stationnent leurs véhicules de manière anarchique, empêchant les autres voitures de sortir des garages ou parkings. Une situation qui gêne ainsi la circulation des voitures et des personnes.
Le directeur de la communication de la DGSN, Djilali Boudalia, a affirmé que la police a reçu de nombreuses plaintes d‘automobilistes sur les difficultés qu‘ils trouvent à faire sortir leurs voitures garées près de leur maison ou de leur lieu de travail.
M. Boudalia, qui qualifie cette situation d‘"inadmissible", rappelle que le stationnement est interdit sur les passages réservés aux piétons, les trottoirs, les intersections et virages, les entrées de garages, etc. Par ailleurs, la DGSN appelle les automobilistes à respecter la loi et à garer leurs voitures de manière à ne pas perturber le trafic routier. À Alger, le phénomène de stationnement en deuxième position a pris de l‘ampleur ces dernières années, en raison notamment du manque de places de parking.
Les automobilistes stationnent sur la voie publique, gênant considérablement la circulation et garent leurs voitures derrière d‘autres véhicules stationnés dans les parkings des cités. Les promoteurs immobiliers construisent des cités, sans prévoir de places de parking suffisantes pour l‘ensemble des résidants.
Ainsi la DGSN a décidé de prendre le taureau par les cornes et de mettre fin définitivement aux stationnements anarchiques qui constituent, pour l‘heure, un véritable problème, vu l‘afflux considérable des véhicules et l‘insuffisance flagrante des parkings dans cette localité. Plusieurs résidants n‘hésitent d‘ailleurs pas à installer devant leurs lieux de résidence ou de travail, des piquets avec chaînes et cadenas, pour s‘approprier des places réservées au stationnement de leurs véhicules.


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