La Chambre d'artisanat et des métiers (Cam) d'Oran organisera une première rencontre des artisans joailliers et bijoutiers du 3 au 6 décembre prochain, a annoncé mardi le président de la Cam. La Chambre d'artisanat et des métiers (Cam) d'Oran organisera une première rencontre des artisans joailliers et bijoutiers du 3 au 6 décembre prochain, a annoncé mardi le président de la Cam. Cette rencontre permettra de soulever les préoccupations des artisans joailliers et des bijoutiers à soumettre aux autorités administratives pour des solutions susceptibles d'atténuer les difficultés et permettre la pérennité de ce métier qui fait partie du patrimoine, a souligné Boukhari Ferhat lors d'une réunion de préparation tenue à la maison et centre d'artisanat et des métiers d'Oran. Les travaux de cette rencontre se tiendront sous forme d'ateliers traitant de la législation et la loi régissant le marché de l'or et de l'argent, de la formation des artisans et de la matière première. Elle sera animée par des juristes, des représentants des secteurs des impôts, du tourisme et de l'artisanat, de la formation et de l'enseignement professionnels, de l'Agence nationale de transformation et de distribution de l'or et des minerais Algenor, de l'Entreprise d'exploitation des mines d'or Enor et d'autres structures liées au secteur de la joaillerie. La réunion préparatoire a permis aux artisans des wilayas dans l'ouest du pays de présenter un aperçu global sur la situation de cemétier et les problèmes rencontrés dont celui des taxes élevées, aindiqué le vice-président de l'association du club de l'artisan bijoutier, Abdelkrim Oughrib, souligant que "notre objectif est d'organiser unmarché de bijoux, de redonner à cette activité la place qu'elle avait dansles années 80 et la pérenniser". L'artisan bijoutier n'est plus capable de verser 31% de taxes, dont 19%sur la quantité produite et 12% aux imports, a-t-il soulevé, estimantque la taxe sur la matière première est raisonnable. Toutefois, il trouveque ce n'est pas logique de l'appliquer aussi à la matière récupérée.Les artisans ont soulevé lors de cette réunion, à laquelle ont assisté des représentants des directions du tourisme et de l'artisanat, du commerceet des impôts et la chef de l'annexe d'Oran de Algenor, des préoccupations concernant l'approvisionnement en matière première,le marché parallèle et ont proposé la création d'un laboratoire d'épuration de l'or récpéré. Cette rencontre permettra de soulever les préoccupations des artisans joailliers et des bijoutiers à soumettre aux autorités administratives pour des solutions susceptibles d'atténuer les difficultés et permettre la pérennité de ce métier qui fait partie du patrimoine, a souligné Boukhari Ferhat lors d'une réunion de préparation tenue à la maison et centre d'artisanat et des métiers d'Oran. Les travaux de cette rencontre se tiendront sous forme d'ateliers traitant de la législation et la loi régissant le marché de l'or et de l'argent, de la formation des artisans et de la matière première. Elle sera animée par des juristes, des représentants des secteurs des impôts, du tourisme et de l'artisanat, de la formation et de l'enseignement professionnels, de l'Agence nationale de transformation et de distribution de l'or et des minerais Algenor, de l'Entreprise d'exploitation des mines d'or Enor et d'autres structures liées au secteur de la joaillerie. La réunion préparatoire a permis aux artisans des wilayas dans l'ouest du pays de présenter un aperçu global sur la situation de cemétier et les problèmes rencontrés dont celui des taxes élevées, aindiqué le vice-président de l'association du club de l'artisan bijoutier, Abdelkrim Oughrib, souligant que "notre objectif est d'organiser unmarché de bijoux, de redonner à cette activité la place qu'elle avait dansles années 80 et la pérenniser". L'artisan bijoutier n'est plus capable de verser 31% de taxes, dont 19%sur la quantité produite et 12% aux imports, a-t-il soulevé, estimantque la taxe sur la matière première est raisonnable. Toutefois, il trouveque ce n'est pas logique de l'appliquer aussi à la matière récupérée.Les artisans ont soulevé lors de cette réunion, à laquelle ont assisté des représentants des directions du tourisme et de l'artisanat, du commerceet des impôts et la chef de l'annexe d'Oran de Algenor, des préoccupations concernant l'approvisionnement en matière première,le marché parallèle et ont proposé la création d'un laboratoire d'épuration de l'or récpéré.