Contrairement à certaines informations colportées ça et là, l'ancien ministre de l'Energie, Chakib Khalil, n'est pas du tout concerné par une participation à la prochaine élection présidentielle qui aura lieu le 18 avril prochain. Contrairement à certaines informations colportées ça et là, l'ancien ministre de l'Energie, Chakib Khalil, n'est pas du tout concerné par une participation à la prochaine élection présidentielle qui aura lieu le 18 avril prochain. C'est d'ailleurs lui-même qui a annoncé qu'il ne sera pas candidat,lors de cette échéance électorale.Voila qui a au moins le mérite demettre fin, à toutes les spéculationsconcernant la probable candidature deChakib Khalil. "Je démens de manière formelleet définitive, tout ce qui a été publié concernant ma volonté de mener la bataillede la présidentielle au nom d'une formationou d'une alliance politique" a en effet,indiqué Chakib Khelil avant-hier jeudi,dans un communiqué en précisant que "cesinformations sont infondées et constituentune manoeuvre politique". Ne se contentantpas de ce simple démenti, l'ancien ministre affirme aussi qu'il soutiendra toute décision qui émanerait du président Abdelaziz Bouteflika concernant la prochaineprésidentielle. Il apporte son soutienau principe de "continuité", rejoignantainsi la troupe des partisans du chef del'Etat qui souhaiteraient que ce dernierbrigue un 5e mandat. Ce démenti met finà toutes les conjectures qui ont foisonnéesdepuis de très longs mois, et qui sontallées crescendo ces derniers temps. Il suffisaitque Chakib Khalil, très actif sur leréseau social Facebook, publie un écrit ou fait le moindre commentaire, sur une question d'actualité pour que certains y voientle signe d'une ambition présidentielle.Chakib Khelil, qui est intervenu de nombreuses fois ces derniers temps pour commenterl'actualité économique, n'a pas manqué aussi d'égratigner les orientations économiques du gouvernement. "L'Etat ne fait pas ce qu'il doit faire", a-t-il soutenu il y'a quelques mois lors d'une conférence qu'il a animée et durant laquelle il a aussi critiqué la politiquer de subventions qui greffent lourdement le budget de l'Etat, alors que les finances du pays sont au rouge puisque lourdement impactées par la chute du prix du baril de pétrole. Il n'a eu de cesse de plaider en faveur de l'amélioration du climat des affairesl en vue d'attirer les investisseurs étrangers qui boudent l'Algérie pour le moment. Bref, Chakib Khelil est très actif et d'ailleurs on se rappelle qu'i a initié une série de conférences, dans les différentes universités du pays pour professer son orthodoxie économiqueet à chaque fois, devant des amphithéâtres pleins à craquer. Il s'est aussi distingué ces dernières années, juste après son retour au pays après la levée des poursuites judicaires à son encontre, par une série de visites aux zaouïas du pays ou, selon les mauvaises langues, il était en quête de Baraka des religieux. Chakib Khelil a eu à diriger le ministère de l'Energie de décembre 1999 jusqu'à sa démission en mai2010, en raison des scandales de corruptionqui ont secoué Sonatrach. Mais sonnom a été notamment cité dans l'affaire de corruption de l'entreprise italienne Saipem et un mandat d'arrêt a été lancé par le procureur de la République près la Cour d'Alger, contre Chakib Khelil et ses proches. Son nom est irrémédiablement associé à la corruption, alors que lui n'a eude cesse de clamer son innocence. C'est d'ailleurs lui-même qui a annoncé qu'il ne sera pas candidat,lors de cette échéance électorale.Voila qui a au moins le mérite demettre fin, à toutes les spéculationsconcernant la probable candidature deChakib Khalil. "Je démens de manière formelleet définitive, tout ce qui a été publié concernant ma volonté de mener la bataillede la présidentielle au nom d'une formationou d'une alliance politique" a en effet,indiqué Chakib Khelil avant-hier jeudi,dans un communiqué en précisant que "cesinformations sont infondées et constituentune manoeuvre politique". Ne se contentantpas de ce simple démenti, l'ancien ministre affirme aussi qu'il soutiendra toute décision qui émanerait du président Abdelaziz Bouteflika concernant la prochaineprésidentielle. Il apporte son soutienau principe de "continuité", rejoignantainsi la troupe des partisans du chef del'Etat qui souhaiteraient que ce dernierbrigue un 5e mandat. Ce démenti met finà toutes les conjectures qui ont foisonnéesdepuis de très longs mois, et qui sontallées crescendo ces derniers temps. Il suffisaitque Chakib Khalil, très actif sur leréseau social Facebook, publie un écrit ou fait le moindre commentaire, sur une question d'actualité pour que certains y voientle signe d'une ambition présidentielle.Chakib Khelil, qui est intervenu de nombreuses fois ces derniers temps pour commenterl'actualité économique, n'a pas manqué aussi d'égratigner les orientations économiques du gouvernement. "L'Etat ne fait pas ce qu'il doit faire", a-t-il soutenu il y'a quelques mois lors d'une conférence qu'il a animée et durant laquelle il a aussi critiqué la politiquer de subventions qui greffent lourdement le budget de l'Etat, alors que les finances du pays sont au rouge puisque lourdement impactées par la chute du prix du baril de pétrole. Il n'a eu de cesse de plaider en faveur de l'amélioration du climat des affairesl en vue d'attirer les investisseurs étrangers qui boudent l'Algérie pour le moment. Bref, Chakib Khelil est très actif et d'ailleurs on se rappelle qu'i a initié une série de conférences, dans les différentes universités du pays pour professer son orthodoxie économiqueet à chaque fois, devant des amphithéâtres pleins à craquer. Il s'est aussi distingué ces dernières années, juste après son retour au pays après la levée des poursuites judicaires à son encontre, par une série de visites aux zaouïas du pays ou, selon les mauvaises langues, il était en quête de Baraka des religieux. Chakib Khelil a eu à diriger le ministère de l'Energie de décembre 1999 jusqu'à sa démission en mai2010, en raison des scandales de corruptionqui ont secoué Sonatrach. Mais sonnom a été notamment cité dans l'affaire de corruption de l'entreprise italienne Saipem et un mandat d'arrêt a été lancé par le procureur de la République près la Cour d'Alger, contre Chakib Khelil et ses proches. Son nom est irrémédiablement associé à la corruption, alors que lui n'a eude cesse de clamer son innocence.