La JS Kabylie, auteur d'un parcours catastrophique la saison écoulée, amorce mal la nouvelle saison avec un autre semi-échec à domicile contre la JS Saoura, en ouverture de la nouvelle saison footballistique 2017- 2018. La JS Kabylie, auteur d'un parcours catastrophique la saison écoulée, amorce mal la nouvelle saison avec un autre semi-échec à domicile contre la JS Saoura, en ouverture de la nouvelle saison footballistique 2017- 2018. Certes, ce n'est qu'un début d'un long et périlleux parcours, mais la réussite du début d'une compétition est très importante. Les Kabyles n'ont pas retenu les leçons de l'année passée où ils ont échappé miraculeusement à une descente aux enfers. Les Canaris continuent de perdre leurs plumes et confirment ainsi que le stade 1er-Novembre ne leur réussit pas trop. Le staff technique, composé du duo Rahmouni-Moussouni, n'aurait toujours pas décelé les failles qui caractérisent le fonctionnement de cette formation phare du Djurdjura. C'est vrai que certains observateurs évoquent une préparation complètement ratée, d'autres ont remis en cause le recrutement. "Ce n'est qu'un premier match de la saison", dira le coach Moussouni. Ce dernier avoue que beaucoup de choses restent à parfaire dans le groupe. "il ne faut pas juger cette équipe après un seul match. Il faut attendre quatre à cinq matchs", a-t-il dit et d'ajouter "nous sommes en pleine construction. Nous sommes en train de travailler avec les joueurs que nous avons entre nos mains. Et puis, nous avons évolué sans un avant-centre de pointe. Le Camerounais Ekedi n'a toujours pas réglé son problème de visa", a indiqué l'entraîneur adjoint de la JS Kabylie, Fawzi Rahmouni. Ce dernier s'est dit être optimiste pour l'avenir. "Je reste optimiste pour l'avenir. L'équipe est jeune et les joueurs ont toujours besoin de travailler", a-t-ildit. L'entraîneur Rahmouni regrettel'accueil réservé par certains supporters."Je suis très déçu de l'accueil de certains pseudo supporters qui m'ontlonguement insulté. Ces supporters,doivent savoir très bien queRahmouni et Moussouni ne jouent passur le terrain. Mais, nous connaissonsd'où viennent toutes les perturbations",a-t-il regretté.Cette entame ratée pourrait influencermal sur le moral des joueurs. Les inconditionnels des Jaune et Vert qui espéraient voir un tout autre visage de leur équipe favorite, retombent encore dans le climat de la hantise en voyantla JSK accrochée dès la première journée du championnat dans son fief. Cela constitue les conséquences de tout ce qu'a vécu la JS Kabylie pendantl'intersaison avec le départ duprésident Hannachi et la préparation catastrophique en Tunisie. L'antre du 1er-Novembre de Tizi-Ouzou, qui représentait un véritable"tombeau" pour les adversaires, estdevenu, ces dernières années, un terrain maudit pour la JSK. La suite s'annoncedélicate pour les Canaris deDjurdjura. Le staff technique estappelé à profiter de l'arrêt du championnaten raison du match del'équipe nationale contre la Zambie,comptant pour la troisième journéedes qualifications pour la Coupe dumonde 2018, pour améliorer ce quis'impose. Par ailleurs, la Kabylie tiendra son assemblée générale élective le7 septembre prochain. Les Kabyles attendent avec impatience cette journée pour découvrir les noms des nouveaux dirigeants du club. Certes, ce n'est qu'un début d'un long et périlleux parcours, mais la réussite du début d'une compétition est très importante. Les Kabyles n'ont pas retenu les leçons de l'année passée où ils ont échappé miraculeusement à une descente aux enfers. Les Canaris continuent de perdre leurs plumes et confirment ainsi que le stade 1er-Novembre ne leur réussit pas trop. Le staff technique, composé du duo Rahmouni-Moussouni, n'aurait toujours pas décelé les failles qui caractérisent le fonctionnement de cette formation phare du Djurdjura. C'est vrai que certains observateurs évoquent une préparation complètement ratée, d'autres ont remis en cause le recrutement. "Ce n'est qu'un premier match de la saison", dira le coach Moussouni. Ce dernier avoue que beaucoup de choses restent à parfaire dans le groupe. "il ne faut pas juger cette équipe après un seul match. Il faut attendre quatre à cinq matchs", a-t-il dit et d'ajouter "nous sommes en pleine construction. Nous sommes en train de travailler avec les joueurs que nous avons entre nos mains. Et puis, nous avons évolué sans un avant-centre de pointe. Le Camerounais Ekedi n'a toujours pas réglé son problème de visa", a indiqué l'entraîneur adjoint de la JS Kabylie, Fawzi Rahmouni. Ce dernier s'est dit être optimiste pour l'avenir. "Je reste optimiste pour l'avenir. L'équipe est jeune et les joueurs ont toujours besoin de travailler", a-t-ildit. L'entraîneur Rahmouni regrettel'accueil réservé par certains supporters."Je suis très déçu de l'accueil de certains pseudo supporters qui m'ontlonguement insulté. Ces supporters,doivent savoir très bien queRahmouni et Moussouni ne jouent passur le terrain. Mais, nous connaissonsd'où viennent toutes les perturbations",a-t-il regretté.Cette entame ratée pourrait influencermal sur le moral des joueurs. Les inconditionnels des Jaune et Vert qui espéraient voir un tout autre visage de leur équipe favorite, retombent encore dans le climat de la hantise en voyantla JSK accrochée dès la première journée du championnat dans son fief. Cela constitue les conséquences de tout ce qu'a vécu la JS Kabylie pendantl'intersaison avec le départ duprésident Hannachi et la préparation catastrophique en Tunisie. L'antre du 1er-Novembre de Tizi-Ouzou, qui représentait un véritable"tombeau" pour les adversaires, estdevenu, ces dernières années, un terrain maudit pour la JSK. La suite s'annoncedélicate pour les Canaris deDjurdjura. Le staff technique estappelé à profiter de l'arrêt du championnaten raison du match del'équipe nationale contre la Zambie,comptant pour la troisième journéedes qualifications pour la Coupe dumonde 2018, pour améliorer ce quis'impose. Par ailleurs, la Kabylie tiendra son assemblée générale élective le7 septembre prochain. Les Kabyles attendent avec impatience cette journée pour découvrir les noms des nouveaux dirigeants du club.
