Le président de l'assemblée populaire communale d'El Mahara , a été suspendu de ses fonctions, sur décision du wali et ce, après la confirmation de la condamnation du P/APC élu le 23 novembre sur la liste du RND. Selon la Drag d'El-Bayadh, ce dernier était sous le coup d'une accusation de détournement de deniers publics dans une affaire antérieure à son investiture à la municipalité et pour laquelle il avait écopé en première instance d'une peine de un an de prison ferme. Une condamnation confirmée par la Cour suprême et qui a amené le wali à mettre fin à ses fonctions. Le président de l'assemblée populaire communale d'El Mahara , a été suspendu de ses fonctions, sur décision du wali et ce, après la confirmation de la condamnation du P/APC élu le 23 novembre sur la liste du RND. Selon la Drag d'El-Bayadh, ce dernier était sous le coup d'une accusation de détournement de deniers publics dans une affaire antérieure à son investiture à la municipalité et pour laquelle il avait écopé en première instance d'une peine de un an de prison ferme. Une condamnation confirmée par la Cour suprême et qui a amené le wali à mettre fin à ses fonctions. L'installation du nouveau maire se fera, aujourd'hui lundi, à partir de la même liste partisane du RND. En tout état de cause, c'est là un premier scandale du genre qui en appellera d'autres, sans coup férir, l'opinion étant saturée des pratiques douteuses usitées par un grand nombre de candidats aux différentes élections, cooptés souvent par de grosses écuries politiques. Au-delà du fait désopilant, il restera toujours cette question légitime : comment de tels individus traînant des affaires pendantes en justice peuvent-ils échapper aux mailles de l'administration ? L'installation du nouveau maire se fera, aujourd'hui lundi, à partir de la même liste partisane du RND. En tout état de cause, c'est là un premier scandale du genre qui en appellera d'autres, sans coup férir, l'opinion étant saturée des pratiques douteuses usitées par un grand nombre de candidats aux différentes élections, cooptés souvent par de grosses écuries politiques. Au-delà du fait désopilant, il restera toujours cette question légitime : comment de tels individus traînant des affaires pendantes en justice peuvent-ils échapper aux mailles de l'administration ?
